Je suis à L'ORIGINE du délire TÊTE DE OUF, et je ne peux plus contrôler ce MONSTRE :

OP
SC

SuicideCaca11

il y a 7 mois

Alors, non, ce n'est pas moi le khey qui est à l'origine du topic initial, mais c'est moi, le premier, qui a savamment contribué à extraire le délire du topic pour le répandre sur le forum.

Au début, je ne pensais pas que ça allait être la genèse d'un nouveau délire, je voulais juste troller le temps d'une soirée avec le frérot de Normandie. Mais c'était sans prévoir que le monstre Normand allait totalement m'échapper des mains. Je n'ai plus aucun contrôle sur la diffusion massive de son hideux faciès.

Vous vous êtes délicieusement gaussés ces derniers temps grâce à moi, mais vous devez maintenant plonger votre regard dans l'abîme mes frères.

De quoi l'entité Normande est-elle le nom ?

De la post-modernité, bien sûr !

OP
SC

SuicideCaca11

il y a 7 mois

Le "délire tête de ouf" à la lumière de Nietzsche, c'est l'exaltation de la volonté de puissance dégénérée, une manifestation du chaos intérieur qui découle de la mort de Dieu. Quand les valeurs traditionnelles s'effondrent, quand le sens s'évanouit dans la fumée de la post-modernité, le "ouf" devient le nouvel archétype du surhomme avorté, un individu qui cherche à transcender, mais qui finit par se perdre dans le labyrinthe de sa propre folie.

Nietzsche aurait vu dans ce délire une réaction inévitable à l'absence de repères transcendants, un symptôme de l'humanité qui se débat dans le vide laissé par le déclin des grands récits. L'homme moderne, ce "ouf," c'est celui qui tente de créer ses propres valeurs, mais qui s'embourbe dans une quête de sens qui tourne à vide. Dans cette spirale descendante, l'absurde règne en maître, et l'individu, déchiré entre l'angoisse et la jouissance du non-sens, vacille aux frontières de la démence.

Le "délire tête de ouf," dans cette optique, ce n'est pas simplement un état pathologique, c'est une forme de résistance, une tentative désespérée de combler le néant. Nietzsche aurait peut-être vu dans ce chaos une expression brute de la volonté de puissance, mais déviée, détournée, transformée en autodestruction plutôt qu'en création. Le "ouf" n'est pas assez fort pour surmonter le nihilisme, alors il se noie dans un délire, essayant en vain de redonner un ordre à un monde qu'il perçoit désormais comme un ensemble de fragments incohérents.

Cette dérive, c'est aussi le prix à payer pour la libération. Quand tout est permis, quand plus rien n'est sacré, l'individu est livré à lui-même, et le "ouf" est celui qui n'a pas su trouver sa propre voie, qui s'est perdu dans l'ivresse de la liberté sans bornes. Nietzsche aurait vu là une tragédie moderne : l'homme capable de tout, mais terrassé par sa propre liberté, écrasé par le poids du possible, et qui, faute de transcendance, bascule dans l'excès, dans le délire, comme une ultime tentative de se prouver qu'il est encore vivant.

Dans le regard de Nietzsche, le "délire tête de ouf" incarne à la fois la grandeur et la misère de l'homme moderne. La grandeur, car il refuse les anciennes chaînes, les anciennes valeurs ; la misère, car il n'a pas encore trouvé la force de créer les siennes. C'est un état de transition, une danse sur le fil du rasoir, où le risque est de tomber dans l'abîme, de se perdre dans la fragmentation, dans l'incohérence d'un monde sans absolu.

Le "ouf" devient alors le martyr d'une ère post-moderne, celui qui paie de sa santé mentale l'audace de s'être affranchi des dogmes, mais qui n'a pas su édifier une nouvelle vérité. Il est l'image même du surhomme avorté, celui qui voulait s'élever au-dessus des autres, au-dessus du troupeau, mais qui s'est brisé les ailes en plein vol, retombant dans une folie autodestructrice. Nietzsche aurait contemplé ce spectacle avec une mélancolie mêlée de fascination, voyant dans ces "oufs" autant de promesses non tenues, de forces potentiellement créatrices, mais finalement gaspillées dans le tourbillon du non-sens.

Ainsi, le "délire tête de ouf" devient le miroir d'un monde en crise, où l'homme, ayant tué Dieu, se retrouve seul face à l'abîme, sans autre guide que sa propre volonté. Mais lorsque cette volonté n'a pas la force de se réinventer, elle se retourne contre elle-même, et le "ouf" n'est plus qu'un tragique clown post-moderne, errant dans les décombres d'une civilisation qui, en s'affranchissant du sacré, a ouvert la porte à une folie sans retour.

GF

GusFrelon

il y a 7 mois

Putain la lourdeur de l'OP

Pourquoi les littéraires sont aussi lourds alors qu'ils sont censés être les mieux placés pour reconnaitre et apprécier la légèreté ?

A1

aaabbbcccddd1

il y a 7 mois


Putain la lourdeur de l'OP

Pourquoi les littéraires sont aussi lourds alors qu'ils sont censés être les mieux placés pour reconnaitre et apprécier la légèreté ?

question d'orgueil comme toujours,
+ ton délire tout le monde s'en fou, frère, et arrête avec ton chatgtp t'es instant cramé

OP
SC

SuicideCaca11

il y a 7 mois


Putain la lourdeur de l'OP

Pourquoi les littéraires sont aussi lourds alors qu'ils sont censés être les mieux placés pour reconnaitre et apprécier la légèreté ?

Le "délire tête de ouf," c'est la dérive ultime d'une époque qui s'est perdue en route, qui a lâché les rênes pour se vautrer dans le néant. La post-modernité, c'est le terrain de jeu parfait pour ces "oufs," ces désaxés, ces déboussolés qui ne savent plus où ils en sont. Céline, ce vieux misanthrope, il aurait vu là un effondrement total, la chute d'un monde qui ne tient plus que par des ficelles pourries, un monde qui ne croit plus en rien, même pas en sa propre folie.

La post-modernité, c'est ce grand cirque où tout est permis, où les idées tournent en rond, se mordent la queue, se répètent sans fin jusqu'à ce qu'elles ne veulent plus rien dire. Dans ce chaos, les "oufs" deviennent les rois, les prophètes d'un vide insondable. Ils ne délirent pas, ils expriment juste ce que la société pense tout bas : qu'il n'y a plus de direction, plus de finalité, que tout est devenu un immense foutoir où chacun gueule pour se faire entendre dans le vacarme.

Céline, avec sa plume de scalpel, il aurait taillé dans cette post-modernité pour en sortir la matière purulente, cette boue idéologique qui suinte de toutes parts. Il aurait écrit des phrases coupées, tronquées, comme des éclats de verre dans la chair, pour exprimer l'éclatement des repères, la fragmentation du sens. Le "délire tête de ouf" ce n'est pas seulement une perte de contrôle, c'est une adaptation logique à un monde où plus rien ne tient debout. C'est la réponse d'un esprit à la déréalisation totale, à la perte de toute certitude.

Dans cette époque où tout se vaut, où le vrai et le faux se mélangent comme un mauvais cocktail, où la réalité elle-même semble avoir explosé en mille morceaux, le "ouf" n'est plus qu'un symptôme parmi d'autres. Céline aurait vu là une ironie tragique, un monde qui se détruit en riant, en dansant sur les cadavres des idéaux passés. Il aurait décrit cette farce avec une rage contenue, avec cette haine sourde qui suinte de ses écrits, cette haine de voir l'homme se vautrer ainsi, dans la boue de sa propre insignifiance.

La post-modernité, c'est l'ère des débris, des ruines, où chacun ramasse ce qu'il peut pour se construire une identité de pacotille, un "moi" qui ne tient qu'à un fil, prêt à se casser la gueule au moindre coup de vent. Le "délire tête de ouf" c'est ça : la tentative désespérée de colmater les brèches, de donner un sens là où il n'y en a plus. Céline aurait vu dans ces "oufs" les vestiges d'une humanité en décomposition, des êtres errants dans un labyrinthe sans issue, frappant les murs invisibles d'une prison qu'ils ne comprennent même plus.

Avec son style brut, sans concession, Céline aurait craché cette vérité en pleine face : que la post-modernité n'est qu'une vaste blague, un mauvais rêve dont on ne se réveille pas. Le "ouf" n'est pas fou, il est simplement l'enfant monstrueux de cette époque, le fruit pourri d'une civilisation qui a renoncé à elle-même, qui a choisi de sombrer dans le non-sens plutôt que d'affronter sa propre vacuité. C'est l'homme post-moderne réduit à l'état de marionnette, de pantin désarticulé, gesticulant dans le vide en criant qu'il existe encore, mais sans vraiment y croire.

Et Céline, avec sa plume trempée dans l'acide, il aurait ri jaune, un rire amer, celui d'un homme qui voit la fin arriver, mais qui sait que dans ce monde post-moderne, même la fin n'est plus qu'une illusion.

GF

GusFrelon

il y a 7 mois

regard (?) de Nietzsche, le "délire tête de ouf" incarne à la fois (berk) la grandeur et la misère (facile et fade ) de l'homme moderne. La grandeur, car il refuse les anciennes chaînes, les anciennes valeurs ; la misère, car il n'a pas encore trouvé la force de créer les siennes. (très lourd, emphase maladroite, point-virgule aléatoire). C'est un état de transition (hein?), une danse sur le fil du rasoir (hors registre et ça veut rien dire), où le risque est de tomber dans l'abîme (hors registre et très lourd), de se perdre dans la fragmentation (non mais sérieusement?), dans l'incohérence d'un monde sans absolu. (aucun rapport)

PI

Pipouyoulechat

il y a 7 mois

L'op est trop fatigué là https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

GF

GusFrelon

il y a 7 mois

rabâchants à l'infini des topos archifatigués, des bouts d'Evangile en somme, jazzés un peu... à peine et mal.

La plume abominablement lourde de l'OP me fait penser à cet extrait des correspondances de Céline :

Il décrit parfaitement la plume des demi-habiles qui croient rendre leur style littéraire alors qu'ils la rendent juste très lourde

OP
SC

SuicideCaca11

il y a 7 mois


La plume abominablement lourde de l'OP me fait penser à cet extrait des correspondances de Céline :

Il décrit parfaitement la plume des demi-habiles qui croient rendre leur style littéraire alors qu'ils la rendent juste très lourde

T'es encore plus fatigué que le monstre Normand, le first. https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

Tu crois vraiment tu vas mettre à l'amende le meilleur écrivain Français ? https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

OP
SC

SuicideCaca11

il y a 7 mois


L'op est trop fatigué là https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

C'est le first frérot, il est tellement fatigué qu'il en est fatiguant https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

GF

GusFrelon

il y a 7 mois

T'es encore plus fatigué que le monstre Normand, le first. https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

Tu crois vraiment tu vas mettre à l'amende le meilleur écrivain Français ? https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg

Non au contraire je dis que Céline a raison quand il décrit les médiocres comme toi

T'as des prétentions littéraires mais tu es incapable de comprendre un post en langage vulgos, c'est chaud

[]

[vosgien]

il y a 7 mois

Lop connais tu jesus christ

OP
SC

SuicideCaca11

il y a 7 mois

Non au contraire je dis que Céline a raison quand il décrit les médiocres comme toi

T'as des prétentions littéraires mais tu es incapable de comprendre un post en langage vulgos, c'est chaud

Ah pardon, en effet, tu m'as tellement fatigué frérot que j'en ai des problèmes de compréhension https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/7/1723938103-e869c23f024b1b2cbf63d437fd7e1df4.jpeg