C'est un sentiment aussi répandu qu'illusoire. Pour vous, en tout cas.

Je suis authentiquement brillant et vous ne m'arrivez pas à la cheville.
Ceci n'est ni une provocation, ni de la fanfaronnade. Je déplore cet état de fait, qui me plonge dans une grande solitude : la piètre qualité de votre conversation ne suffit pas à me stimuler.

Il m'arrive parfois d'envier votre condition : qu'il doit être paisible de vivre avec un esprit libéré du fardeau de la pensée. Hélas ! votre médiocrité ne m'est guère accessible.