J'ai l'impression que c'est a 99% une histoire de confiance

En fait on réfléchit et on anticipe l'intéraction avant même qu'elle ait démarré, et on agit en parfaite conformité avec l'idée qu'on s'en faisait.

Dans notre tête le schema va être le même => J'ai envie de dire quelque chose => J'ai peur que la situation soit malvenue ou provoque une réaction négative => Le doute dans l'esprit provoque un inconfort ressenti par la personne en face, qui va essayer de raccourcir la conversation, la fuir, ou dans le pire des cas nous rejeter ouvertement => Ca renforce le sentiment d'incofort provoqué et vécu, et l'image négative de nous même qui précède les intéractions => En parallèle, les émotions négatives vécues par l'autre personne, si elles sont partagées, vont sérieusement impacter la vision qu'ont les autres de nous, ce qui aura aussi un impact sur notre propre confiance en ayant la sensation de toujours devoir aller vers les autres, sans succès réel.

Et c'est cette boucle qui s'active systématiquement dès qu'on est dans une itnéraction non-famillière et possiblement stressante, et qui crée ensuite des situations de rejets, voir de harcèlement.

Alors qu'il suffit de remplacer l'image qu'on a de nous par celle d'un chad, et les pensés négatives par des pensées positives au début de la chaîne, voir d'agir sans réfléchir en bypassant complètement le schema de pensée (comme c'est le cas sous substance) pour complètement faire sauter ce verrou et rendre la conversation normale, tout en évitant d'affaiblir l'image de nous même après l'interaction en ignorant les conséquences ou en mettant la faute sur sur l'humeur de l'autre personne si ça se passe mal