Prévision de 250 à 300 députés bordel
Not ready

Les médias manipulent les électeurs pour soutenir certains politiciens, tels que Jordan Bardella ou Marine Le Pen, de la même manière qu'ils ont façonné les perceptions de Sarkozy ou Hollande.
La couverture médiatique des politiciens est souvent axée sur des aspects superficiels comme l'apparence ou la jeunesse, plutôt que sur des politiques concrètes ou des qualifications.
Les médias ont le pouvoir de créer des figures politiques charismatiques en influençant l'opinion publique à travers une représentation biaisée ou exagérée.
Les médias, en sélectionnant ce qu'ils présentent et comment ils le présentent, orientent la perception des électeurs, faussant ainsi le processus démocratique en faveur de candidats médiatiquement plus attractifs.

Historiquement, les nouveaux leaders médiatisés comme Bardella reçoivent une adulation initiale, suivie par la déception du public lorsque les promesses ne sont pas tenues.
Le cycle de manipulation médiatique conduit à un mécontentement public, qui se manifeste souvent par des protestations ou des mouvements sociaux.
Ce cycle de valorisation médiatique suivie de déception perpétue une instabilité politique, érodant la confiance des électeurs dans le système démocratique.

La participation électorale des citoyens semble futile, car les résultats sont souvent prédéterminés par des forces hors de leur contrôle.
Le processus électoral est comparé à un train sur des rails fixes, où les électeurs élisent des dirigeants qui, en réalité, ne peuvent pas dévier du chemin tracé par les influences médiatiques et financières.
Cette analogie souligne l'illusion du contrôle démocratique, laissant les électeurs désillusionnés quant à leur pouvoir réel de décision.
Cette perception de futilité mine la confiance des électeurs dans le processus démocratique et leur engagement politique, exacerbant le cynisme et l'apathie.