la chose qui vous a définitivement brisé
chimpanze_banni
il y a 9 mois
Etre célib à 25 ans 
Lapizzaestcuite
il y a 9 mois
Etre célib à 25 ans
C'est rien ça
chimpanze_banni
il y a 9 mois
Lapizzaestcuite
il y a 9 mois
C'est rien ça
30 ans alors ?
superoksuper
il y a 9 mois
les KJ 
ThatRandomGuy
il y a 9 mois
MikojoShow
il y a 9 mois
La solitude, la dépression, le manque de personnes dans ma vie avec qui échanger au quotidien. 
GrosLardFion
il y a 9 mois
GoudjaBAN06
il y a 9 mois
l'amour 
Victor__
il y a 9 mois
EldonChance
il y a 9 mois
Problème de santé à 13 ans.
Ça a lentement détruit ma vie, mes rêves, mes espoirs, pour donner la carcasse que je suis actuellement 
abduljabarbig
il y a 9 mois
DonaldKimball14
il y a 9 mois
LezedeK
il y a 9 mois
X-RAYS
il y a 9 mois
Bebe_flatulent
il y a 9 mois
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
BrutusTetdepus
il y a 9 mois
Quand Oasis nous a enpapaouté 
Laghima
il y a 9 mois
Comme tout le monde les femmes. Pas que je sois pulco, mais n'avoir jamais eu de tendresse de la part d'une française et que ça n'arrivera jamais.
Ça m'a brisé. 
SourireDuDragon
il y a 9 mois
Austradu
il y a 9 mois
SourireDuDragon
il y a 9 mois
BanVI
il y a 9 mois
JaylaDeAngelis
il y a 9 mois
Utalkintome
il y a 9 mois
La redpill c'est de voir des gens que tu aimes tout faire correctement et quand même se faire briser par la vie. Hors de question de revivre la même chose 
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
Rothirsch1
il y a 9 mois
mon meilleur pote de primaire avec qui j'ai grandi et avec qui j'ai partagé le trauma d'avoir un père violent et alcoolo (lui aussi été dans l'exacte même situation) qui m'a largué le premier jour du collège pour rejoindre un groupe de yes life bgen même temps il était un chad en devenir et moi j'étais moche (je le suis toujours) donc au final c'est normal, j'ai croisé son regard le premier jour j'ai tout de suite compris
j'étais brisax, j'arrivais plus à aller en cours, j'ai dû être placé par un juge parce que chez moi c'était le bordel et j'étais desco à 11 ans
depuis j'ai jamais eu/jamais su me faire des amis et j'y repense souvent, ça va même plus loin, j'aimerais avoir un chien mais j'ai peur de m'attacher à quelqu'un/quelque chose, j'ai peur de la séparation et d'être abandonné donc j'évite d'en adopter un
je serai brisaxé pour toujours
Il n'y a aura jamais aucune rémission à la plaie de ton enfance, à ces abandons, la douleur sera sans armistice, mais les matins neufs, et heureux, sont encore devant toi, ne rien faire, vivre d'inertie et sans aplomb, serait là commettre un crime encore plus odieux contre toi, ton martyr te définit mais il n'est pas la somme de ce que tu es, sois alors autre chose, peu importe, voilà ton chemin de croix, devenir autre chose que cet enfant battu, froidement battu devant le mutisme du monde, puis sottement abandonné par son camarade d'infortune 
Coulocho667
il y a 9 mois
IciClaFrance37
il y a 9 mois
OhRatigan
il y a 9 mois
JaylaDeAngelis
il y a 9 mois
KheyGogole
il y a 9 mois
Mr-Tinkles
il y a 9 mois
superoksuper
il y a 9 mois
La folie Covid.
aya brisé l'antivax 
SageErmite86
il y a 9 mois
C'est quoi?
La solitude sentimentale.
Rothirsch1
il y a 9 mois
Non je préfère mourir j'ai pas envie d'être sous perfusion d'alloc. Après il y a moyen que je trouve un bon plan du style maraicher ou bien agriculture vivrière qui pourrait retarder mon suicide de 15/20 ans. Après de toute façon après 50/60 ans ça sert plus à rien de vivre dans l'état dans lequel notre corps se trouve. Tu peux plus courir, tu as mal partout, ça sert à rien de continuer.
L'avenir d'une vie ne s'apprécie pas exclusivement à son potentiel marchand, tu n'as jamais eu de travail salarié, d'accord, mais ne dis pas que tu n'as jamais travaillé : tu as sans doute tenu des portes, réconforté un ami, tenu une discussion pour éviter l'ennui à une vieille personne, balayé ton porche, préparé un dîner à quelqu'un, et donc tout cela serait sans valeur, vraiment sans valeur, rapporté à la comparaison du travail salarié d'un cadre miteux du tertiaire ?
Vulvax
il y a 9 mois
Me rendre compte que j'ai une famille de cassos et que j'en suis un aussi 
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
Vulvax
il y a 9 mois
J'ai jamais bossé de ma vie (à part quelques mois d'intérim), j'ai passé ma vie à jouer aux jeux vidéos, à faire des soirées, à sortir avec des filles. J'ai 31 ans et j'ai eu une belle vie. Néanmoins je n'ai aucun avenir, à l'image de la France d'ailleurs. J'ai intériorisé le fait que je vais devoir bientôt me suicider car je n'aurai jamais de retraite et je n'aurai jamais de quoi subvenir à une potentielle famille.
J'étais comme ça aussi, j'ai rien branlé de mes 16 jusqu'à mes 22 ans, après je me suis dit ça suffit, j'ai fait une formation pour un taf de merde payer au smic et j'ai décidé de passer mon permis
Force kheyou, il est jamais trop tard
Nick_Tadaronn
il y a 9 mois
Valstrax
il y a 9 mois
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
L'avenir d'une vie ne s'apprécie pas exclusivement à son potentiel marchand, tu n'as jamais eu de travail salarié, d'accord, mais ne dis pas que tu n'as jamais travaillé : tu as sans doute tenu des portes, réconforté un ami, tenu une discussion pour éviter l'ennui à une vieille personne, balayé ton porche, préparé un dîner à quelqu'un, et donc tout cela serait sans valeur, vraiment sans valeur, rapporté à la comparaison du travail salarié d'un cadre miteux du tertiaire ?
Je ne pense pas que mon existence ait été vaine en comparaison des personnes qui ont trouvé rapidement une vocation professionnelle. La différence c'est plutôt que je n'ai pas réussi à m'accomplir sur le plan professionnel et donc accumuler suffisamment de richesse pour m'extirper de ma condition de prolétaire, par l'habitus, par paresse, par l'absence de docilité. Du coup j'en suis là, à ne pas pouvoir me caser avec des femmes qui elles se sont accomplis ou à qui je n'ai rien de sérieux à proposer comme avenir, donc je n'enchaine que des relations sur du moyen terme qui se terminent toutes inéluctablement par mon départ anticipé. Et le fait de savoir que je n'aurais jamais de retraite me laisse deux solutions : soit trouver un emploi précaire en attendant de trouver un bon filon pour pouvoir m'expatrier dans un endroit avec suffisamment de richesses et éventuellement des rentes pour subvenir à mes besoins, soit le suicide.
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
J'étais comme ça aussi, j'ai rien branlé de mes 16 jusqu'à mes 22 ans, après je me suis dit ça suffit, j'ai fait une formation pour un taf de merde payer au smic et j'ai décidé de passer mon permis
Force kheyou, il est jamais trop tard
22 ans c'est juste l'âge parfait pour se ressaisir tu as très bien fait. Il est bien trop tard pour moi khey, je vais pas travailler jusqu'à 70 ans, de toute façon je me serai mort bien avant.
Nick_Tadaronn
il y a 9 mois
Elkj
il y a 9 mois
yopYopFunFun
il y a 9 mois
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
Rothirsch1
il y a 9 mois
Je ne pense pas que mon existence ait été vaine en comparaison des personnes qui ont trouvé rapidement une vocation professionnelle. La différence c'est plutôt que je n'ai pas réussi à m'accomplir sur le plan professionnel et donc accumuler suffisamment de richesse pour m'extirper de ma condition de prolétaire, par l'habitus, par paresse, par l'absence de docilité. Du coup j'en suis là, à ne pas pouvoir me caser avec des femmes qui elles se sont accomplis ou à qui je n'ai rien de sérieux à proposer comme avenir, donc je n'enchaine que des relations sur du moyen terme qui se terminent toutes inéluctablement par mon départ anticipé. Et le fait de savoir que je n'aurais jamais de retraite me laisse deux solutions : soit trouver un emploi précaire en attendant de trouver un bon filon pour pouvoir m'expatrier dans un endroit avec suffisamment de richesses et éventuellement des rentes pour subvenir à mes besoins, soit le suicide.
On n'échappe pas à sa condition de prolétaire par le gain d'argent, mais au contraire en dédaignant définitivement Mammon et ses promesses vaines : il n'y a pas d'Harpagon heureux ; tes lendemains âgés seront assurés par le minimum vieillesse, certes chichement, et encore, mais cela ne compromettra en rien leur bonheur
joykimm
il y a 9 mois
OrysBarathe0n
il y a 9 mois
On n'échappe pas à sa condition de prolétaire par le gain d'argent, mais au contraire en dédaignant définitivement Mammon et ses promesses vaines : il n'y a pas d'Harpagon heureux ; tes lendemains âgés seront assurés par le minimum vieillesse, certes chichement, et encore, mais cela ne compromettra en rien leur bonheur
L'argent ne fait peut être pas le bonheur mais une vie de semi pauvreté ne m'a pas personnellement procuré une grande joie. Comme j'ai dit je ne veux pas de minimum vieillesse c'est inutile je me serai tué avant. En revanche, j'aurai bien aimé fonder une famille avec une femme de confiance, avoir un ou deux enfants et leur donner de quoi subsister après ma mort.
Fragohette
il y a 9 mois