La Chevrolet Corvette C7, c'est le mouton en peau de loup de la scène automobile. Tu essaies de te faire passer pour une supercar, mais tu manques cruellement de subtilité et d'élégance. Voyons un peu ce qui se passe quand on la compare à ses vraies concurrentes d'occasion dans la même fourchette de prix.

Commençons par l'intérieur, si tu peux appeler ça un intérieur. C'est un hommage pathétique au plastique bon marché. À côté, monte dans une Porsche 911 d'occasion, et tu te demanderas si tu n'étais pas dans une Dacia Logan avant. La Porsche, même avec quelques années au compteur, te caresse avec du cuir fin et des finitions qui crient luxe et performance. La Corvette ? Elle te griffe avec du plastique qui craque et des assemblages qui te supplient de ne pas toucher. Chaque jour, un nouveau bruit d'habitacle digne de Renault.

Le moteur ? Un V8 supercharged qui a autant de finesse qu'un éléphant sur une piste de glace. Mais prends une Audi R8 d'occasion, et là, tu comprends ce que puissance contrôlée veut dire. Son V10 te donne des frissons sans te faire penser que tu vas décoller dans le décor au prochain virage. La Corvette, elle, hurle fort, mais c'est plus un appel à l'aide qu'une déclaration de puissance. C'est la version essence de la Tesla Model S, pleine de chevaux, inexploitable pour faire jolie sur le papier.

Et la transmission de la Corvette, c'est un sketch à elle toute seule. Chaque changement de vitesse est aussi doux qu'un accident de trottinette. Compare ça à la boîte à double embrayage d'une BMW M4 d'occasion, qui claque chaque rapport avec la précision d'un horloger suisse. La M4, elle te fait danser avec la route ; la Corvette, elle te fait juste espérer que tu arrives en un seul morceau et avec des cervicales complètement brisax.

En termes de tenue de route, la Corvette aime jouer à « devine où je vais ». À la moindre tentative de conduite sportive, elle est aussi stable qu'une gauchiste en étude de genre à l'université de sociologie. Mais avec une Mercedes AMG GT d'occasion, tu découvres vraiment ce que cela veut dire que d'avoir de l'adhérence. La Mercedes te colle à la route comme sur une piste, alors que la Corvette 50 % de la puissance passe par l'air.

Pour finir, la fiabilité de la Corvette est légendaire… dans les cauchemars des propriétaires. Tu passes plus souvent chez le mécanicien qu'à un feu rouge. Une Lexus LC500, avec son V8 de 5 litres et sa fiabilité japonaise, te laisse profiter de la route au lieu de t'abonner à la dépanneuse.

En résumé, la Corvette C7 est le choix par défaut pour ceux qui veulent jouer dans la cour des grands sans payer le prix, mais qui finissent par payer quand même en nerfs et en réparations...

Une voiture de radin qui veulent un max de specs pour leur fric et qui sont incapables d'apprécier le luxe, l'ingénierie et les nuances. Et après, on dit que la GTR est une voiture sans âme.

J'ai 80000 euros tu le conseilles quoi comme caisse pour s'amuser sur circuit ?

Lotus Exige

Pour les fautes d'orthographe, car je suis un desco.

C'est parfaitement dit

C'est pas faux, c'est jolie.

oui mais c'est pas chère surtout au USA

ça peut aussi être des gens qui rêvent de grosse pépra ces voitures peuvent atteindre les 1500 ch voir 2000 ch aisément.

Je comprends pas, c'est pas toi le pro Lexus qui vante la fiabilité ?
C'est un peu le même concept, tu préfères acheter une Lexus qui te coutera moins cher à l'entretien que la Mercedes, bah la Corvette c'est pareil par rapport à d'autres supercars.
Et je compte pas changer
Aucune voiture me fait spécialement plus envie, à la limite ça serait une 812 GTS mais c'est juste le triple du prix

Sinon tu regardes top Gear et tu comprends pourquoi cette bagnole est indispensable