La France est une démocratie très particulière.

Déjà c'est une démocratie représentative (enfin, officiellement parce qu'en réalité le mode de scrutin est totalement flingué et ne reflète pas les opinions réelles) et ensuite l'Etat est hyper centralisé et a un rôle traditionnellement dominateur et le peuple attend tout d'un monarque au lieu de se prendre en charge lui-même.

Si tu regardes en Suisse où la démocratie est directe et décentralisée, les gens votent des choses réalistes parce qu'ils ont l'habitude de les expérimenter, d'en débattre sainement, n'attendent pas d'être pris en charge par quelqu'un d'autre...

Jacklevert on te parle pas d economie, on te parle de democratie factuellement les usa le sont plus que nous.
Par contre la jungle liberale tres peu pour moi

Quel rapport entre le système de gouvernement et une succession de crises venant de l'extérieur, incoercibles, inarrêtables, et fatales?

Quelle élection a été perdue par quelqu'un resté au pouvoir depuis 40 ans ?

L'État républicain/démocrate est complètement dissolu et décentralisé.
L'État est faible, il ne survit que grâce au soutien de la mafia.

Et osef de la Suisse, c'est pas un vrai pays, c'est une fédération de cités nations (plus paradis fiscal crapuleux), ils ne parlent même pas la même langue et n'ont pas les mêmes lois.

La 5 eme c est une monarchie avec un parlement.
De gaule l avait conçu ainsi,elle etait faite pour des hommes de sa trempe, pas pour tout ces sous hommes arriviste qu on se tappe depuis

Les USA sont assez peu démocratiques, c'est un système de grands électeurs, et des députés corrompus. Résultat: ils sont sur-endettés.
Par contre la Suisse est plutôt socialiste et démocratique, et elle est peu endettée.

As-tu déjà parlé à des hommes ou femmes politiques ?

Voici quelques aspects qui peuvent être perçus comme « de gauche » dans le contexte du nazisme :

1. Interventionnisme économique

Bien que le nazisme s'oppose au socialisme et au communisme, il a promu une économie dirigée où l'État intervenait massivement dans les affaires économiques. Cela comprenait des programmes de travaux publics comme l'autoroute (Autobahn) et des politiques visant le plein emploi. Ces mesures visaient à redresser l'économie allemande après la crise de 1929, tout en renforçant l'industrie de guerre. Cette gestion étatique de l'économie peut être associée à certaines politiques économiques de gauche, mais elle s'inscrit ici dans une perspective de militarisation et de renforcement nationaliste.

2. Rhétorique anticapitaliste

Les nazis critiquaient fréquemment le capitalisme libéral, en particulier les grandes entreprises internationales et le système bancaire mondial, qu'ils associaient souvent à des complots juifs. Ils ont adopté une rhétorique anticapitaliste pour séduire les ouvriers et les petites classes moyennes, bien que dans la pratique, ils aient coopéré avec de nombreux industriels et grandes entreprises allemandes (comme IG Farben, Krupp, etc.).

3. Nationalisation (limitée) de certaines industries

Certains secteurs clés ont été placés sous contrôle étatique, ou étroitement réglementés, dans le cadre de la mobilisation pour l'effort de guerre. Cependant, contrairement à une approche de nationalisation socialiste ou communiste, ces industries restaient majoritairement aux mains de propriétaires privés, mais fonctionnaient en coordination avec les objectifs du régime.

4. Projets sociaux

Le régime nazi a mis en place des projets sociaux comme les "Kraft durch Freude" (la force par la joie), une organisation de loisirs contrôlée par l'État qui visait à offrir des vacances, des activités culturelles et des loisirs aux ouvriers. L'idée était de renforcer l'idéologie nazie parmi les masses en leur fournissant des avantages matériels tout en renforçant la loyauté envers le régime.

5. Corps d'ouvriers (DAF)

Le Front allemand du travail (DAF), bien qu'il ait remplacé les syndicats indépendants qui ont été interdits, avait pour but de coordonner les intérêts des employeurs et des travailleurs sous la tutelle de l'État. Bien que présenté comme une manière de protéger les droits des travailleurs, cela servait principalement à éliminer tout conflit de classe au profit de l'État nazi, qui absorbait toute représentation ouvrière.

6. Appel au prolétariat et aux masses populaires

Le nazisme, particulièrement à ses débuts, tentait de mobiliser les classes populaires et les ouvriers en Allemagne avec une rhétorique populiste et nationaliste. Bien que leur base de soutien principale ait été la petite bourgeoisie et les classes moyennes, ils ont essayé de capter le soutien des ouvriers en insistant sur la nationalisation et en promettant une meilleure condition de vie pour les Al