Quand je vais voir un film au Grand Rex dans la plus grande salle, j'aime beaucoup assister au petit spectacle de la féerie des eaux qui précède le long-métrage.

J'aime bien imaginer quelque chose de similaire, avec une rangée de 30 vieux culs ridés de pépés incontinents qui se font habituellement dessus, mais aux sphincters encore bien en marche. J'aime les voir tous alignés, le trou de balle orienté vers le ciel et les admirer projeter un à un, en rythme, de longs jets de diarrhée parfaitement liquide.

Je les vois de toutes les couleurs, chacun étant le défécât du repas de la veille. Chiasse verte, chiasse orange, rouge, marron classique.
Ces bons petits anus, je vais les renifler.

Sentir ces culs nouveaux, c'est ce qui me fait me sentir vivant. Renifler le résultat de toutes ces années de dur labeur au soleil, c'est ce qui fait comprendre et assimiler toutes ces tranches de vie.

Il faudra aller jusqu'à lécher ces trous du culs et se nourrir des grelots de merde séchée accrochés au cheveux d'anus frisés et entremêlés afin de bien apprécier et comprendre en profondeur où ces vieilles fesses chaudes sont allées traîner.