La France = 14 millions de MINEURS AYAAAAAAAAAAAAAA
13 messages
Mise à jour: il y a 14 jours
Astroscopie2
il y a 14 jours
faut voir la gueule des mineurs en question aussi
sinusMORT
il y a 14 jours
Bientôt ta fin
elkiki12
il y a 14 jours
faut voir la gueule des mineurs en question aussi
des froncés
iGenie38
il y a 14 jours
Bientôt ta fin
Bientôt TA fin le monstre
mannanapeeled
il y a 14 jours
JE vis dans ta tête Guissepe al mahmond jean walid
DANSE DANSE pour moi le singé brisé
Pazsurlestasse
il y a 14 jours
Ils comptent les fameux mineurs de 30 ans aussi ?
iGenie38
il y a 14 jours
JE vis dans ta tête Guissepe al mahmond jean walidDANSE DANSE pour moi le singé brisé
JE vis dans ta tête le bgnldmrdshtskn brisé en HP
TU danses pour ton Dieu
Arrête de mass DDB mes topics l'abomination bnttmrt
iGenie38
il y a 14 jours
des froncés
Oui 80% de non-blancs dans le lot
Shithole finito
DlKTATEUR
il y a 14 jours
Ils comptent les fameux mineurs de 30 ans aussi ?
Et ceux de 48 ans avrc 12 enfants ? 😂
mannanapeeled
il y a 14 jours
Nom : Giuseppe Bakara Fentanyl Abou Naboleon
Âge : 39 ans
Sexe : Mâle
Antécédents médicaux : Souvent marqués par des épisodes dissociatifs mineurs, des états d'hyperactivité cognitive ou une sensibilité exacerbée aux stimuli externes
Le patient ou ses proches rapportent une altération progressive du comportement, caractérisée par des épisodes de Haloulerie morbide, une forme aiguë de dérive verbale incontrôlée, parfois entrecoupée de moments d'immobilité contemplative extrême.
Anamnèse et histoire de la maladie
Les premiers symptômes apparaissent de manière insidieuse et sont souvent interprétés à tort comme du stress, de la fatigue mentale ou une crise existentielle passagère. L'évolution de la Brisure suit généralement trois phases :
1. Phase d'émergence (1-3 mois) :
Augmentation des monologues intérieurs audibles
Rupture progressive avec les conventions langagières (néologismes spontanés, concaténation lexicale non structurée)
Episodes fugaces d'exaltation suivis de périodes de mutisme introspectif
2. Phase de cristallisation (3-6 mois) :
Apparition de la Haloulerie morbide, une logorrhée déstructurée associée à un détachement émotionnel profond
Fascination pour des objets triviaux, souvent liés à des souvenirs diffus ou à des abstractions conceptuelles
Déconnexion progressive de la réalité sociale
3. Phase de Brisure terminale (au-delà de 6 mois) :
Effondrement des repères cognitifs usuels
Isolement marqué, parfois accompagné de gestes répétitifs dénués de finalité apparente
Phénomène de désagrégation psycho-verbo-motrice, où le patient alterne entre agitation excessive et léthargie profonde
État général : Variable, avec alternance entre agitation et apathie
Examen neurologique : Réflexes souvent intacts mais altération marquée du contrôle inhibiteur verbal
Examen psychiatrique : Test de fluence verbale révèle une surproduction lexicale incohérente
Examen sensoriel : Hypersensibilité aux bruits répétitifs et aux stimulations visuelles abstraites
Hypothèses diagnostiques différentielles
Trouble dissociatif atypique
Aphasie progressive primaire atypique
Encéphalopathie subcorticale à progression discontinue
Syndrome de dissociation lexicale (forme hallucinatoire)
IRM cérébrale : Anomalies diffuses du lobe temporal et du cortex préfrontal
Électroencéphalogramme (EEG) : Décharges irrégulières en périodes de Haloulerie morbide
Analyse linguistique algorithmique : Détection de structures syntaxiques anarchiques avec émergence de motifs pseudo-logiques
Aucun traitement curatif formellement établi. Les stratégies thérapeutiques visent à ralentir la progression de la Brisure et à moduler les épisodes de Haloulerie morbide :
1. Thérapie verbale régulatrice : Exposition progressive à des structures syntaxiques ordonnées
2. Médiation cognitive adaptative : Reconnexion aux stimuli concrets à travers des exercices narratifs
3. Traitement pharmacologique expérimental : Administration de stabilisateurs lexicaux (ex. neuroleptiques de nouvelle génération ciblant l'aire de Broca)
4. Suivi en environnement contrôlé : Pour limiter les exacerbations auto-entretenues de la dissociation langagière
Variable selon la réactivité aux interventions précoces. Sans prise en charge, l'évolution conduit généralement à un état de déréalisation complète, où le patient bascule dans un mode de communication propre, détaché de toute intersubjectivité.
Surveillance rapprochée par un spécialiste en neuropsychiatrie du langage
Intégration précoce en programme de restructuration cognitive
Évaluation périodique des capacités d'ancrage linguistique
Conclusion
La Brisure est une maladie neuropsychiatrique rare et complexe, où l'apparition de la Haloulerie morbide constitue un marqueur avancé de la dissociation cognitive et verbale. La prise en charge précoce reste l'unique levier thérapeutique permettant d'en limiter la progression vers un état de rupture totale avec la réalité.
HelenaCain
il y a 14 jours
Nom : Giuseppe Bakara Fentanyl Abou Naboleon
Âge : 39 ans
Sexe : Mâle
Antécédents médicaux : Souvent marqués par des épisodes dissociatifs mineurs, des états d'hyperactivité cognitive ou une sensibilité exacerbée aux stimuli externesLe patient ou ses proches rapportent une altération progressive du comportement, caractérisée par des épisodes de Haloulerie morbide, une forme aiguë de dérive verbale incontrôlée, parfois entrecoupée de moments d'immobilité contemplative extrême.
Anamnèse et histoire de la maladie
Les premiers symptômes apparaissent de manière insidieuse et sont souvent interprétés à tort comme du stress, de la fatigue mentale ou une crise existentielle passagère. L'évolution de la Brisure suit généralement trois phases :
1. Phase d'émergence (1-3 mois) :
Augmentation des monologues intérieurs audibles
Rupture progressive avec les conventions langagières (néologismes spontanés, concaténation lexicale non structurée)
Episodes fugaces d'exaltation suivis de périodes de mutisme introspectif
2. Phase de cristallisation (3-6 mois) :
Apparition de la Haloulerie morbide, une logorrhée déstructurée associée à un détachement émotionnel profond
Fascination pour des objets triviaux, souvent liés à des souvenirs diffus ou à des abstractions conceptuelles
Déconnexion progressive de la réalité sociale
3. Phase de Brisure terminale (au-delà de 6 mois) :
Effondrement des repères cognitifs usuels
Isolement marqué, parfois accompagné de gestes répétitifs dénués de finalité apparente
Phénomène de désagrégation psycho-verbo-motrice, où le patient alterne entre agitation excessive et léthargie profonde
État général : Variable, avec alternance entre agitation et apathie
Examen neurologique : Réflexes souvent intacts mais altération marquée du contrôle inhibiteur verbal
Examen psychiatrique : Test de fluence verbale révèle une surproduction lexicale incohérente
Examen sensoriel : Hypersensibilité aux bruits répétitifs et aux stimulations visuelles abstraites
Hypothèses diagnostiques différentielles
Trouble dissociatif atypique
Aphasie progressive primaire atypique
Encéphalopathie subcorticale à progression discontinue
Syndrome de dissociation lexicale (forme hallucinatoire)
IRM cérébrale : Anomalies diffuses du lobe temporal et du cortex préfrontal
Électroencéphalogramme (EEG) : Décharges irrégulières en périodes de Haloulerie morbide
Analyse linguistique algorithmique : Détection de structures syntaxiques anarchiques avec émergence de motifs pseudo-logiques
Aucun traitement curatif formellement établi. Les stratégies thérapeutiques visent à ralentir la progression de la Brisure et à moduler les épisodes de Haloulerie morbide :
1. Thérapie verbale régulatrice : Exposition progressive à des structures syntaxiques ordonnées
2. Médiation cognitive adaptative : Reconnexion aux stimuli concrets à travers des exercices narratifs
3. Traitement pharmacologique expérimental : Administration de stabilisateurs lexicaux (ex. neuroleptiques de nouvelle génération ciblant l'aire de Broca)
4. Suivi en environnement contrôlé : Pour limiter les exacerbations auto-entretenues de la dissociation langagière
Variable selon la réactivité aux interventions précoces. Sans prise en charge, l'évolution conduit généralement à un état de déréalisation complète, où le patient bascule dans un mode de communication propre, détaché de toute intersubjectivité.
Surveillance rapprochée par un spécialiste en neuropsychiatrie du langage
Intégration précoce en programme de restructuration cognitive
Évaluation périodique des capacités d'ancrage linguistique
Conclusion
La Brisure est une maladie neuropsychiatrique rare et complexe, où l'apparition de la Haloulerie morbide constitue un marqueur avancé de la dissociation cognitive et verbale. La prise en charge précoce reste l'unique levier thérapeutique permettant d'en limiter la progression vers un état de rupture totale avec la réalité.
J'ai huuuuuuurlé, enfin le pavé sur le patient Guiseppe Van Mohammed Sanchez
modo épingle
iGenie38
il y a 14 jours