Scénario alternatif : L'invasion économique de l'Allemagne par la Suisse

En 1939, alors que l'Allemagne nazie prépare son expansion militaire, elle est confrontée à une invasion tout à fait inattendue : la Suisse, pays neutre et prospère, décide d'attaquer... par l'économie. Ce n'est pas une invasion classique, mais une opération audacieuse où la Suisse utilise ses vastes réserves financières pour littéralement racheter l'armée allemande.

Le plan suisse : Une attaque avec des comptes bancaires

La Suisse, consciente qu'elle ne peut rivaliser militairement avec l'Allemagne, exploite sa véritable arme secrète : sa richesse.

Opération "Or Helvétique"

En silence, les banques suisses commencent à offrir des pots-de-vin faramineux aux officiers allemands. Les généraux de la Wehrmacht, avides d'or et méfiants envers Hitler, commencent à transférer leur loyauté... et leurs troupes.

Rachat stratégique

La Suisse propose ensuite des "contrats d'embauche" à toute la Wehrmacht. Les soldats allemands, mal payés et fatigués des discours nazis, reçoivent des promesses de salaires astronomiques, payés en francs suisses et accompagnés d'un livret d'épargne... garanti à vie.

Une offre irrésistible

Les Suisses, réputés pour leur précision, prennent soin de racheter les industries militaires allemandes, notamment Krupp et Messerschmitt, sous le prétexte d'investissements étrangers. Bientôt, les usines allemandes produisent des armes... pour la Suisse.

L'invasion sans une goutte de sang
En 1940, alors que Hitler prépare l'invasion de la France, il découvre avec horreur que son armée a changé de propriétaire. Les divisions blindées allemandes arborent soudainement... la croix blanche suisse.

À Berlin
La Wehrmacht, désormais "employée" par la Suisse, marche sur la chancellerie. Les généraux déclarent à Hitler :

"Désolé, Herr Führer, mais ils paient mieux. Et ils offrent des bonus pour la retraite."
Hitler, furieux, tente de donner des ordres... mais personne ne l'écoute.

La chute rapide du Reich
Les troupes suisses, désormais renforcées par les soldats allemands, annexent pacifiquement Berlin. La population, lassée du régime nazi, accueille la croix blanche avec soulagement, en particulier après que la Suisse annonce un programme de "réhabilitation économique" pour tous.

L'après-invasion : Une Allemagne helvétisée
La Suisse restructure l'Allemagne en y introduisant son modèle économique. Les usines allemandes produisent désormais des montres, des chocolats, et des produits de luxe exportés dans le monde entier.

Berlin devient un centre bancaire rivalisant avec Zurich.
Les anciens nazis, désarmés, sont transformés en banquiers, sommeliers et horlogers.

Avec humour : Les Suisses toujours neutres
Lorsqu'on demande à un officier suisse pourquoi ils ont annexé l'Allemagne, il répond simplement :

"Nous sommes toujours neutres. Nous voulions juste protéger nos investissements."