la vidéo de hugo sur l'algérie, j'étais pas prêt putain de merde
Vahine4
il y a 2 mois
Ça n'enlève rien à la réalité des masses.
Les étrangers, en particulier les Algériens, sont 3 à 4 fois plus au chômage ou inactivité que les nationaux.
Ça ne signifie pas que certains réussissent à faire des études, mais c'est très marginal.
chirac-26
il y a 2 mois
HWXWHWHW-WXWW
il y a 2 mois
fishermetin2
il y a 2 mois
Le massacre de Beni Oudjehane est un massacre commis le 11 mai 1956 par une unité de l'armée française, le 4e bataillon de chasseurs à pied (4e BCP), au cours de la guerre d'Algérie. Cette unité a massacré 79 villageois algériens du hameau du Beni Oudjehane qui comptait 300 habitants, situé en bordure de l'Oued Irdjana à El Ancer non loin d'El Milia dans la wilaya de Jijel, (ex Département de Constantine).
Ce drame resurgit en 2013, avec une enquête menée conjointement en France et en Algérie par une historienne, Claire Mauss-Copeaux, et deux blogueurs, André, un ancien militaire français appartenant au 4e BCP et Nour, un enseignant algérien de la région d'El Milia. Ils se sont donné pour but de reconstituer ce qui s'est passé ce jour du 11 mai 19561.
L'enquête menée par l'historienne Claire Mauss-Copeaux en interrogeant des dizaines de témoins a recueilli beaucoup de témoignages révélant une tout autre histoire.
L'histoire de ce massacre aurait commencé le 8 mai 1956 par un fait d'armes, quand un groupe de combattants algériens de l'ALN a attaqué une unité de l'armée française dans la région d'El Milia, mais sans faire de morts ni de blessés des deux côtés. En riposte, le haut commandement français fait appel aux unités militaires, parmi lesquelles le 4e BCP, stationné à El Ancer près du hameau Beni Oudjehane. Dans ce contexte, une opération de ratissage est lancée le 11 mai dans les terres hostiles de Beni Oudjehane. Ce jour coïncidait avec la fête de l'Aïd el-Fitr qui va se transformer en carnage lorsqu'une jeune fille du hameau, se rendant à la source, se fait intercepter par un soldat du 4e bataillon de chasseurs à pied (4e BCP) qui voulait abuser d'elle. Les cris de la jeune fille donnèrent l'alerte et son père arriva pour la délivrer des mains de son violeur, s'ensuivit une bagarre entre les deux hommes et l'arrivée des soldats qui tirèrent à bout portant sur le père. Les balles atteignirent le père mais aussi le soldat qui est mortellement blessé. D'après les différents témoignages recueillis, en représailles les militaires français décident d'exécuter sans exception tous les hommes du hameau qui compte 300 villageois, au cours de la seule journée 79 hommes sont exécutés.
Dans les archives militaires relatives aux lieux du massacre, les victimes ont été simplement accusées d'appartenir aux rangs des « rebelles » de l'ALN et la riposte militaire a été présentée comme un fait de guerre généré par l'assassinat d'un soldat de la troupe par un « rebelle » de l'ALN.
Après l'indépendance de l'Algérie, les restes de ces victimes ont trouvé place dans le cimetière du village.
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il y a 2 mois