Aide au développement :

Permet de financer les écoles françaises et les étudiants algériens pour faire du drainage de cerveau comme les américains le font avec l'inde.

Environ 30 000 étudiants algériens sont inscrits chaque année dans les universités et grandes écoles françaises.

La plupart étudient dans des domaines comme les sciences, l'ingénierie, la médecine, l'économie et le droit.
Ils payent un logement français consomment et paye la TVA française, de ce fait la France récupère une bonne partie de l'argent prêté.

De plus, environ 9000 étudiants chaque année decide de ne pas retournée en Algérie ils occupent donc des postes en France et participe au PIB, en effet ils n'ont pas accès à la fonction publique et travail dans le privée uniquement pour les grandes entreprises françaises (Airbus, Total, BNP Paribas, etc...)

Grace à elle on a actuellement 15 000 médecin algérien exerçant en France pour un salaire proche du smic.
La france obtient 15000 médecin pour le prix de 5000 médecins.
Elle économise le salaire de 10000 médecins par an soit environ 40 millions d'euros par an.

Les entreprise Français :

Financements via l'Agence Française de Développement (AFD)

L'AFD finance des projets d'infrastructures, d'énergie, d'eau, d'éducation et de santé.

Ces projets sont souvent confiés à des entreprises françaises, qui assurent la réalisation (ex : Vinci, Suez, Bouygues, etc.).

Prêts et garanties pour les entreprises françaises

Une part de l'APD prend la forme de prêts à taux réduit, facilitant l'investissement d'entreprises françaises à l'étranger.

Des institutions comme Bpifrance ou Proparco (filiale de l'AFD) garantissent des projets privés français dans les pays bénéficiaires de l'APD.

Critiques et controverses
Effet boomerang : L'aide au développement est censée soutenir les pays bénéficiaires, mais en réalité, une partie des fonds retourne aux entreprises françaises sous forme de contrats.

Conditionnalité cachée : Certains pays bénéficiaires estiment que l'APD les pousse à favoriser les entreprises françaises au détriment de leurs propres industries.

Rentabilité avant impact social ? : Certaines ONG critiquent le fait que des projets financés par l'APD servent davantage les intérêts économiques de la France que les besoins des populations locales.