Mouais... Pour le japonais, c'est quand-même discutable linguistiquement et beaucoup de spécialistes ne sont pas d'accord. Les linguistes qui le classent dans le groupe altaïque se basent uniquement sur les structures phonétiques. Pour le reste, au niveau étymologique comme grammatical, il n'y a pas de points communs excédant le taux de coïncidence. Il me semble que c'est un linguiste russe qui a été le premier à faire cette classification, mais il avait été vivement critiqué tant par ses collèges occidentaux que japonais. L'hypothèse de l'isolat linguistique (langue non-apparentée) est donc pour l'heure la plus sensée.