Le barreau de Paris interdit une IA mais en offre une autre AYAAAAAAAA

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iExpat24

il y a 7 mois

L'application se targue de "rivaliser avec n'importe quel avocat"
Lancée début janvier et téléchargée plus de 36 000 fois, l'application, immatriculée à Dubaï, se targue de "rivaliser avec n'importe quel avocat", s'attirant les foudres de la profession.
"Salut, je suis I.Avocat. Bien que je n'aie pas de diplôme officiel, je suis largement capable de rivaliser avec n'importe quel avocat." De toute évidence, l'application I.Avocat, lancée début janvier par un entrepreneur lyonnais, a fait le choix d'une communication offensive. "Là où un avocat mettrait un an, je ne mets qu'une minute. Là où un avocat t'aurait coûté 1000 euros, je ne coûte que 69 euros", poursuit, un brin provoc', la vidéo promotionnelle.
Ayant bénéficié du soutien, sur les réseaux sociaux, de plusieurs rapeurs et influenceurs, I.Avocat a été téléchargée plus de 36000 fois depuis le début du mois. L'interface a pour ambition de devenir un véritable avocat de poche virtuel. Pour ce faire, elle a été entraînée sur "une vaste base de données" (11 millions, selon son fondateur), "regroupant tout le système juridique français" et "50 années de décisions de justice". "Importez vos affaires judiciaires : I.Avocat se chargera d'analyser et de répondre à toutes vos questions", peut-on lire sur la page d'accueil du site.