Le flatulât gériatrique.

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Mangeprout2

il y a 7 mois

Dans la maison de retraite près de chez moi, ils aiment bien organiser un atelier pet tous les mercredi après-midi.

Ils alignent en cercle les 53 vieux croûtons pensionnaires de l'établissement et les font s'allonger sur un matelas incliné parfaitement à 45 degrés. Et l'un après l'autre, puis à l'unisson, ils doivent flatuler. Marcel, 87 ans, a ainsi l'occasion de montrer à René qui est le patron.

De toutes les forces qui lui restent, il contracte ses sphincters, jusqu'à atteindre l'état de relâchement automatique qui les font alterner entre dilatation et contraction. Un enchaînement rapide, bruyant, qui laisse s'échapper un gaz fécal puant, qui en s'exfiltrant emmène avec lui les morceaux de croûte anale accrochés à l'anus de Marcel pendant de nombreux mois, qui cristallisent les grelots de chiasse de retraité séchée, avant de s'insérer dans la gigantesque escarre, formée par les nombreuses années de constipation puis d'incontinence de Marcel, résultant par de trop nombreuses heures a pousser sur les chiottes.

Cette escarre remarquable se retrouve ainsi souillée et infectée d'excréments et de sang noir d'un vieux cul ridé, puant et gangréné.

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Mangeprout2

il y a 7 mois

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Mangeprout2

il y a 7 mois

Dans la maison de retraite, chaque mercredi,
Un atelier fort singulier, à peine croyable,
Où les vieux croûtons, les cheveux blanchis,
S'allongent en cercle, l'esprit redoutable.

Sur des matelas inclinés avec soin,
À quarante-cinq degrés, dans un rite ancien,
Ils se préparent, en cœur, à lâcher enfin,
Un concert de vents, un souffle malsain.

Marcel, 87 ans, se dresse en silence,
Prêt à montrer à René sa puissance.
Il contracte ses sphincters, sans complaisance,
Et libère un torrent avec aisance.

Le gaz s'échappe, fétide et rugissant,
Emportant avec lui les marques du temps,
Ces croûtes accrochées depuis si longtemps,
Cristaux de misère, résidus d'antan.

Ils s'infiltrent, ces restes, dans l'escarre béante,
Souillée par les années, par l'incontinence rampante,
Le cul ridé, gangrené, dans un râle puissant,
Offre un tableau macabre, au parfum écœurant.

Ainsi s'achève ce sinistre rituel,
Où le corps se libère, où l'âme se fait rebelle,
Un dernier souffle, un éclat de vie cruel,
Dans la maison de retraite, où l'ordinaire est l'essentiel.

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Mangeprout2

il y a 7 mois

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Mangeprout2

il y a 7 mois

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N6

Nihilus666

il y a 7 mois

J'ai bande bien DUR en me bavant dessus en imaginer la scene
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