le forum : " on en a marre de l'immigration "
12 messages
Mise à jour: il y a 7 mois
amiantemarecage
il y a 7 mois
Moi je veux immigrer au Japon
HerbieBeetle
il y a 7 mois
Je n'ai pas pour projet de faire caca dans le métro japonais aussi
Polpersavon
il y a 7 mois
Tu sais très bien l'op que les jean expat du forum sont des mythos à 90% et qu'ils ne quitteront probablement jamais la chambre qu'ils occupent chez leurs parents
LuxoJr
il y a 7 mois
C'est vrai que les Suisses risques d'être fortement perturbé par la différence culturelle et religieuse des français, ainsi que par leur manque de civisme, de respect et d'éducation, et également leurs habitudes alimentaires complètement différentes de celle des Suisses.
Akawendos
il y a 7 mois
Un problème général assez répandu avec les demi-habiles comme l'auteur consiste à traiter des termes purement relatifs (comme « étranger », « immigration » ou « citoyen ») en termes substantifs. Kdargentin pense que ces termes désignent une essence précise : on serait un étranger de la même manière qu'on serait un buisson, une table ou un plombier ; il y aurait des migrations de la même manière qu'il y a du vent, de l'éducation des enfants ou de l'agriculture.
Le souci est évidemment que c'est faux ; ces termes ne dénotent aucune substance commune, ils désignent simplement une relation entre deux termes substantifs. On est toujours étranger par rapport au pays dans lequel on se trouve, et jamais étranger en soi.
Je suis étranger en tant que *Français* en *Australie*, je cesse de l'être dès lors qu'un des deux termes substantifs disparaît. Je ne suis pas et ne peux pas être étranger par essence. La seule identité/essence commune aux étrangers est qu'ils ne sont pas chez eux :
C'est une essence purement relative, négative, elle n'a pas de contenu précis. Affirmer l'inverse, c'est dire que toutes les équations se valent sous prétexte qu'elles utilisent toutes le signe =.
C'est la même chose avec le terme migration : ça n'a aucun sens de se dire pour ou contre les migrations en général au même titre qu'on serait pour ou contre certaines activités avec un contenu précis, comme l'action de la mer sur les rochers, l'éducation des enfants ou l'agriculture. On est toujours pour ou contre les migrations de *certaines personnes* vers *un certain lieu* : si on enlève un des deux termes le mot « migration » n'a plus aucun sens, et être pour ou contre les migrations ne veut plus rien dire.
kdargentin
il y a 7 mois