Le gendarme JAMBERT, suicidé de DEUX BALLES dans la TÊTE
Arkhiel15
il y a 6 mois
Toujours bon à rappeler que le gendarme Jambert était un sacré pistolero pour réussir ce coup de maître
Khey-Bann2
il y a 6 mois
ça arrive qu'un suicide ne se passe pas comme prévu
CobideParis
il y a 6 mois
La chance
Urrax
il y a 6 mois
Christian Jambert, gendarme, enquêtait sur les réseaux pédophiles Dunand et Émile LouisRetrouvé mort deux jours avant l'audition où il devait tout balancer. Deux balles dans la tête, de deux angles différents. Quatre douilles près du corps, l'arme posée sur les genoux. Aucun légiste n'est présent, c'est un urgentiste de SOS médecin qui conclut au suicide en dix minutes sans autopsie.
Le corps du gendarme est plus tard exhumé. Le légiste privilégie l'assassinat. Le parquet demande une contre-expertise. Le nouveau légiste "n'exclue pas le suicide", expliquant qu'une balle a pu "ricocher" sur une partie du crâne.
La famille veut une nouvelle autopsie indépendante. Malheureusement, les morceaux du crâne en question ont "disparu" des scellés, impossible de vérifier les affirmations du légiste mandaté par le juge.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/mysterieuse-disparition-du-crane-du-gendarme-jambert-22-10-2008-284623.phpLa sacoche du gendarme, contenant son enquête et une liste de noms du réseau, se volatilise également : https://www.leparisien.fr/faits-divers/disparues-de-l-yonne-l-introuvable-sacoche-du-gendarme-22-03-2002-2002916239.php
Même les Looney Tunes n'aurait pas imaginé un suicide aussi absurde
OrdoXLVI
il y a 6 mois
Dans le même genre il y a l'accident de Jean-Edern Hallier, de Pasolini ou de Bérégovoy.
30Temoined
il y a 6 mois
Le 22 janvier 1984, les policiers débarquent allée des Violettes, au domicile de Claude et Monique Dunand. Ils découvrent, dans la cave du pavillon, une jeune femme entravée sur une croix, torturée. C'est une autre jeune fille, séquestrée au même endroit pendant plusieurs mois, qui a donné l'alerte après avoir réussi à s'enfuir. Toutes les deux sont brûlées au fer, victimes d'éventrations que les «clients» de Claude Dunand leur infligeaient. Car, dans la cave, on venait consommer de la torture, avec les tarifs affichés sur la porte.
A l'intérieur du pavillon, les policiers saisissent deux carnets, qui contiennent la liste des adeptes.
On n'en saura pas plus. Les carnets "disparaissent" du palais de justice d'Auxerre. L'affaire est classée.
MarcMadioent2
il y a 6 mois
L'op bientôt Jambert-ed
Ban_num_1092
il y a 6 mois
Le délire "suicidé de 2 balles dans le dos"
N'était pas un délire en fait
LivreurUberEat
il y a 6 mois
C'est en effet suspect un sucide de ce type
30Temoined
il y a 6 mois
Gina Pardaens-Bernaer, néerlandaise, enquête sur le dossier du réseau pédophile de Zandvoort. Se sentait menacée, recevait des harcèlements téléphoniques et était suivie par une voiture. Son téléphone est saboté et sa ligne mauvaise. Elle appelle le président d'une association un soir de novembre 1998 et lui dit qu'elle dispose de révélations.
"Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée"
Retrouvée morte la nuit-même encastrée sous un pont sans traces de freinage, aucune enquête n'est menée et le bureau de son avocat est cambriolé dans la foulée
30Temoined
il y a 6 mois
François Reyskens
Début juillet 1995, les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo, disparues depuis deux semaines, reçoivent un appel téléphonique d'un courtier en assurances, sorte de père adoptif d'un jeune cocaïnomane répondant au nom de François Reyskens.
Ce jeune homme, explique le courtier, déclare avoir rencontré les petites Julie et Mélissa dans un bar aux Pays-Bas.
Aussitôt, Carine Russo, la mère de Mélissa, alerte la gendarmerie de Seraing et un rendez-vous est pris avec le jeune François Reyskens pour le 26 juillet.
François Reyskens meurt, écrasé par un train, deux heures avant ce rendez-vous.
« C'est plutôt étrange que, juste à ce moment-là, il finisse sous un train. S'agit-il vraiment d'un accident ? », s'interroge le père de ce dernier.
30Temoined
il y a 6 mois
Michel Piro
Exploitant de bars-restaurants dans la clientèle desquels on retrouve Marc Dutroux, Bernard Weinstein, Michel Lelièvre et Michel Nihoul, il contacte, à trois reprises, la famille de Jean-Denis Lejeune (le père de Julie Lejeune) et lui demande une entrevue à laquelle il souhaite que soit convié le procureur Michel Bourlet. Son intention est également d'organiser un souper avec les parents de Julie et de Mélissa, au cours duquel il souhaite faire des révélations sur le sort des deux petites liégeoises.
Plusieurs témoins le diront ; parmi ceux-ci, un indicateur de la B.S.R. de Charleroi affirme que « Piro aurait dit quelques jours avant son décès qu'il allait « balancer » tout ce qu'il savait sur le dossier Julie et Mélissa lors du repas qu'il organisait ». Selon son fils, il aurait dit que « des têtes allaient sauter ».
On ne saura jamais quelles étaient ces révélations : le 5 décembre 1996, il est exécuté, à bout portant, sur un parking d'autoroute, tandis que son épouse est sortie pendant quelques instants du véhicule pour se rendre aux toilettes.
Lorcanatrading
il y a 6 mois
Moralité toujours avoir un pote avec le double des exemplaires en cas de balance.
30Temoined
il y a 6 mois
Bruno Tagliaferro et sa femme Fabienne Jaupart
Bruno est un ferrailleur, et possiblement un magouilleur. Son épouse, Fabienne Jaupart, est convaincue que son mari est détenteur d'un secret qui met leurs vies en péril.
Elle pense que son époux s'est rendu compte qu'il avait, à son insu, été chargé, du démontage et de la revente des pièces de la Citroën AX qui aurait servi à l'enlèvement de Julie Lejeune et de Mélissa Russo.
Bruno Tagliaferro meurt le 4 novembre 1995. Le légiste conclut à un arrêt cardiaque.
Un laboratoire du F.B.I. (consulté par le juge Jean-Marc Connerotte) conclut à un empoisonnement, mais un expert liégeois (désigné ultérieurement par le juge Jacques Langlois) estimera que la production de cyanure par un cadavre en décomposition peut être un phénomène naturel. Malgré les taux de cyanure retrouvés dans le corps de Tagliaferro bien supérieurs à des doses pouvant être « auto-produites », le juge Langlois privilégiera la « mort naturelle » comme explication du décès du ferrailleur de Keumiée.
Quant à son épouse, Fabienne Jaupart, elle est retrouvée morte le 18 décembre 1998. Elle se serait aspergée de méthanol, aurait remis la bouteille sur le meuble à côté de son lit et se serait ensuite mis le feu, non sans avoir pris soin de mettre les pommes de terre à cuire sur le réchaud et de faire tourner le lave-vaisselle.
L'enquête conclut bien évidemment au suicide.
Une ancienne connaissance de Dutroux (Claude Thirault) affirme qu'il parlait, fin 1995, d'un certain Tagliaferro à liquider contre un paiement de 50 000 francs belges. « Lui et sa femme », précisait-il.
Le juge Connerotte considérait qu'il avait suffisamment d'informations pour accorder une protection policière à la veuve de Bruno Tagliaferro. Après son dessaisissement et la nomination du juge Langlois, la protection policière sera levée.
30Temoined
il y a 6 mois
Jean-Jacques Feront
Le 4 mai 1995, la section Jeunesse de la P.J. de Bruxelles reçoit une lettre anonyme contenant des informations sur un pédophile qui vend des photos et des vidéos à caractère sexuel de sa fille de 10 ans.
Ces informations s'avèreront fondées.
Le 11 juillet de la même année, le même informateur déclare avoir vu des photos de Mélissa Russo, proposée avec d'autres enfants à la vente ou à la location par un germanophone dont les initiales figurent sur une chevalière qu'il porte : « K.B. ». Les inspecteurs Speltens et Colson déclarent que cet informateur est fiable, et qu'il a déjà fait ses preuves.
Ils réquisitionnent des spécialistes de la filature, envoient une note au commissariat général dans laquelle ils exposent leur projet. Ils demandent également, pour le 23 septembre 1995, deux sémaphones (« bipeurs », en français) et deux voitures de service.
Et le temps passe...
Les parquets de Louvain et de Liège se renvoient la responsabilité dans ce dossier comme une patate chaude.
Le commissaire Lamoque dit aux parents de Julie et de Mélissa qu'il n'a jamais compris pourquoi on avait décidé en haut lieu que cela ne pouvait se faire.
On retrouve dans ce volet de l'affaire, une intervention de la substitute Paule Somers, ici comme dans le volet sur les témoins X, pour ne pas dire la vérité.
Pour les enquêteurs, « K.B. » évoque tout de suite Klaus Bahr, qui contrôle une grande partie du marché belge du porno dans les années 90.
Klaus Bahr est également décédé depuis lors.
Quand Marc Dutroux est arrêté, onze mois plus tard, et que deux enfants sont libérées de sa cave à Marcinelle (localité que Jean-Jacques Feront avait désignée), les enquêteurs s'arrachent les cheveux, ils expriment leur incompréhension à leur supérieur.
Le 1er mars 2001, Jean-Jacques Feront décède à la suite de deux crises cardiaques consécutives.
Le commissaire Speltens dira devant la Commission parlementaire d'enquête : « Si la magistrature [...] avait laissé la P.J. monter un guet-apens autour de Feront, les gamines auraient peut-être été retrouvées. On ne veut pas aller jusqu'au bout dans cette enquête ».
Fion2Gauchiste2
il y a 6 mois
Il y a un FAL dispo sur cette histoire ?
30Temoined
il y a 6 mois
José Steppe
Au début des années 80, José Steppe habite le quartier de Marc Dutroux, à Goutroux.
Ancien jeune communiste, Steppe vire à l'extrême droite.
En avril 1997, il contacte un journaliste. Affirmant détenir des informations sur l'affaire Dutroux, il parle de remettre au journaliste des copies de cassettes vidéo sur lesquelles on peut voir Dutroux et d'autres en train de violer des enfants.
« Il était inquiet », dit un témoin anonyme ; « Un jour, tu me trouveras avec une balle dans la tête », lui aurait dit José Steppe ; il lui aurait encore dit que ces cassettes vidéo, c'était « de la dynamite » ; qu'on pouvait y reconnaître des notables de Charleroi, des politiciens connus. Steppe « ne voulait pas donner la cassette à la police, parce qu'il y avait là, disait-il, trop de gens corrompus qui les feraient certainement disparaître ».
José Steppe souffre d'asthme, et, pour soulager les crises qui l'accablent, il se sert d'un respirateur.
Le 25 avril 1997, quelques jours avant sa rencontre avec le journaliste avec qui il avait pris contact, une femme d'ouvrage de l'hôtel dans lequel il réside découvre son corps dans un couloir, son masque à oxygène recouvre toujours son visage.
Au fond de la bouteille de l'inhalateur, on découvre du Rohypnol (un sédatif, notamment utilisé par Dutroux lors de ses enlèvements).
zedla10
il y a 6 mois
C'est un malencontreux accident, après le tir de la première balle, provoqué par le suicide du gendarme, qui a tué l'arme est simplement tombé au sol et, suite à la violence de la chute, un second coup est parti, ça arrive tous les jours
W_Adama4
il y a 6 mois
La France c'est pédoland.
Le président en couple avec sa professeur de français depuis ses 15 ans (officiellement)
Dupont-Moretti l'avocat de la défense dans l'affaire d'Outreau qui a intimidé des gosses jusqu'à ce qu'ils se pissent dessus pour leur faire dire qu'ils avaient menti devenu ministre de la justice
Cohn-Bendit qui raconte OKLM ses aventures avec des filettes de 11 ans à la télévision
Olivier Duhamel le président du Siècle (aka un des clubs les plus prestigieux de la république) qui se tape sa nièce
L'affaire du Coral
Aucune enquête sur les activités et les contacts d'Epstein en France
MeatCaramelisee
il y a 6 mois
liberté égalité fraternité
30Temoined
il y a 6 mois
Affaire Zandvoort : 80 familles Françaises reconnaissent leurs enfants sur les photos des victimes.
La juge d'instruction Française rendra un non lieu : Les familles se sont officiellement toutes sans exception trompées et ont confondu leurs enfants à cause d'une "concentration extraordinaire de sosies".
GuntherKinder
il y a 6 mois
C'est un malencontreux accident, après le tir de la première balle, provoqué par le suicide du gendarme, qui a tué l'arme est simplement tombé au sol et, suite à la violence de la chute, un second coup est parti, ça arrive tous les jours
GuntherKinder
il y a 6 mois
La France c'est pédoland.Le président en couple avec sa professeur de français depuis ses 15 ans (officiellement)
Dupont-Moretti l'avocat de la défense dans l'affaire d'Outreau qui a intimidé des gosses jusqu'à ce qu'ils se pissent dessus pour leur faire dire qu'ils avaient menti devenu ministre de la justice
Cohn-Bendit qui raconte OKLM ses aventures avec des filettes de 11 ans à la télévision
Olivier Duhamel le président du Siècle (aka un des clubs les plus prestigieux de la république) qui se tape sa nièce
L'affaire du Coral
Aucune enquête sur les activités et les contacts d'Epstein en France
FionDeManu38
il y a 6 mois
GuntherKinder
il y a 6 mois
30Temoined
il y a 6 mois
-Anna Konjevoda', témoin détenant des informations sur certains complices de Dutroux. Repêchée dans la Meuse. Battue et étranglée avant d'être jetée à l'eau.
-Michel Piro, proxénète propriétaire d'une boîte de nuit. Abattu sur un parking d'autoroute, deux jours avant de rencontrer des parents de petites victimes de Dutroux.
-Brigitte Jenart, dentiste bruxellois, témoin important. Retrouvée morte chez elle. Suicidée.
-Christian Coenraedts, détenu à Bruxelles. Devait être interrogé sur ses liens avec Dutroux et son complice Bernard Weinstein. Evadé la veille de son interrogatoire, pendant un transfert. Retrouvé assassiné un mois plus tard, dans la banlieue bruxelloise.
-Bernard Weinstein, complice de Dutroux. Retrouvé près du corps de Julie et Melissa dans une propriété de Dutroux. Enterré vivant, après une absorption de Rohipnol, tranquillisant avec lequel Dutroux avait l'habitude de neutraliser ses victimes.
-José Steppe, petit truand de Charleroi. Contacte un journaliste pour lui confier des informations sur Dutroux. Meurt chez lui, juste avant la rencontre. Victime d'une crise d'asthme. Dans son appareil respiratoire, on aurait retrouvé du benzodiazépine, le même principe actif contenu dans le Rohipnol.
-Guy Geubels, gendarme. Suicidé avec son arme son service. Il ne cachait pas son désir d'élargir l'enquête sur la mort de Julie et Melissa. La mère de cette dernière, Carole Russo déplore : "à chaque fois que nous avons demandé des informations sur sa mort, la justice nous a donné des réponses différentes".
-Brune Tagliaferro, ferrailleur connu de Dutroux. Empoisonné près de Charleroi. Sa compagne Fabienne Jaupart accuse : "Bruno m'a dit qu'il en savait trop et qu'il serait bientôt mort."
-Fabienne Jaupart, amie du précédent. Retrouvée morte, à moitié carbonisée, dans son lit. Matelas imprégné de méthanol. On lui avait refusé la protection policière qu'elle avait réclamée, s'estimant menacée.
-Gina Bernaer, assistante sociale, membre de l'association Morkhoven. Se sentait menacée. Accident de voiture.
-Jean-Paul Taminiau, videur puis propriétaire d'un night-club-bordel. Détenteur de la clé d'un garage voisin d'un autre, appartenant à Dutroux. On a repêché son pied dans un canal. Le reste du corps n'a jamais été retrouvé. Sa mère est la seule à se battre pour connaître la vérité sur cette mort...
-François Reyskens, vingt-huit ans, toxicomane. Ecrasé par un train à Seraing, juste avant d'être entendu par les gendarmes sur la disparition de Melissa.
-Simon Poncelet, policier à Mons. Tué de quatre balles à bout touchant. Son père, avocat général de Tournai, déclare : "Il existe deux possibilités : un règlement de compte interne pour lequel je ne vois aucun mobile. Soit c'est lié au trafic international de voitures qui occupait toute l'énergie de mon fils".
GuntherKinder
il y a 6 mois
-Anna Konjevoda', témoin détenant des informations sur certains complices de Dutroux. Repêchée dans la Meuse. Battue et étranglée avant d'être jetée à l'eau.-Michel Piro, proxénète propriétaire d'une boîte de nuit. Abattu sur un parking d'autoroute, deux jours avant de rencontrer des parents de petites victimes de Dutroux.
-Brigitte Jenart, dentiste bruxellois, témoin important. Retrouvée morte chez elle. Suicidée.
-Christian Coenraedts, détenu à Bruxelles. Devait être interrogé sur ses liens avec Dutroux et son complice Bernard Weinstein. Evadé la veille de son interrogatoire, pendant un transfert. Retrouvé assassiné un mois plus tard, dans la banlieue bruxelloise.
-Bernard Weinstein, complice de Dutroux. Retrouvé près du corps de Julie et Melissa dans une propriété de Dutroux. Enterré vivant, après une absorption de Rohipnol, tranquillisant avec lequel Dutroux avait l'habitude de neutraliser ses victimes.
-José Steppe, petit truand de Charleroi. Contacte un journaliste pour lui confier des informations sur Dutroux. Meurt chez lui, juste avant la rencontre. Victime d'une crise d'asthme. Dans son appareil respiratoire, on aurait retrouvé du benzodiazépine, le même principe actif contenu dans le Rohipnol.
-Guy Geubels, gendarme. Suicidé avec son arme son service. Il ne cachait pas son désir d'élargir l'enquête sur la mort de Julie et Melissa. La mère de cette dernière, Carole Russo déplore : "à chaque fois que nous avons demandé des informations sur sa mort, la justice nous a donné des réponses différentes".
-Brune Tagliaferro, ferrailleur connu de Dutroux. Empoisonné près de Charleroi. Sa compagne Fabienne Jaupart accuse : "Bruno m'a dit qu'il en savait trop et qu'il serait bientôt mort."
-Fabienne Jaupart, amie du précédent. Retrouvée morte, à moitié carbonisée, dans son lit. Matelas imprégné de méthanol. On lui avait refusé la protection policière qu'elle avait réclamée, s'estimant menacée.
-Gina Bernaer, assistante sociale, membre de l'association Morkhoven. Se sentait menacée. Accident de voiture.
-Jean-Paul Taminiau, videur puis propriétaire d'un night-club-bordel. Détenteur de la clé d'un garage voisin d'un autre, appartenant à Dutroux. On a repêché son pied dans un canal. Le reste du corps n'a jamais été retrouvé. Sa mère est la seule à se battre pour connaître la vérité sur cette mort...
-François Reyskens, vingt-huit ans, toxicomane. Ecrasé par un train à Seraing, juste avant d'être entendu par les gendarmes sur la disparition de Melissa.
-Simon Poncelet, policier à Mons. Tué de quatre balles à bout touchant. Son père, avocat général de Tournai, déclare : "Il existe deux possibilités : un règlement de compte interne pour lequel je ne vois aucun mobile. Soit c'est lié au trafic international de voitures qui occupait toute l'énergie de mon fils".
30Temoined
il y a 6 mois
L'enquête est formelle : Jeffrey Epstein était dépressif et pour preuve, il avait déjà fait une tentative de suicide dans sa cellule.
Les vidéos de surveillance de cette tentative ne seront malheureusement jamais visionnées : Le technicien les aurait effacées "par erreur", sauvegardant les rush du mauvais étage.
30Temoined
il y a 6 mois