Le Parisien confirme que le Village Olympique est un BAISODROME géant
37 messages
Mise à jour: il y a 7 mois
newfag113701
il y a 7 mois
« Cela paraît logique qu'il y ait des relations sexuelles lorsqu'on rassemble autant de monde sur un même lieu, d'autant plus avec une population jeune et gorgée d'hormones, remarque un sportif en lice aux Jeux. Il se passe exactement la même chose pendant des vacances entre jeunes ou lors de séminaires d'entreprise. C'est juste que l'échelle est plus grande. »
eLLrond
il y a 7 mois
L'odeur dans les couloirs, bordel imaginez l'odeur
Tellement enivrante
a13k
il y a 7 mois
Mouais j'ai l'impression que c'est beaucoup de fantasme
Les mecs et femmes s'entraînent toute une vie et vont tout gâcher pour baiser,
Sachant qu'ils ne sont pas seuls dans les chambres
-Umbacano-
il y a 7 mois
Les nageurs olympiques doivent être des dieux vivants
newfag113701
il y a 7 mois
Les rencontres ont lieu au cœur des bâtiments où les délégations sont réparties par nation, puis par discipline dans des chambres que les athlètes partagent à deux. Mais dans ce village mondial à l'allure de tour de Babel, les sportifs se croisent aussi dans les gymnases et les salles de musculation.
Les lieux de restauration sont souvent le cadre privilégié des premiers regards et des premiers contacts. « Tout le monde porte une accréditation avec son nom dessus, on peut facilement se retrouver par la suite et se donner rendez-vous », confie une gymnaste désormais retraitée. Ces dernières années, les applications de rencontres ont encore facilité la tâche des sportifs avides d'aventures. À Paris, Tinder et Bumble ont vu de nouveaux profils d'athlètes fleurir et leur activité bondir en flèche au début des Jeux.
newfag113701
il y a 7 mois
« C'était vraiment très facile de faire des rencontres, souligne un rugbyman présent à Rio. Certains en ont vraiment profité et quand vous voyez des distributeurs de préservatifs partout dans les gymnases, le message est très clair. Il y a peu de barrières. Pendant la compétition, chacun est assez concentré sur ses objectifs. Mais une fois que c'est terminé, tu peux rester un peu au village et l'ambiance est très très festive. Il y a des soirées partout, de l'alcool et les gens se rapprochent… »
newfag113701
il y a 7 mois
Pas de quoi arrêter certains, notamment ceux et celles qui voient leurs espoirs olympiques s'arrêter assez vite. « Ceux qui ne jouent pas grand-chose sportivement profitent du village comme d'un club de vacances, souligne un coach habitué des Jeux. S'ils pouvaient rester trois mois, ils le feraient ! » Le village est doté en effet de bars et lors de certaines éditions, des boîtes de nuit avaient été ouvertes, ce qui n'est pas le cas à Paris où l'alcool est réservé aux VIP sur les sites.
Des pistes de danse sont aussi parfois improvisées. Des lieux où les contacts sont souvent assez directs aux dires de plusieurs sportifs. « C'est très très explicite, on sait rapidement ce que veulent certains », assure une ancienne de Barcelone en 1992.
Les endroits à l'écart où trouver un peu d'intimité ne sont en revanche pas légion. Selon la topographie des villages, certains se donnent rendez-vous en extérieur ou en pleine nuit dans les parties communes, comme l'immense laverie. « J'y ai vu du monde sur les machines », se souvient un sportif, deux fois sélectionné aux JO.
Mini-gsp
il y a 7 mois
Mouais j'ai l'impression que c'est beaucoup de fantasme
Les mecs et femmes s'entraînent toute une vie et vont tout gâcher pour baiser,
Sachant qu'ils ne sont pas seuls dans les chambres
Ceux qui ont été éliminés dès le début ont plus besoin de se préparer. Toute la preession d'une vie qui finit dans la bouche d'une goldgen 10/10
newfag113701
il y a 7 mois
Des chambres vides sont officieusement transformées en lieu de rencontres, un nid d'amour où chacun peut y passer un peu de temps. Et quand on partage la sienne, il faut parfois être conciliant avec son ou sa colocataire. « Il suffit de s'organiser », précise une sprinteuse qui a connu plusieurs Jeux. « Si on me demandait de ne pas monter dans la chambre, j'attendais dans le hall d'entrée en discutant avec mes coéquipiers le temps qu'ils finissent ce qu'ils avaient à faire. J'ai ainsi prêté ma chambre à un sprinteur anglais », rigole-t-elle.
Elle se souvient surtout du formidable brassage lors des soirées où toutes les nationalités et les disciplines pouvaient se croiser et parfois finir ensemble. Mais toujours dans la discrétion, voire le secret. « Un soir, j'ai vu un athlète français sortir de la chambre de la copine du futur champion olympique. Il a juste mis son doigt sur sa bouche et je n'ai jamais rien dit. Moi j'étais mariée et fidèle mais chacun fait ce qu'il veut… » Ce qu'il se passe au village, reste au village !
RNoPasaran
il y a 7 mois
Mouais j'ai l'impression que c'est beaucoup de fantasme
Les mecs et femmes s'entraînent toute une vie et vont tout gâcher pour baiser,
Sachant qu'ils ne sont pas seuls dans les chambres
Ils peuvent retourner au village olympique quand les épreuves sont finies, c'est surtout ça
LamineHamal
il y a 7 mois
Les litres de foutre et de mouille qui doivent couler sous les portes des chambres bordel..
Léon Marchand qui doit avoir les couilles comme des raisins secs après son threesome avec les gymnastes et danseuses aquatiques..
Félix qui s'est dépêché de perdre pour pouvoir se dépuceler avec une chinoise bien bandante..
marmitteafoutre
il y a 7 mois
C'est tellement un baisodrome que les organisateurs songent à remplacer l'eau de la Seine par du foutre.
SoralPunk
il y a 7 mois
Ah ! Ça y va, ça y va, ça y va !
Indienivre
il y a 7 mois
C'est pareil avec les paralympiques ?
Athenea22
il y a 7 mois
Pour avoir bossé à Disneyland Paris, c'est exactement la même chose, surtout en Eté.
Contrat saisonnier, chaleur, hormone, brassage des nationalités....
Les résidences de Disney c'est comme le village olympique.
LegendSoldier
il y a 7 mois
Pendant que nous on crève la gueule ouverte et qu'on a rien
DairClown11
il y a 7 mois
C'est pareil avec les paralympiques ?
C'est ça qu'on veut savoir, c'est nettement plus excitant
L_F_Bardamu_001
il y a 7 mois
https://www.leparisien.fr/jo-paris-2024/une-population-jeune-et-gorgee-dhormones-le-village-olympique-haut-lieu-de-la-performance-sexuelle-06-08-2024-45NNGLMDH5GU7I6THK6P24IWOI.phpUn khey abonné pour partager ? Histoire de me faire du mal
Une population jeune et gorgée d'hormones » : le village olympique, haut lieu de la performance… sexuelle !
Par Bertrand Métayer Le 6 août 2024 à 21h39
« Ce qu'il se passe au village olympique reste au village olympique. » Dans la bouche d'un champion deux fois médaille d'or, la phrase a surtout pour but de nous inciter à ne pas poser trop de questions sur l'envers sexuel des JO. Car si les 14 000 résidents (sportifs et staff) y trouvent avant tout le creuset de performances sportives, le sacro-saint village est aussi un lieu de rencontres hors du commun.
À Sydney (Australie) en l'an 2000, Roger Federer et sa future épouse Miroslava Vavrinec s'y sont embrassés pour la première fois. Plus tôt, en pleine guerre froide, la lanceuse de disque tchèque Olga Fikotova et l'Américain Hal Connolly, spécialiste du marteau, y ont eu un coup de foudre en 1956 à Melbourne, avant de se marier l'année suivante. À Tokyo (Japon) en 1964, une noce a même été organisée entre le gymnaste Nikola Prodanov et la sauteuse en longueur Diana Yorgova, à l'initiative de l'ambassadeur bulgare au Japon.
Parmi les autres unions nées d'une rencontre au village olympique, la footballeuse Megan Rapinoe et la basketteuse Sue Bird à Rio en 2016. Toujours au Brésil, l'athlète américain Will Claye a demandé en mariage sa compagne et coéquipière Queen Harrison quelques secondes sa médaille d'argent en triple saut.
230 000 préservatifs distribués gratuitement pour les résidents du village
Voilà pour les belles histoires d'amour officielles. Mais des centaines d'autres, plus éphémères, naissent lors de chaque Jeux. Elles contribuent au mythe d'un village olympique transformé en lupanar géant. « Entre 70 et 75 % des athlètes ont des relations sexuelles pendant les Jeux », lâchait ainsi le nageur américain Ryan Lochte, six fois médaillé d'or, avant ses troisièmes JO à Londres en 2012.
Hope Solo, ancienne gardienne de l'équipe de foot américaine, a assuré elle aussi qu'il y avait « énormément de sexe dans le village olympique »… et qu'elle n'était pas en reste. Conscients du phénomène, les organisateurs mis à disposition 230 000 préservatifs pour les habitants du village. Le deuxième plus gros total depuis la mise en place de cette mesure à Séoul (Corée du Sud) en 1988, mais loin derrière le record de Rio, qui en avait distribué 450 000.
« Cela paraît logique qu'il y ait des relations sexuelles lorsqu'on rassemble autant de monde sur un même lieu, d'autant plus avec une population jeune et gorgée d'hormones, remarque un sportif en lice aux Jeux. Il se passe exactement la même chose pendant des vacances entre jeunes ou lors de séminaires d'entreprise. C'est juste que l'échelle est plus grande. »
« L'olympisme est une histoire de partage et le partage se fait à tous les niveaux »
Le phénomène n'est pas nouveau. « En 1972 à Munich (Allemagne), c'était le dernier village où les hommes et les femmes étaient séparés, mais il y avait beaucoup de mouvements dans les parkings, se marre Guy Drut, champion olympique du 110 m haies et membre du CIO. Mais tout le monde s'en fichait, sauf ceux qui étaient mariés et pour qui c'était plus délicat ! Il est logique que lorsque des milliers de personnes passent près de trois semaines ensemble, il se passe des choses. L'olympisme est une histoire de partage et le partage se fait à tous les niveaux. »
Dans les coulisses des Jeux de Paris 2024
Les rencontres ont lieu au cœur des bâtiments où les délégations sont réparties par nation, puis par discipline dans des chambres que les athlètes partagent à deux. Mais dans ce village mondial à l'allure de tour de Babel, les sportifs se croisent aussi dans les gymnases et les salles de musculation.
Les lieux de restauration sont souvent le cadre privilégié des premiers regards et des premiers contacts. « Tout le monde porte une accréditation avec son nom dessus, on peut facilement se retrouver par la suite et se donner rendez-vous », confie une gymnaste désormais retraitée. Ces dernières années, les applications de rencontres ont encore facilité la tâche des sportifs avides d'aventures. À Paris, Tinder et Bumble ont vu de nouveaux profils d'athlètes fleurir et leur activité bondir en flèche au début des Jeux.
« C'était vraiment très facile de faire des rencontres, souligne un rugbyman présent à Rio. Certains en ont vraiment profité et quand vous voyez des distributeurs de préservatifs partout dans les gymnases, le message est très clair. Il y a peu de barrières. Pendant la compétition, chacun est assez concentré sur ses objectifs. Mais une fois que c'est terminé, tu peux rester un peu au village et l'ambiance est très très festive. Il y a des soirées partout, de l'alcool et les gens se rapprochent… »
Champion olympique de natation en 2008 et en 2012, Alain Bernard reconnaît cet aspect du village mais tempère l'image de bacchanales : « On sort et on fait la fête mais surtout en dehors du village car il y a un grand respect du travail des autres athlètes qui ont bossé pendant des années et sont concentrés sur leur compétition. »
Claude Fauquet a accompagné toutes les équipes de France de natation aux JO de 1996 à 2012. « Il y a eu un seul incident à Athènes (Grèce) en 2004, où j'ai dû faire intervenir la sécurité, et il y a eu des sanctions, témoigne l'ancien directeur technique national. Mais personne n'a jamais rapporté de problématiques de violences ou d'agressions. La natation se termine à la fin de la première semaine des Jeux, donc les athlètes sont libres d'aller voir d'autres épreuves. Il y a des fêtes et des relations, notamment sexuelles, peuvent se nouer. C'est tout à fait normal. Ce sont des hommes et des femmes en pleine liberté qui font ce qu'ils veulent ensemble. »
Des conséquences sur la performance des athlètes ?
Un champion olympique de handball se souvient notamment de l'atmosphère qui règne leurs jours qui précèdent la cérémonie de clôture. « Presque tout le monde a terminé ses compétitions donc on se lâche beaucoup plus. Tu vois qu'il se passe des trucs. Mais quand tu es dans des appartements avec trois chambres de deux, ça ne facilite pas les choses… De mon côté, j'ai attendu l'après-finale : j'ai été contacté sur les réseaux sociaux par une officielle. On a fini au petit matin dans une chambre d'hôtel à côté du village. Cela n'a pas eu d'incidence sur mes performances. »
Voir ses champions se disperser est la hantise des entraîneurs. Certains tentent d'imposer un couvre-feu, mais impossible de se placer devant chaque porte. « Surveiller les athlètes est un vœu pieux, constate Daniel Costantini, trois JO au compteur avec les Bleus du handball et une médaille de bronze en 1992. Quand vous avez une équipe de mecs un peu portés sur la chose, à part les mettre dans une tente au milieu du désert, vous ne pouvez pas faire grand-chose. »
L'ancien sélectionneur est persuadé que l'échec aux JO d'Atlanta en 1996 (quatrième place) est la conséquence de la vie dissolue de ses joueurs durant la compétition. « Cela a nui à la performance, tacle-t-il. C'était particulièrement ingérable en deuxième semaine car il y avait eu des fatigues supplémentaires. Certains joueurs s'étaient octroyé des sorties incompatibles avec le haut niveau. La sanction est venue avec notre défaite en demi-finale. »
Un « club de vacances » pour certains
Pas de quoi arrêter certains, notamment ceux et celles qui voient leurs espoirs olympiques s'arrêter assez vite. « Ceux qui ne jouent pas grand-chose sportivement profitent du village comme d'un club de vacances, souligne un coach habitué des Jeux. S'ils pouvaient rester trois mois, ils le feraient ! » Le village est doté en effet de bars et lors de certaines éditions, des boîtes de nuit avaient été ouvertes, ce qui n'est pas le cas à Paris où l'alcool est réservé aux VIP sur les sites.
Des pistes de danse sont aussi parfois improvisées. Des lieux où les contacts sont souvent assez directs aux dires de plusieurs sportifs. « C'est très très explicite, on sait rapidement ce que veulent certains », assure une ancienne de Barcelone en 1992.
Les endroits à l'écart où trouver un peu d'intimité ne sont en revanche pas légion. Selon la topographie des villages, certains se donnent rendez-vous en extérieur ou en pleine nuit dans les parties communes, comme l'immense laverie. « J'y ai vu du monde sur les machines », se souvient un sportif, deux fois sélectionné aux JO.
On « s'organise » pour laisser des chambres libres…
Des chambres vides sont officieusement transformées en lieu de rencontres, un nid d'amour où chacun peut y passer un peu de temps. Et quand on partage la sienne, il faut parfois être conciliant avec son ou sa colocataire. « Il suffit de s'organiser », précise une sprinteuse qui a connu plusieurs Jeux. « Si on me demandait de ne pas monter dans la chambre, j'attendais dans le hall d'entrée en discutant avec mes coéquipiers le temps qu'ils finissent ce qu'ils avaient à faire. J'ai ainsi prêté ma chambre à un sprinteur anglais », rigole-t-elle.
Elle se souvient surtout du formidable brassage lors des soirées où toutes les nationalités et les disciplines pouvaient se croiser et parfois finir ensemble. Mais toujours dans la discrétion, voire le secret. « Un soir, j'ai vu un athlète français sortir de la chambre de la copine du futur champion olympique. Il a juste mis son doigt sur sa bouche et je n'ai jamais rien dit. Moi j'étais mariée et fidèle mais chacun fait ce qu'il veut… » Ce qu'il se passe au village, reste au village !
-Umbacano-
il y a 7 mois
J'aurais mieux fait de ne pas demander l'article
NikoBelliic
il y a 7 mois
Statistiques des préservatifs utilisés ? Bien que certains doivent même s'en passer
Nuch_SKPRK
il y a 7 mois
lors des séminaires d'entreprise mais oui bien sûr
Casio_Graph_35
il y a 7 mois
Les frustrés passez le Bafa et faites de colos l'ete, c'est la meme chose.
(Avec des collègues hein Gilbert)
AvaMin
il y a 7 mois
Les frustrés passez le Bafa et faites de colos l'ete, c'est la meme chose.
(Avec des collègues hein Gilbert)
Gymnastes de 40 kilos > Magalies en Sarouel
Youls102
il y a 7 mois
The_Survival
il y a 7 mois
Bof il y a beaucoup de jean raconte
Casio_Graph_35
il y a 7 mois
Gymnastes de 40 kilos > Magalies en Sarouel
À mon époque c'était des meufs bonnes mais oui ca a du changer…
CobideAngola
il y a 7 mois
Toutes
4978
il y a 7 mois
The_Survival a écrit :
Bof il y a beaucoup de jean raconte
T'as raison khey, c'est surement ça
LaraStevens
il y a 7 mois
Baiser atténue les performances physique, les champions ne font pas ça.
Blarda36
il y a 7 mois
Raison de plus pour ne jamais laisser vos copines partir à l'étranger sans vous
DeutscheBahn
il y a 7 mois
Se mettre en couple avec une athlète le pire plan
-Umbacano-
il y a 7 mois