Le PUCEAU tardif de la FAMILLE recoit une VAGINETTE pour NOEL
airmaxbiere4
il y a 3 mois
Putain les ksos bordel
airmaxbiere4
il y a 3 mois
On devrait les foutre à l'usine putain et les faire travailler jusqu'à la mort
Germinal parlait de ces gens là, mais il ne méritent rien d'autre que la mine
au_pire_tanpi2
il y a 3 mois
HarryPfizer74
il y a 3 mois
airmaxbiere4
il y a 3 mois
Rhazz
il y a 3 mois
FreezerBadass
il y a 3 mois
Cette famille de cassos avec la gamine à côté
Pourquoi ils humilient comme ça le pauvre gars
JreviensDeLoin2
il y a 3 mois
C'est surtout de la beauferie de prolos en fait. Vous êtes mignons à parler de décadence les lows droitardés. Au moyen-âge ton père t'amené au bordel tirer un coup pour tes 15 ans.
dans sa bio: "brigade antiincel"
la bourgeoisie manque tellement de problème qu'elle s'invente un tas de concepts fumeux et d'ennemis fantômes
Bicar0meuf
il y a 3 mois
Devant la petite gamine
RoiLeopard
il y a 3 mois
PeloduDonut
il y a 3 mois
On devrait les foutre à l'usine putain et les faire travailler jusqu'à la mortGerminal parlait de ces gens là, mais il ne méritent rien d'autre que la mine
Spoiler si c'est bien la famille de ksos de mon village, ils sont déjà à l'usine en dépit de leur manque d'instruction et de manière et gagnent leur vivre aussi bien que le golem moyen. Enfin je sais pas si c'est toujours le cas vu les restructuration en série dans le bassin liégeois.
ImaneKhelif
il y a 3 mois
j'ai trouvé ca malaisant mais bon
et soudainement la gamine apparait
PardonMarianne
il y a 3 mois
Benito Mussolini, le Duce, promettait une renaissance collective, une régénération totale du corps et de l'esprit du petit peuple. L'ouvrier ne serait plus un simple rouage, mais un pilier de la nation. Le paysan ne serait plus un être arriéré, courbé sur sa terre maigre, mais un soldat du sol italien, fier de son labeur et de sa sueur. Chaque homme devait devenir une pièce du grand édifice national, chaque femme, une mère portant dans son sein les futurs bâtisseurs de l'Empire.La régénération du petit peuple passait d'abord par le redressement moral et spirituel. L'individu devait être transformé, arraché à ses préoccupations mesquines et à ses colères sociales pour être immergé dans le flot puissant d'une identité nationale renouvelée. Les écoles et les organisations de jeunesse, comme les "Balilla", devenaient des forges où les enfants du peuple étaient modelés dès leur plus jeune âge, formés à l'obéissance, au culte du corps sain et de l'esprit discipliné. Dans les chants patriotiques et les uniformes impeccablement ajustés, les enfants des ouvriers apprenaient à marcher au pas, la tête haute, les yeux fixés vers un horizon promis glorieux.
Le petit peuple devait également être régénéré par le travail. Le labeur, autrefois perçu comme une malédiction, devenait un acte héroïque, presque sacré. L'ouvrier dans son usine et le paysan dans son champ étaient élevés au rang de soldats économiques, dont chaque geste servait à renforcer les fondations du nouvel État. Les grandes infrastructures, les ponts, les routes et les bâtiments monumentaux étaient présentés comme les fruits du peuple, des témoignages de son ardeur et de sa discipline.
Mais cette régénération ne concernait pas uniquement les muscles et les outils ; elle s'étendait aussi aux cœurs et aux esprits. La propagande enveloppait les masses, les berçant de récits héroïques, d'images monumentales et de slogans ardents. Chaque affiche, chaque discours de Mussolini, chaque parade militaire rappelait au petit peuple qu'il n'était plus insignifiant, qu'il faisait partie d'une marche historique, d'un destin collectif glorieux. L'individu disparaissait au profit d'une masse exaltée, enflammée par le mythe d'une Italie forte et unie.
Kuchito
il y a 3 mois
nounours_uncle2
il y a 3 mois
lyeongboja
il y a 3 mois
BuveurDeJus
il y a 3 mois