C'est relatif, déjà cette pseudo-indépendance de féministe bobo est totalement couplée à une infrastructure qui repose entièrement sur des boulots d'hommes, qui sont bien évidemment invisibles aux yeux de ces mêmes femmes parce qu'ils représentent les bêtas du monde actuel. Il ne s'agit même plus d'ingratitude, vous n'avez même pas conscience que tout votre monde dépend d'eux. C'est un autre niveau de déni de réalité.

Segundo, cette indépendance s'estompe dans le temps. Demande aux femmes de 50 à 60 ans divorcées pour des raisons futiles ce qu'elles pensent de leur solitude. Elles préfèreraient s'accrocher à un bâton de vieillesse qui est le vieux con de mari plein de défauts et soi-disant inutile qu'elles regrettent amèrement. Mais évidemment leur valeur sur le marché de la séduction est inexistante et à cet âge les hommes vivent bien mieux la solitude qu'elles.

Et même dans la fleur de l'âge, voir les relations comme soi-disant la femme qui fait du bénévolat, c'est vraiment se foutre de la gueule du monde. La plupart du temps la meuf en question, et c'est encore plus drôle quand elle est soi-disant féministe, se case avec un mec qu'elle admire un minimum, et donc qu'elle voit consciemment ou pas, au-dessus d'elle. Si c'est pas le cas, elle le cuck ou le largue rapidement. Il y a toujours un aspect chez le gars en question qui fait qu'elles veulent bien se mettre en retrait pour qu'il prenne le lead sur un tas de sujets du quotidien.

Et s'agissant de la dynamique au quotidien, c'est pas la femme qui fait du bénévolat, c'est la femme qui casse les couilles pour imposer un rythme de merde à vouloir planifier des activités, souvent à chier, le weekend, qui supportent pas que leur homme se couche après elles, enfin bref, elles veulent que le monde de leur homme tourne autour d'elles. Le fameux bénévolat.