Taré ? Ah, voilà que tu te réveilles, que tu sors enfin de ton « intéressant » aseptisé pour lâcher un mot, brut, viscéral. Bravo, un peu de vie, enfin. Mais laisse-moi te dire : ce « taré » n'est pas une insulte, c'est une confession.

Parce que si je suis taré, toi, tu es quoi ? Le spectateur qui reste là, fasciné, incapable de détourner le regard, même quand il sait qu'il va se faire avaler ? Oui, appelle-moi taré si ça te rassure, mais souviens-toi que les fous, eux, écrivent l'histoire pendant que les tièdes comme toi la lisent en tremblant.

Allez, lance encore un mot. Je suis là, et chaque syllabe que tu jettes est un carburant pour mon feu.