Le premier :

Encore une fois de plus, me revoilà sur le beat dark. Sasuke, aka lelite, j'arrive dans le rap game comme une éclipse. Men bat les couilles de la haine qu'ont tous ces types, je fais que du lesa seul ou en équipe, j'enlève tes pessa en 2 ou 3 clics. J'suis tellement rapide, gros, fais beleck a ton uc raconte pas ta vie et ramène -moi mon du avant que je pète un câble et que fasse une dinguerie avec ou sans mes srabs . On fait pas de singeries, on est là, ba oui, on leur met que des balles ici. Fais pas le con, ne joue pas les Jedi, sinon on te la met en 2-2. J'allume mon joint de teuteu, c'est tout c'qui me rend heureux. Je prends la vie en leleu solitaire dans la demeure accompagnée de 3 michtos.

Je vis pas, je meurs pas, je fais juste ce qu'il faut pour m'écarter du démon, pour m'écarter des racli. n'essaie pas de faire le con ou de sortir la carabine bang bang je les tue, ya pas besoin d'études. Ne fais pas le mec têtu, au final tu t'excuses . Moi, je fais que du sale avec toute ma clique, toi tu parles, tu parles, tu mérites prendre la gifle. Faut pas trop t' égarer sinon je vais tirer dessus.

C'est comme ça que j'agis pour pas finir dessus, tu vois c'que j'veux dire. Faut pas me faire chier, sinon c'est sûr que, comme la beu, j'vai te sécher.

J'vais te sécher, te fumer, te brûler, te cramer, tu le sais pour de vrai, ce que je dis, je le fais. Eh ben ouais, c'est vénère, c'est comme ça, mon petit. Toute la nuit, je roule des thés, j'arrive pas à dormir. On me dit que c'est les nerfs et que ça finira par passer. J'vais pas t'mentir, avec moi-même, j'ai déjà fait la paix. Personne peut me soigner, du droit chemin, je me suis éloigné. Seul Dieu peut en témoigner. Je laisse les autres jacasser.

Comme d'hab, j'suis la l'instru, se fait tabasser, normal. C'est les balles que ton crew vont ramasser. C'est pas tes petites histoires qui vont me tracasser. Comme d'hab, mes ennemis se font fracasser. Y a pas de hasard, si j'suis là, c'est pour un truc. À une époque, j'étais roi, prince, comte ou même duc. Personne ne veut y croire, pourtant c'est bien ma vie. Quand j'regarde dans mon miroir, je vois mes cicatrices. Moi, hamdoullah, ça va, j'ai vécu de peu la psychiatrie. Ils voulaient me voir là-bas, là-bas où en zonpri.