Les BOOMEURS interloqués par les jeunes qui n'en BRANLENT pas une au travail
49 messages
Mise à jour: il y a 6 mois
Eburovice
il y a 6 mois
Cocasse des managaeur qui n'ont pas essence pas de charge de travail et ne produisent rien se plaignent que ceux payés moins qu'eux produisent encore moins
J'adore
Croque-mon-cul2
il y a 6 mois
Ils comprendront jamais
Nipponerie4
il y a 6 mois
Bon après tu lit l'article tu t'aperçois qu'il y a surement un peu diversité là-dedans
Danilovlebanni
il y a 6 mois
Salaire minimum = travail minimum
DemiSquatValide
il y a 6 mois
A leur age vous pouvie acheter une barraque en 10ans
A leur age y avait pas un couteaux oqtf toute les semaine
A leur age vous aviez la retraite a 55 ans...
J'ai corrigé
WraithBrisao
il y a 6 mois
A leur age vous pouvie acheter une barraque en 10ans
A leur age y avait pas un couteaux oqtf toute les semaine
A leur age vous aviez la retraite a 60ans...
Mon grand père est parti à 55 ans
Eburovice
il y a 6 mois
Mon grand père est parti à 55 ans
Désolé pour toi mon khey c'est si jeune
Trotro-Linet
il y a 6 mois
Après ça arrange la génération juste avant car grâce aux zoomers, les salaires augmentent pour les autres
Et ce n'est pas parce qu'on paiera + la dernière génération qu'elle bossera mieux, faut pas se faire d'illusion
Sage6
il y a 6 mois
Cocasse des managaeur qui n'ont pas essence pas de charge de travail et ne produisent rien se plaignent que ceux payés moins qu'eux produisent encore moinsJ'adore
Typiquement les réflexions d'un low
whoom32
il y a 6 mois
A leur age vous pouvie acheter une barraque en 10ans
FAKE
FAKE
pas tout a fait vrai
Nipponerie4
il y a 6 mois
J'ai corrigé
Me semble qu'il fallait commencer à travailler avant 20 ans pour avoir ça, pour un certain niveau d'étude c'était 60ans ? Mais je peux me tromper.
Aide_Soutien666
il y a 6 mois
«On a l'impression que le monde tourne autour d'eux, soupire ainsi Maxime (1), manager dans le design de 35 ans. Ils pensent avoir un très haut niveau d'expérience, qui justifierait d'en demander toujours plus.» «Eux», ce sont ses collègues, dont il a été promu chef il y a un an, principalement des chefs de projet âgés de 22 à 27 ans environ, et dont c'est là le premier ou le second poste. «Ils font leur job pour le faire et rien de plus, sans motivation ni volonté de s'approprier leur poste, poursuit-il. Et ça se ressent : il n'y a jamais de valeur ajoutée à leur travail.»
Bordel Maxime ce giga golem
En plus ça veut rien dire ce qu'il débite
Nipponerie4
il y a 6 mois
FAKE
FAKE
pas tout a fait vrai
Meme les boomer prolo que je connais on tous acheter leur baraque... les taux etait bien bien meilleur l'immobilier a exploser, enfin vraiment....
Pour les couteaux oqtf c'est également assez facile à vérifier
Eburovice
il y a 6 mois
Typiquement les réflexions d'un low
On connaît par cœur ces "boites" dans Paris avec des.conneries de N+1 ou je sais pas quoi les managers qui n'en peuvent plus de gérer des... TABLEAU EXELS
Le travail d'intermédiaires pour d'autres boîtes bref des emplois fictifs qui ne sont crée que parceque le capitalisme le permet
Production d'impôt ça oui
Production réelle : zéro matière première
Zéro travail humain
Que de l'intermédiaire pour acheminer je ne sais quoi où crée des logo ou gérer des tableau exels pour d'autres qui en ont marre
C'est sans fins bordel quel cauchemar
Aide_Soutien666
il y a 6 mois
SuicideCouilles
il y a 6 mois
La pire génération de l'histoire humaine, les Boomers.
Génération gâtée ils ont tout eu et ont vécu sur la prospérité construite par les générations avant la leur, ils n'ont connu aucun problème, aucune guerre, aucune réelle catastrophe
Trouve un emploi en une après midi avec un petit diplôme et une poignée de main, emploi garanti à vie avec assurance et voiture de fonction
Des comptes en banques à 15% d'intérêt
Des restes de valeurs spirituelles
Immobilier à un prix dérisoire
Enormément d'opportunités financières (bourse, informatique, sportives etc)
Le cerveau non bousillé par les smartphones, un air de bonne qualité, nourriture nutritive et saine, et j'en passe
Partir à 55 ans à la retraite et faire payer les autres générations
Mais malgré TOUT ÇA ils ont tout foutu en l'air, et ils continuent
Ont voté Macron à 80% en 2017, responsable de la non élection de Lepen
Ne reconnaissent jamais leur erreurs et accusent d'autres à leur place (les riches, les politiques...), même si ils en font partie ou les soutiennent activement
Soutient inconditionnel de l'union européenne
Plombent le marché de l'immobilier, vous empêchant d'être propriétaire ou au moins d'avoir un loyer décent
Ont lancé le divorce de masse, détruisant la famille nucléaire
Responsables de la mauvaise éducation des jeunes générations
Ont détruit le système éducatif et académique avec des expériences sociales et politiques qui ont handicapé au moins deux générations
Sont les promoteurs du type d'économie et de système bancaire qui ont mis le pays dans la plus grande dette de son histoire, et de loin
Causent des recessions économiques qui affectent le monde entier
Via les changements économiques les retraités d'aujourd'hui n'ont presque pas financé leurs retraites
Responsables de la société de consommation
Responsables de la catastrophe écologique, ils ont épuisé toutes les ressources de la plupart des pays de la planète en une seule génération, ne laissant rien pour le futur, notre présent. Ils ont tellement pollué la planète que certaines zones sont devenues impropres à supporter la vie, et laissent le nettoyage pour les prochaines générations.
Ont soutenu le fém*nisme radical
Font parti des plus farouches supporters du mult*culturalisme, sont en réalité très rac*stes et hypocrites
Donnent des conseils stupides et dépassés, osent dire que les jeunes sont feignants
Responsables de la délocalisation de secteurs entiers de l'industrie au-delà de l'océan en échange de profits rapides et à court terme, détruisant le marché de l'emploi et ouvrant la porte au chômage de masse et à l'économie instable
Sacrifient la France tout entière, son économie et sa population pour se protéger du coronavirus
Dépensent votre héritage en croisière de luxe, envoi d'argent à l'étranger et associations caritatives pour le tiers monde
Mais pour bien réaliser l'impact des boomers, rien de mieux que la redpill de la retraite via les dépenses publiques
Voici le tableau récapitulatif des dépenses publiques:
Regardons ce que nous dit le tableau:
Pour 1000€ de dépenses publiques, les retraites représentent 268€
Pour comparaison le rsa et autres solidarités représentent 22€
Soit plus de 10x les dépenses liées au rsa et aux autres solidarités
Ensuite nous avons 191€ pour l'assurance maladie, chose importante à prendre en compte car les personnes âgées sont surreprésentées dans les dépenses liées à la santé. L'état paie des centaines de milliards pour maintenir des personnes qui JAMAIS plus ne travailleront ni ne produiront de leur vie.
Ce n'est pas tout, regardons aussi le ratio par actif avec les chiffres de l'INSEE sur les retraites https://www.lesechos.fr/economie-france/social/pres-de-17-millions-de-retraites-en-france-la-pension-moyenne-nette-a-1393-euros-1316610
Au total, les pensions de retraite représentent 327,9 milliards d'euros sur l'année Et les chiffres du nombre de personnes actives en France sont dispos sur le site de l'INSEE : https://www.insee.fr/fr/outil-interactif/5367857/tableau/50_MTS/51_EPA Nombre d'emplois : 28,5 millions Vous faites le calcul : 327,9 / 28,5 égal chaque actif en moyenne travaille et donne pour 11 505 € / an aux boomers, soit 958 € / mois
La pension moyenne s'établit au dessus du smic
Ce qui n'inclut ni les revenus de l'immobilier (votre loyer ), ni les revenus boursiers, ni les assurances-vie, etc
La France est le seul pays de l'OCDE où le revenu moyen des retraités est supérieur à celui des actifs. C'est aussi le pays où l'on passe le plus de temps à la retraite ( 27 ans pour les femmes et 22 pour les hommes)
Coût des retraites envoyées à l'étranger: 30 milliards par an Coût des dépenses de la Sécu à l'étranger: 20 milliards par an
Rappelons que l'ISF n'est que de 2-3 milliards.
1 tiers des dépenses de l'état sont pour les boomers
1/3 de l'argent de la France est donné à des gens dont la plupart ont un patrimoine voir même d'autres revenus.
Plusieurs fois le budget des infrastructures du pays, de l'armée, de la recherche, du rsa, et de l'agriculture à un groupe de personnes qui est par définition inutile et parasitaire
Les boomers plombent économiquement le pays encore plus que l'immigration. Immigration qui d'ailleurs est supporté en masse par ces momies aux bandages en or massif payés par vous
Les retraités ont le meilleur niveau de vie en France, seul pays au monde où les retraités gagnent plus que les actifs...
...mais nous, nous n'aurons aucune retraite, mais nous payons pour les retraités
Ils ne s'arrêteront pas, ils suceront le sang du pays à sec, aspirer la richesse des jeunes générations pour alimenter leurs retraites luxueuses comme ils ont aspiré la richesse du pays dans leur jeunesse pour vivre leur vie facile.
Marianatrench
il y a 6 mois
Sélection naturelle ça sera plus facile de se démarquer
whoom32
il y a 6 mois
Meme les boomer prolo que je connais on tous acheter leur baraque... les taux etait bien bien meilleur l'immobilier a exploser, enfin vraiment....
Pour les couteaux oqtf c'est également assez facile à vérifier
immobilier dans les année 80 entre 10 et 20 %
aujourd'hui : entre 2 et 3 %
Eburovice
il y a 6 mois
«On a l'impression que le monde tourne autour d'eux, soupire ainsi Maxime (1), manager dans le design de 35 ans. Ils pensent avoir un très haut niveau d'expérience, qui justifierait d'en demander toujours plus.» «Eux», ce sont ses collègues, dont il a été promu chef il y a un an, principalement des chefs de projet âgés de 22 à 27 ans environ, et dont c'est là le premier ou le second poste. «Ils font leur job pour le faire et rien de plus, sans motivation ni volonté de s'approprier leur poste, poursuit-il. Et ça se ressent : il n'y a jamais de valeur ajoutée à leur travail.»Bordel Maxime ce giga golem
En plus ça veut rien dire ce qu'il débite
Aide_Soutien666
il y a 6 mois
Mr_SelfDistruct
il y a 6 mois
Bordel je suis manager dans une grosse boîte et je préfère 10000 fois plus travailler avec les plus jeunes de 25/30 ans qu'avec 90% des boomers invirables et incompétents que je dois côtoyer.
Eburovice
il y a 6 mois
immobilier dans les année 80 entre 10 et 20 %
aujourd'hui : entre 2 et 3 %
Maintenant prend en compte le pourcentage que l'immobilier à pris depuis les années 80 et pense au fait que cela n'arrivera plus jamais
Aide_Soutien666
il y a 6 mois
SolideSchneck
il y a 6 mois
"Eux osent la ramener, partir plus tôt si besoin, refusent le présentéisme. Et c'est une bonne chose ! Tout ce qui compte, c'est que le travail soit fait.»"
Le présentéisme est une maladie française.
SolideSchneck
il y a 6 mois
Toi t'es desco et au rsa t'y connais rien
Piqué au vif, le bonhomme.
9785V2
il y a 6 mois
Encore une fois, un boomer bloqué dans les années 80 SpoilAfficherMasquerTout comme le pays, mais c'est un autre sujet pour un autre jour croit que le monde du travail fonctionne comme quand il était jeune.
"à leur âge" "de mon temps" Non, ton temps c'est 1986, on est 38 ans plus tard.
-Un appartement ne coûte plus 3 ans de crédit, mais 20.
-Un seul salaire a l'usine ne suffit plus pour vivre décemment et deux salaires ne suffisent plus pour vivre de manière aisée.
-La Smicardisation de la France est réelle la ou en 1985, a peine 5% de la population était au SMIC (quasi 20% aujourd'hui), le pouvoir d'achat des gens a fondu et encore plus sous Macron (-1% de pouvoir d'achat par AN ou Macron a été au pouvoir, source INSEE)
-La retraite a 60 ans et même la retraite a 55 ans n'existe plus, la jeune génération voit ses grands parents travailler a peine plus de la moitié de leur vie quand on leur dit ouvertement qu'ils seront encore en train de travailler a 70 ans.
-Avoir une promotion d'une autre planète en 6 mois n'est plus possible aujourd'hui. Tu rentres en tant que balayeur technicien de surface, tu demandes a passer chef d'agence en 6 mois, on va te hurlax au nez, t'expliquer que t'as pas les bons diplômes et on va gentiment te dire de revenir dans 8 ans quand t'aura fait un Master + que t'auras acquis de l'XP, tu rentres balayeur, tu restes balayeur.
-Les inégalités n'ont jamais été aussi fortes qu'aujourd'hui. Là ou Henry Ford disait "Je suis payé 13x plus que le gars le moins payé de ma boite, je m'arrête la", on a aujourd'hui des écarts a 300-400x entre le mec le moins payé d'une boite, et le mec le plus payé, le jeune voit la douille et la comprend.
Donc au bout d'un moment, faut la fermer et comprendre comment ça fonctionne en 2024.
Cortez_442
il y a 6 mois
Salaire minimum = travail minimum
C'est meme pas une question d'argent, ils ne savent plus rien faire, à 20 ans ils sont déjà fatigués de leur vies
Lagiacrus05
il y a 6 mois
A l'époque des boomers il y avait 3-4 personnes et 2 manager pour un seul poste.
A l'époque des boomers les placards étaient remplis de bouteilles d'alcool et ça fumait dans les bureaux.
Ça finissait rincer à la fin de la journée et c'était même toléré.
Prout2022
il y a 6 mois
Les boomers sont tous à la retraite bande de guignols arrêtez de répéter ce mot comme des idiots
BaalMarduk
il y a 6 mois
Les boomers sont tous à la retraite bande de guignols arrêtez de répéter ce mot comme des idiots
Les générations Y c'est pareil
Takeshin
il y a 6 mois
Les boomers sont tous à la retraite bande de guignols arrêtez de répéter ce mot comme des idiots
Si tu mets le curseur à 1960, il y en a encore quelques-uns en Belgique (mes deux parents sont à la fin de la cohorte et bossent encore), ou autres pays avec une retraite à 65-67 ans, mais ça prépare doucement les croisières.
Cyclasimia
il y a 6 mois
Vous voulez l'article complet les kheys ?
Flemme de le copier coller mais si vous voulez je vous le donne
LeKheyNouveau2
il y a 6 mois
«On a l'impression que le monde tourne autour d'eux, soupire ainsi Maxime (1), manager dans le design de 35 ans. Ils pensent avoir un très haut niveau d'expérience, qui justifierait d'en demander toujours plus.» «Eux», ce sont ses collègues, dont il a été promu chef il y a un an, principalement des chefs de projet âgés de 22 à 27 ans environ, et dont c'est là le premier ou le second poste. «Ils font leur job pour le faire et rien de plus, sans motivation ni volonté de s'approprier leur poste, poursuit-il. Et ça se ressent : il n'y a jamais de valeur ajoutée à leur travail.»Bordel Maxime ce giga golem
En plus ça veut rien dire ce qu'il débite
Ils font leurs jobs uniquement, quelle horreur.
Cyclasimia
il y a 6 mois
Sofiane Zaizoune
Aux États-Unis, un nombre croissant de salariés de la Gen Z sont renvoyés après quelques mois seulement, par des cadres épuisés et agacés. En France aussi, le fossé semble parfois se creuser et les incompréhensions, se multiplier.
Seraient-ils donc si peu professionnels, ces vingtenaires ? Sur les réseaux sociaux, on ne dénombre plus les vidéos qui tournent en dérision leur légèreté - une salariée se faisant les ongles en pleine journée, une autre participant à une visioconférence depuis une cabine de bronzage... «Un stagiaire m'a déjà lancé «wesh alors ?» en guise de bonjour, glisse Judith (1), 36 ans, cadre dans une entreprise de communication parisienne. Je suis restée interdite, sans pouvoir répondre. Une autre s'est plainte, de façon assez vulgaire, de la localisation des W.-C., trop peu discrète à son goût. Plusieurs jeunes m'ont ainsi donné le sentiment de ne pas avoir les codes.»
Judith n'est pas la seule à partager ce sentiment. D'autres managers ou dirigeants, interrogés pour cet article, semblent parfois confus, voire démunis, face à de jeunes salariés fraîchement diplômés aux habitudes bien différentes des leurs. 86% des dirigeants d'entreprise perçoivent ainsi la Gen Z - soit la génération née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010 - comme différente de leurs aînés, selon une étude Ipsos pour l'école d'ingénieur CESI. Dans le détail, plus d'un employeur sur deux juge les salariés de moins de 30 ans moins investis au travail et moins respectueux de la hiérarchie. Pire : pour 72 % des sondés, les vingtenaires se montrent moins fidèles envers l'entreprise.
L'heure, c'est l'heure
«On a l'impression que le monde tourne autour d'eux, soupire ainsi Maxime (1), manager dans le design de 35 ans. Ils pensent avoir un très haut niveau d'expérience, qui justifierait d'en demander toujours plus.» «Eux», ce sont ses collègues, dont il a été promu chef il y a un an, principalement des chefs de projet âgés de 22 à 27 ans environ, et dont c'est là le premier ou le second poste. «Ils font leur job pour le faire et rien de plus, sans motivation ni volonté de s'approprier leur poste, poursuit-il. Et ça se ressent : il n'y a jamais de valeur ajoutée à leur travail.»
Des horaires respectés à la minute près, une absence presque totale d'initiatives, une certaine tendance à le charger, lui, de leurs propres responsabilités... Sans animosité, et tout en reconnaissant que leur bas salaire ne les encourage sans doute pas à se dépasser, Maxime énumère les signes, selon lui, d'un manque d'investissement mais aussi de solidarité entre collègues. «Si je n'énonce pas à haute voix une tâche pourtant évidente, elle ne sera pas faite, poursuit-il. Lorsque je suis mécontent aussi, je dois le montrer, clairement, ce qui m'a valu regards noirs et messes basses. Je me retrouve donc à prendre énormément de pincettes pour ne pas devenir ce méchant chef détesté par son équipe.»
Nouvelle donne ?
Que se passe-t-il donc sur le terrain mouvant des open spaces ? Une redéfinition généralisée des priorités et des lignes rouges, des attentes et des désillusions. Un mélange de phénomènes complexes, surtout, qui agitent le débat public. Depuis la pandémie de Covid-19, on voit se multiplier enquêtes d'opinion, études sociologiques, tribunes et essais. Tout comme les concepts anglo-saxons souvent flous et rarement adaptés à la réalité française du travail. Quiet quitting, grande démission, « lazy girl jobs », «épidémie de flemme», quête de sens qui serait devenue la nouvelle étoile polaire...
D'autres, à l'inverse, saluent une vie professionnelle remise à sa juste place, après des années d'intensification du travail , de multiplication des processet d' un contrôle devenu quasi permanent à force de tableaux Excel. Et les jeunes, dans tout ça ? Ils s'avèrent plus nombreux que l'ensemble de la population active à qualifier leur travail de plaisir (43 % contre 34 %) ou de source de fierté (38 % contre 30 %), selon un sondage de l'Ifop. Ce qui ne les empêche pas, dans des proportions tout aussi significatives, d'associer le travail à la routine (48% des sondés) ou à une contrainte (21%).
Aux États-Unis, le fossé se creuse
D'où, peut-être, une volonté de tirer du salariat le plus d'avantages possibles. Y compris au-delà de leur métier en tant que tel. «À l'ouverture de notre bureau new-yorkais, j'ai fait un discours que je trouvais super, inspirant et puissant, avant de laisser la parole à nos jeunes nouvelles recrues. Leur première question ? Si j'avais l'intention de financer un club de basket au sein de la boîte», s'étonne, râleur, le patron d'un grand média - qui a, depuis, fermé ses bureaux américains. Aux États-Unis, justement, le fossé générationnel semble tel que de nombreuses entreprises se délestent de leurs salariés de moins de 30 ans. En septembre dernier, intelligent.com, plateforme dédiée aux étudiants, a interrogé 966 sociétés sur leurs récentes embauches de jeunes diplômés. Résultat ? 75 % d'entre elles les ont jugés insatisfaisants et 6 entreprises sur 10 ont licencié leurs salariés fraîchement sortis de l'université. Les patrons interrogés pointent une incapacité à gérer la charge de travail et un manque de professionnalisme. Si bien que 9 managers sur 10 estiment que les jeunes diplômés devraient suivre une formation à l'étiquette professionnelle avant de rejoindre le monde du travail.
En France, les managers pensent peu ou prou la même chose que leurs confrères américains, comme le révèle une vaste étude menée par la fondation Terra Nova et l'Association pour l'emploi des cadres (Apec). Sans que cela se traduise par une hausse significative des licenciements ou des démissions, selon la Dares, l'organe statistique du ministère du Travail. Tout juste sait-on que le premier trimestre 2024 a vu une légère hausse des licenciements et que les moins de 30 ans ont subi une explosion de licenciements économiques lors des premiers confinements et de la crise économique qu'ils ont entraînée.
Des codes qui se perdent
Plus qu'une grande bascule, on assiste donc peut-être à des codes en pleine évolution. Qui viennent, au passage, questionner le rapport de chacun au travail et à la façon dont il le fait. Au-delà de simples caprices d'une génération souvent caricaturée comme immature, les plaintes de certains jeunes salariés cachent peut-être leur aspiration à d'autres façons de faire ou de nouer des liens avec leurs collègues. Sur le fond, bien des études battent en brèche les clichés qui leur collent à la peau. Ainsi une enquête de la fondation Terra Nova et de l'Apec, aux conclusions sans appel : les jeunes aiment travailler, quitte à en faire plus si besoin, et se disent aussi attachés à leur entreprise qu'enclins à suivre les décisions de leur hiérarchie.
En revanche, et c'est peut-être là que le fossé se creuse, un travail intéressant à leurs yeux passe avant tout par une diversité de tâches et de missions, plus que par le sentiment d'être utile ou autonome. Plus vite lassée, la Gen Z semble moins aspirer à une routine confortable qu'à une stimulation permanente. Sans oublier que la deuxième chose la plus importante à leurs yeux, avant la sécurité de l'emploi, consiste en un bon équilibre entre vie privée et professionnelle. Jusqu'à, parfois, pousser le curseur trop loin ? «Je ne crois pas, répond Vincent, 39 ans, directeur d'une agence de communication. À leur âge, on bossait comme des fous, toute la nuit parfois, sans se poser de questions. Eux osent la ramener, partir plus tôt si besoin, refusent le présentéisme. Et c'est une bonne chose ! Tout ce qui compte, c'est que le travail soit fait.» Et, peut-être, que chacun ait le temps de vivre, loin du bureau. Après tout, d'autres pays semblent bien y parvenir.
(1) Les prénoms ont été changés.
TempusFugit_75
il y a 6 mois
Les commentaires:
Je suis d'une generation qui aimait son entreprise, qui faisait corps avec elle. Qui defendait ses couleurs. Nous voulions son succès. Et souvent nous en etions récompensés. Aujourd'hui nous serions tournés en derision. C'est chacun pour soi. L'individualisme à outrance . C'est le sens du vent. Deconstruction à tous les étages. D'autres profiterons de notre delabrement. Ce n'est pas cette génération Z, generation zut generation zero, la dernière donc de la liste qui fera face....
Leurs familles ont échouées à les éduquer. L'école également. Il n'y a plus de service militaire. Bonne chance à leurs patrons !
Nous sommes des milliards sur terre et des centaines de millions a beaucoup travailler. Si cette génération ne travaille pas, elle ne produira pas de nouvelles richesses a transmettre. Elle vit juste sur le travail des générations précédentes en profiteurs décomplexés. Ce sont ceux qui travaillent beaucoup et mieux qui seront leurs employeurs et qui décideront de leur futur très bientôt.
Les moins de 30 ans une catastrophe. La main sur la montre, savent tout faire et rien faire.
Génération Zzz... (ne les réveillez pas au bureau car ils risquent de partir)
Avant tout une question d'éducation j'imagine…
Si papa et maman ont passé leurs vies à dire à ce cher bambin que la terre tourne autour de lui et non du soleil, il ne s'agit alors que d'une conséquence…
Quand ils auront été virés plusieurs fois ils changeront peut être (ou pas). Il faut les recarder sévèrement. Cette attitude doit changer. Génération wesh surtout.
Conclusion: embaucher des seniors!
Eux savent bosser
TempusFugit_75
il y a 6 mois
Cette rage:
Génération qui veut des sous mais sans travailler. Et qui jalouse les vieux qui , eux, ont travaillé. Mais bon, avec le culte de l'enfant roi, ce n'est guère surprenant.
A leur âge on bossait la journée , on sortait la nuit et direct au boulot le lendemain.
Nous avons créé à la pelle une génération d'incapables.
Le pire, c'est qu'une partie de cette génération Z n'est pas employable et ne le sera jamais, en raison de sa distance sidérale avec les codes sociaux et plus encore ceux du monde de l'entreprise. Que pourrons nous en faire, autrement que des assistés ?
Le fond du problème de cette génération c'est le manque d'éducation et les codes qui vont avec (soft skills) et un égocentrisme dépassant toutes les bornes. Ils ne sont pas aptes à la vie en société donc en entreprise. Ils se donnent bonne conscience en se voyant comme des contestataires du système mais ils vont le payer très cher en terme de niveau de vie, quand les "anciens" ne seront plus là pour tenir la barre.
Tacheur2Drap
il y a 6 mois