On en parle des ces fraudes?

Gontran, le gendre avec sa belle famille qui ne peut pas supporter le moindre silence et qui s'empresse de ploplodir comme un golmon à chaque interruption. La belle famille qui le suit par solidarité, et toute la plèble ignare qui s'y met aussi

Pendant ce temps, les musiciens qui font semblant de réajuster leurs partitions pour masquer leur malaise, le premier violon qui lance des regards assassins vers le public...

Et ce pauvre chef d'orchestre, condamné à faire des petits mouvements de nuque passif-agressifs en mode "bon fermez vos gueules"

Seule l'élite intellectuelle, assise au fond, bras croisés, attend stoïquement la suite en levant les yeux au ciel. Les derniers gardiens de la culture, qui respectent la partition et savent que le vrai plaisir musical se mérite dans le silence.

Je vous jure on devrait distribuer une muselière à l'entrée pour ces goliots

"agneeuuu y était bien le syphonie"

"c'était un concerto m'enfin "