Le plus drôle c'est qu'ils ne se rendent même pas compte du piège médiatique dans lequel ils tombent. Là, sur BFM, il y avait Jacobelli, un des principaux responsables de la communication du RN. Tous les gens sur le plateau lui parlaient des "candidats problématiques" que le RN avait présentés et sous-entendaient que c'était ce qui avait fait perdre le parti. Lui, comme un cuck, a commencé à s'embourber dans des explications et des mea culpa. C'est justement au fait d'assumer sa radicalité que le NFP doit sa victoire, alors que le RN court désespérément après la fréquentabilité.