Si c'est ta meuf elle peut pas etre lesbienne déjà + aimer voir un clit se faire tripoter c'est pas de l'homosexualité chez les femmes

Voila elles prennent ça comme un truc fun, le sexe c'est comme un massage pour elles. Y a pas vraiment d'orientation pure et dure comme chez les mecs. Mais c'est aucun cas de la bisexualité car c'est pas les femmes qui les attirent mais plus l'idée de ce qu'elles vont faire

Les mecs qui préferent se faire sucer par un homme par contre c'est gay si c'est ça qui te provoque l'érection. En revanche, se faire sucer par un homme après être déjà excité c'est pas forcément gay, bien que la plupart ne comprendront pas ça ( c'est simple pourtant )

Ben c'est la vérité

Beauté -> trait féminin

C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).

Vous savez très bien que l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. À cause de la testostérone l'homme développe un intérêt abrupt envers l'être convoité ce qui se traduit par une attirance pour le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.

La sexualité de l'homme est déraisonnée, non pas dans le sens où elle se fonde sur des sentiments et des impressions que sa raison cherchera à justifier sans relâche a posteriori (ce qui est le cas chez la femme), mais dans le sens où le désir sexuel est antérieur à tout sentiment amoureux éprouvé. Chez l'homme l'amour est beaucoup plus volatile en ce sens qu'il n'engage que la femme qui en est l'objet.

Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. L'homme peut féconder comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, tandis que la femme ne donne naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible ce qui n'est largement pas ce que l'on observe en matière de désir masculin.

Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.

Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.

Vous remarquerez que ces considérations expliquent certains nomment « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes ne s'en sont pas plaint pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui. On sait aussi que la mondialisation a largement accentué ce phénomène en accordant aux femmes des choix toujours plus vastes et variés, notamment par l'intermédiaire des applications de rencontres où elles sont largement avantagées.

« Les femmes n'aiment pas le corps des hommes. » ; il eût fallu comprendre : la sexualité de la femme est fondée sur des sentiments, celle des hommes sur des sensations. Chez ces derniers c'est l'image renvoyée, en tant qu'elle est perçue sans jamais qu'il y ait médiation par l'intellect, qui fait foi. Chez la femme il y a un mécanisme réflexif, quasiment inconscient, qui cherche sans cesse à justifier l'attirance éprouvée (souvent par des fantasmagories comme un appel au destin, « cette rencontre devait arriver », l'intérêt porté à la rencontre lorsqu'elle émane d'une situation contingente, etc.) afin de s'auto-convaincre que l'homme sélectionné correspond bien au meilleur parti possible. C'est en raison de cette dimension sociale de l'amour féminin que les femmes tendent à éprouver davantage de désir envers un homme déjà en couple, car cela signifie pour elles qu'il a été validé par une paire.

La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.

Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien ( ) ou que les femmes sont autant attirées par le sexe hétérosexuel que par le sexe lesbien :

An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]

Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]

Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est simplement faux.

Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).

Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )

Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.

Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.

Ah la bonne vieille boucle

pavé césar

Homme = dans la recherche
Femme = être recherchée

Voila pourquoi elles ont peu d'intérêt à savoir quel genre voire même quoi les approche.

Certes