Cette déclaration suggère une dynamique de pouvoir déséquilibrée dans le marché sexuel, où les hommes sont dépeints comme des êtres dominés par leurs désirs sexuels, tandis que les femmes sont présentées comme utilisant le sexe comme une marchandise pour obtenir la sécurité matérielle. Cette vision binaire et simpliste ignore la complexité de la sexualité humaine et des relations entre les sexes.

Dans cette perspective, les hommes sont réduits à leurs instincts primitifs, étant uniquement motivés par le désir sexuel. Cela implique que les hommes n'ont pas de contrôle sur leurs pulsions et qu'ils sont prêts à tout pour assouvir leurs besoins sexuels. D'un autre côté, les femmes sont présentées comme des êtres calculateurs, utilisant leur sexualité comme une monnaie d'échange pour obtenir ce qu'elles désirent : un foyer, du confort et la stabilité financière. Cette vision suggère que les femmes n'ont pas de désir sexuel intrinsèque et qu'elles manipulent les hommes pour atteindre leurs objectifs.

Cette idée d'un marché sexuel défavorable aux hommes implique une vision transactionnelle de la sexualité, où le plaisir et l'intimité sont remplacés par l'échange et la manipulation. Elle ignore le fait que les relations sexuelles peuvent être mutuellement consenties et agréables pour les deux parties, et que les femmes peuvent également avoir des désirs sexuels et une sexualité active.

En outre, cette affirmation renforce des stéréotypes de genre nocifs. Elle suggère que les hommes sont incapables de contrôler leurs désirs, ce qui peut conduire à la justification de comportements prédateurs. De plus, elle réduit les femmes à des objets sexuels et à des êtres opportunistes, ignorant leur agence et leur plaisir dans les relations sexuelles.

En conclusion, cette phrase présente une vision biaisée et problématique des relations sexuelles et des rôles des sexes, qui, si elle était prise au sérieux, pourrait avoir des implications sociales et culturelles dangereuses.
Heureusement vous êtes de toute évidence un clown fait pour divertir, ou bien chercher une réaction de dérision via un mode de pensée absurde.