Moi, je viens d'écrire ça, mon desu :

Les hommes rejettent toujours la faute sur vous, les femmes. Les hommes vous ont voilé, vous ont privé de liberté, vous ont traité comme des récipients à semence sans conscience. Et ont acclamé que vous n'aviez pas votre mot à dire sur la gérance de notre planète. Comme si vous n'étiez que des crétines sans cervelle incapables de projection.
Eh bien, moi, je vous le dis. J'adore les femmes. Vous êtes différente de nous, vous avez quelque chose d'occulte dont nous sommes dépourvus et cette chose est d'une magnificence insondable. Vous êtes celles qui donnent la vie, celles qui nous donnent la force d'être de puissants guerriers. Et nous, nous sommes censés vous protéger.
Les hommes ne sont rien sans les femmes.

Les hommes reprochaient souvent aux femmes tous les maux de l'humanité.
Notre vulnérabilité, c'était votre faute, notre frustration, vous en étiez responsable, notre manque de virilité, c'était parce que vous n'étiez pas assez attirante.
Les femmes ont toujours été les boucs émissaires, tout simplement, car elles nous obsèdent. Vous êtes le plus beau mystère de la création divine et avez le pouvoir d'enfanter.
Tout spartiate, tout combattant n'est rien sans le corps d'une femme. Cette femme à qui nous devons tout
Et nous avons passé des siècles à vous traiter de sorcière, à prétendre que vous étiez les adoratrices de mauvais dieux, à vous brûler vivante.

Vous êtes bien ingrats, vous les hommes.