Les kheys qui écrivent, parlez-moi de vos ROMANS
34 messages
Mise à jour: il y a 9 heures
Gristhan
il y a 11 heures
raizeel
il y a 11 heures
Un jour que j'étais seule,
soudain a fleuri dans mon cœur,
cette flamme,
Un grand feu d'artifice, que
je ne pouvais contenir, dans
mon âme,
Il est si fragile qu'il ne peut
briller qu'au plus profond
de la nuit,
Tes yeux verts emplissent l'éclat
de ses couleurs, tout cet or
incandescent de diamants sertis,
Mais si cet amour n'était qu'un rêve,
Je ne regretterais jamais,
d'avoir contempler le ciel,
Et l'infini de sa beauté,
J'aurais brillé comme une étincelle,
Fugace dans l'immensité,
Fière d'être cet orage vermeil.
Gristhan
il y a 11 heures
Un jour que j'étais seule,
soudain a fleuri dans mon cœur,
cette flamme,Un grand feu d'artifice, que
je ne pouvais contenir, dans
mon âme,Il est si fragile qu'il ne peut
briller qu'au plus profond
de la nuit,Tes yeux verts emplissent l'éclat
de ses couleurs, tout cet or
incandescent de diamants sertis,Mais si cet amour n'était qu'un rêve,
Je ne regretterais jamais,
d'avoir contempler le ciel,
Et l'infini de sa beauté,J'aurais brillé comme une étincelle,
Fugace dans l'immensité,
Fière d'être cet orage vermeil.
Dommage que ça ne soit pas de toi
la_poetesse
il y a 11 heures
J'avais déjà répondu sur ton autre topic, mais je profite de celui-ci pour reposter
_________________
Je sais que ce n'est pas le genre de lecture que le forum doit lire, mais je tente quand même ma chance.
Résumé
Le murmure des cerisiers suit l'histoire de Mei et Aiki, deux femmes unies par un amour discret et profond dans un Japon où la société n'accepte pas encore pleinement leur relation. À travers des moments d'intimité et de doute, elles cherchent à s'affirmer, à vivre pleinement leur amour, tout en naviguant dans les défis sociaux et légaux qui les entourent. Au milieu de cerisiers en fleurs et de paysages apaisants, leur connexion se renforce, portée par des rêves de liberté et d'acceptation. Mais au-delà des obstacles, c'est leur complicité et leur courage qui les guideront vers un avenir qu'elles souhaitent ensemble.
Pour ceux que ça pourrait rebuter après la lecture du résumé, le roman ne fait pas l'apologie LGBQT ou tout autre forme d'apologie, c'est juste une histoire entre 2 personnes, qui ici sont des filles. J'ai choisit le Japon comme lieu de mon roman pour pouvoir y mettre des références à la culture Japonaises
Bonne lecture à ceux qui voudront prendre le temps de lire (pour le moment il n'y a que les trois premiers chapitres), en espérant avoir des retours de vos lectures sur le site ou par MP.
Vous trouverez mon roman à cette adresse : https://www.wattpad.com/story/393484386?utm_source=ios&utm_medium=link&utm_content=story_info&wp_page=story_details&wp_uname=YaleRongi
Gristhan
il y a 11 heures
J'avais déjà répondu sur ton autre topic, mais je profite de celui-ci pour reposter
_________________Je sais que ce n'est pas le genre de lecture que le forum doit lire, mais je tente quand même ma chance.
Résumé
Le murmure des cerisiers suit l'histoire de Mei et Aiki, deux femmes unies par un amour discret et profond dans un Japon où la société n'accepte pas encore pleinement leur relation. À travers des moments d'intimité et de doute, elles cherchent à s'affirmer, à vivre pleinement leur amour, tout en naviguant dans les défis sociaux et légaux qui les entourent. Au milieu de cerisiers en fleurs et de paysages apaisants, leur connexion se renforce, portée par des rêves de liberté et d'acceptation. Mais au-delà des obstacles, c'est leur complicité et leur courage qui les guideront vers un avenir qu'elles souhaitent ensemble.Pour ceux que ça pourrait rebuter après la lecture du résumé, le roman ne fait pas l'apologie LGBQT ou tout autre forme d'apologie, c'est juste une histoire entre 2 personnes, qui ici sont des filles. J'ai choisit le Japon comme lieu de mon roman pour pouvoir y mettre des références à la culture Japonaises
Bonne lecture à ceux qui voudront prendre le temps de lire (pour le moment il n'y a que les trois premiers chapitres), en espérant avoir des retours de vos lectures sur le site ou par MP.
Vous trouverez mon roman à cette adresse : https://www.wattpad.com/story/393484386?utm_source=ios&utm_medium=link&utm_content=story_info&wp_page=story_details&wp_uname=YaleRongi
Oui c'est précisément dans la continuité du topic et vu la demande que j'ai créé ce sujet
Je n'ai pas le temps de tout lire, mais ton projet a l'air sympa. Tu as quelles inspirations ? Ça me fait penser à certains shojos/yuris, tu en reprends des codes ou rien à voir ? Tu as dû te renseigner longuement pour peindre un tableau de la société japonaise ?
Gristhan
il y a 11 heures
jocixol
il y a 11 heures
j'écris vite fait, ça dépend
j'avais commencé un roman, mais dégoûté par mon manque de technique, j'ai choisi de continuer à travailler plutôt que de proposer un contenu médiocre (à vrai dire je sais que ça pourrait plaire, mais j'ai la flemme, je ne suis pas satisfait)
donc j'écris de temps à autre des textes, pour moi seulement, ou pour partager à mes amis, ou des fois je poste sur un forum littéraire
voilà
la_poetesse
il y a 11 heures
Oui c'est précisément dans la continuité du topic et vu la demande que j'ai créé ce sujet
Je n'ai pas le temps de tout lire, mais ton projet a l'air sympa. Tu as quelles inspirations ? Ça me fait penser à certains shojos/yuris, tu en reprends des codes ou rien à voir ? Tu as dû te renseigner longuement pour peindre un tableau de la société japonaise ?
J'étais parti sur une banale histoire d'amour classique entre un garçon et une fille, mais ça m'apportait rien, je suis parti petit à petit sur cette histoire, je voulais un pays où c'est encore tabou et je suis parti sur le Japon, quand j'ai besoin d'idées pour une scène avec des traditions je cherche sur Google ce qui pourrait m'inspirer et surtout que ça apporte quelque chose d'utile à l'histoire.
J'essaye que mon histoire reste crédible.
Gristhan
il y a 11 heures
j'écris vite fait, ça dépend
j'avais commencé un roman, mais dégoûté par mon manque de technique, j'ai choisi de continuer à travailler plutôt que de proposer un contenu médiocre (à vrai dire je sais que ça pourrait plaire, mais j'ai la flemme, je ne suis pas satisfait)donc j'écris de temps à autre des textes, pour moi seulement, ou pour partager à mes amis, ou des fois je poste sur un forum littéraire
voilà
Pourquoi n'acceptes-tu pas de proposer un contenu médiocre ?
Personne ne court un marathon sans entraînement, aucun débutant ne joue correctement une partition du premier coup, aucun peintre ne maîtrise la perspective ou les couleurs de ses premières esquisses.
Pourquoi devrait-on avoir honte de notre médiocrité en littérature, et pas dans les autres disciplines ?
Gristhan
il y a 11 heures
J'étais parti sur une banale histoire d'amour classique entre un garçon et une fille, mais ça m'apportait rien, je suis parti petit à petit sur cette histoire, je voulais un pays où c'est encore tabou et je suis parti sur le Japon, quand j'ai besoin d'idées pour une scène avec des traditions je cherche sur Google ce qui pourrait m'inspirer et surtout que ça apporte quelque chose d'utile à l'histoire.
J'essaye que mon histoire reste crédible.
Tu penses avoir réussi à brosser un tableau convaincant ? Niveau différences culturelles ça va quand même chercher loin !
jocixol
il y a 11 heures
Pourquoi n'acceptes-tu pas de proposer un contenu médiocre ?
Personne ne court un marathon sans entraînement, aucun débutant ne joue correctement une partition du premier coup, aucun peintre ne maîtrise la perspective ou les couleurs de ses premières esquisses.
Pourquoi devrait-on avoir honte de notre médiocrité en littérature, et pas dans les autres disciplines ?
on devrait avoir honte de notre médiocrité dans toutes les disciplines, selon moi
si je ne suis pas dans l'obligation de fournir un travail, et que ce travail optionnel n'est pas à mon goût, pourquoi travaillerais-je ?
je propose donc des contenus que je juge valables, ou mieux, qui dépassent mon jugement (j'ai simplement envie de le faire)
le soucis pour un roman, c'est que c'est un projet long, qui nécessite beaucoup d'efforts
alors si c'est pour sortir quelque chose de médiocre, ou qui ne me plait pas, sans façons
enfin c'est comme ça que je fais, je suis ouvert à ta sensibilité khey
la_poetesse
il y a 11 heures
Tu penses avoir réussi à brosser un tableau convaincant ? Niveau différences culturelles ça va quand même chercher loin !
Honnêtement je pense qu'une personne qui connaît un peu ou pas du tout le Japon peut apprendre des choses, mais une personne féru du Japon trouvera sûrement des choses à dire, mais le but premier n'est pas de faire découvrir le Japon, mais surtout les émotions par lesquelles peuvent passe les héroïnes.
Je me suis quand même beaucoup renseigné sur les problèmes que les couples de femmes vivant ensemble peuvent avoir.
Gristhan
il y a 11 heures
on devrait avoir honte de notre médiocrité dans toutes les disciplines, selon moi
si je ne suis pas dans l'obligation de fournir un travail, et que ce travail optionnel n'est pas à mon goût, pourquoi travaillerais-je ?
je propose donc des contenus que je juge valables, ou mieux, qui dépassent mon jugement (j'ai simplement envie de le faire)le soucis pour un roman, c'est que c'est un projet long, qui nécessite beaucoup d'efforts
alors si c'est pour sortir quelque chose de médiocre, ou qui ne me plait pas, sans façonsenfin c'est comme ça que je fais, je suis ouvert à ta sensibilité khey
Je trouve ça très triste, à titre personnel.
Ne serait-ce que pour une raison très prosaïque : si on ne confronte pas sa médiocrité au public, il est très difficile de la cerner et de la dépasser.
Pour moi il y a une différence majeure entre un projet médiocre, et un projet qui ne nous plaît pas. Je comprends tout à fait qu'on garde le second dans sa besace, beaucoup moins le premier.
Mais chacun sa philosophie ! Je trouve juste ça dommage. Mais je suis le genre de mec qui court des semis avec un dossard de fond de tableau parce que je sais que je ferai un temps de merde
Idiotin
il y a 11 heures
la_poetesse
il y a 11 heures
Ça fait plus de 5 ans que j'ai commencé mon histoire, c'est que depuis la semaine passé que je mets tout en ordre et que je fais chapitres par chapitres.
jocixol
il y a 11 heures
Je trouve ça très triste, à titre personnel.
Ne serait-ce que pour une raison très prosaïque : si on ne confronte pas sa médiocrité au public, il est très difficile de la cerner et de la dépasser.
Pour moi il y a une différence majeure entre un projet médiocre, et un projet qui ne nous plaît pas. Je comprends tout à fait qu'on garde le second dans sa besace, beaucoup moins le premier.
Mais chacun sa philosophie ! Je trouve juste ça dommage. Mais je suis le genre de mec qui court des semis avec un dossard de fond de tableau parce que je sais que je ferai un temps de merde
on est pas obligé de parler pour se rendre compte qu'on va dire une bêtise
je comprend qu'un enfant soit encouragé à créer, partager, et qu'il ne soit pas bridé de ce côté là
mais pour un jeune adulte, et par la suite, c'est inacceptable (à mon sens)
on a pas le temps de s'intéresser à tout et à tout le monde, alors je crois qu'il faut limiter la pollution (et donc les oeuvres médiocres)
et ce besoin d'exister, de plaire, de communiquer, de parler, n'est pas le mieux servi dans l'oeuvre artistique
ce sont deux affaires différentes
quand tu aimes quelqu'un, tu ne t'intéresses qu'à lui, pas à ses compétences
par contre quand il s'agit d'art, l'auteur n'est intéressant que dans une certaine mesure, restreinte, celle de son processus créatif (la vie de van gogh, les brouillons de balzac, le rapport de bach à la religion, etc...)
il ne s'agit pas de mêler l'être intime à sa création, c'est une folie (bien courante, mais une folie tout de même)
voilà ce que j'en pense, à peu près hein
Gristhan
il y a 11 heures
on est pas obligé de parler pour se rendre compte qu'on va dire une bêtise
je comprend qu'un enfant soit encouragé à créer, partager, et qu'il ne soit pas bridé de ce côté là
mais pour un jeune adulte, et par la suite, c'est inacceptable (à mon sens)
on a pas le temps de s'intéresser à tout et à tout le monde, alors je crois qu'il faut limiter la pollution (et donc les oeuvres médiocres)et ce besoin d'exister, de plaire, de communiquer, de parler, n'est pas le mieux servi dans l'oeuvre artistique
ce sont deux affaires différentes
quand tu aimes quelqu'un, tu ne t'intéresses qu'à lui, pas à ses compétences
par contre quand il s'agit d'art, l'auteur n'est intéressant que dans une certaine mesure, restreinte, celle de son processus créatif (la vie de van gogh, les brouillons de balzac, le rapport de bach à la religion, etc...)il ne s'agit pas de mêler l'être intime à sa création, c'est une folie (bien courante, mais une folie tout de même)
voilà ce que j'en pense, à peu près hein
Je pense que notre différence de point de vue tient au fait que je ne considère pas qu'on soit défini comme artiste par le jugement du public
Je pense qu'on devient artiste par l'échec, et que cet échec n'existe que si on ose le regarder en face
Je ne vois pas les mauvaises oeuvres, les premiers jets malhabiles ou les envolées débutantes comme de la pollution. Au contraire.
D'ailleurs, je crois intimement que chaque artiste (moi y compris) passe, après une première phase d'évolution, par un stade de plateau où il se sent compétent. Et je crois que cette conviction d'être bon, qu'on ressent souvent après un ou deux ans de travail, est plus perverse que la lucidité du vraie débutant
C'est souvent là que l'apprenti-écrivain s'adonne à de généreuses démonstrations de style et tartine des mots sophistiqués qu'il maîtrise mal, pour singer ses auteurs chéris
Je trouve que l'illusion de compétence pollue plus que le franc aveu de ses limites
Gristhan
il y a 11 heures
Qu'est-ce qui te fait dire que tu n'as pas le niveau ?
Idiotin
il y a 10 heures
Qu'est-ce qui te fait dire que tu n'as pas le niveau ?
Déjà j'ai quelques lacunes en grammaire que j'ai toujours eu la flemme de corriger (j'abuse vraiment sur ce point là), j'ai très peu d'expérience du monde littéraire aussi. Mais le principal problème c'est que je veux faire une oeuvre sérieuse alors je veux la maîtriser sur le bout des doigts, transmettre des messages à travers les événements, les interractions entre les personnages etc... sinon j'aurais l'impression de laisser s'échapper mon travail.
Et pour l'instant je ne suis pas au niveau pour y faire face
Edit: je ne considère pas ça comme du perfectionisme mais comme de la profondeur, je ne veux pas faire une hidtoire creuse
Gristhan
il y a 10 heures
Déjà j'ai quelques lacunes en grammaire que j'ai toujours eu la flemme de corriger (j'abuse vraiment sur ce point là), j'ai très peu d'expérience du monde littéraire aussi. Mais le principal problème c'est que je veux faire une oeuvre sérieuse alors je veux la maîtriser sur le bout des doigts, transmettre des messages à travers les événements, les interractions entre les personnages etc... sinon j'aurais l'impression de laisser s'échapper mon travail.
Et pour l'instant je ne suis pas au niveau pour y faire face
Tu dis "pour l'instant" avec résignation, ou avec espoir ?
Tu as l'impression de progresser à mesure de ton travail ?
la_poetesse
il y a 10 heures
Déjà j'ai quelques lacunes en grammaire que j'ai toujours eu la flemme de corriger (j'abuse vraiment sur ce point là), j'ai très peu d'expérience du monde littéraire aussi. Mais le principal problème c'est que je veux faire une oeuvre sérieuse alors je veux la maîtriser sur le bout des doigts, transmettre des messages à travers les événements, les interractions entre les personnages etc... sinon j'aurais l'impression de laisser s'échapper mon travail.
Et pour l'instant je ne suis pas au niveau pour y faire face
Edit: je ne considère pas ça comme du perfectionisme mais comme de la profondeur, je ne veux pas faire une hidtoire creuse
Au niveau grammaire je ne suis pas non plus une foudre de guerre, mais avec un bon vocabulaire on peut y arriver.
Voilà un exemple de ce que j'ai écrit : rien de bien complexe au niveau grammaticale (et c'est surtout simple à lire, ce qui est le plus important pour moi, j'aime pas quand il y a trop de phrases pour faire intellectuel)
Hatsumode (La première visite de l'année au sanctuaire)
Le froid de janvier mordait doucement la peau, mais Mei ne sentait presque rien.
Ses mains, serrées autour du petit sachet d'amulettes qu'elle avait acheté l'année précédente, étaient glacées, mais son cœur battait, chaud, fragile.
La nuit était claire, pleine de souffle et de lumière.
Autour du sanctuaire, des guirlandes de lanternes blanches éclairaient le chemin, balançant lentement dans la brise hivernale.
Aiki marchait à côté d'elle, silencieuse, les mains croisées dans ses manches.
Depuis l'annonce, depuis les regards lourds et les mots non-dits à la maison, Mei avait senti une distance froide s'installer, surtout du côté de son père.
Comme si son existence lui échappait.
Elle savait que la blessure ne guérirait pas en une nuit.
Mais ce soir, elle voulait croire que quelque chose, quelque part, pouvait l'entendre.
Elles gravirent ensemble les marches de pierre, lentement.
À l'entrée du sanctuaire, Mei s'inclina doucement, ses cheveux s'échappant de son bonnet.
Elle s'avança, tira sur la corde de la grande cloche.
Le son grave résonna dans la nuit, roulant doucement comme une promesse.
Idiotin
il y a 10 heures
Tu dis "pour l'instant" avec résignation, ou avec espoir ?
Tu as l'impression de progresser à mesure de ton travail ?
J'avance en fonction de ma situation personnelle, j'ai beaucoup de difficultés sur ce point là donc quand ce n'est pas ok je ne m'attarde pas sur l'écriture.
Mais quand tout roule je progresse rapidement, j'ai même débuté l'écriture 3 fois avant de supprimer parce que j'avais de meilleures idées.
Dès que j'irai mieux j'aimerais finir mes planifications sur tous les messages implictes de l'histoire. Après ce qui est improvisable le sera, pas besoin de tout planifier.
[eqa]
il y a 10 heures
Idiotin
il y a 10 heures
Au niveau grammaire je ne suis pas non plus une foudre de guerre, mais avec un bon vocabulaire on peut y arriver.
Voilà un exemple de ce que j'ai écrit : rien de bien complexe au niveau grammaticale (et c'est surtout simple à lire, ce qui est le plus important pour moi, j'aime pas quand il y a trop de phrases pour faire intellectuel)
> Hatsumode (La première visite de l'année au sanctuaire)
Le froid de janvier mordait doucement la peau, mais Mei ne sentait presque rien.
Ses mains, serrées autour du petit sachet d'amulettes qu'elle avait acheté l'année précédente, étaient glacées, mais son cœur battait, chaud, fragile.
La nuit était claire, pleine de souffle et de lumière.
Autour du sanctuaire, des guirlandes de lanternes blanches éclairaient le chemin, balançant lentement dans la brise hivernale.
Aiki marchait à côté d'elle, silencieuse, les mains croisées dans ses manches.
Depuis l'annonce, depuis les regards lourds et les mots non-dits à la maison, Mei avait senti une distance froide s'installer, surtout du côté de son père.
Comme si son existence lui échappait.
Elle savait que la blessure ne guérirait pas en une nuit.
Mais ce soir, elle voulait croire que quelque chose, quelque part, pouvait l'entendre.
Elles gravirent ensemble les marches de pierre, lentement.
À l'entrée du sanctuaire, Mei s'inclina doucement, ses cheveux s'échappant de son bonnet.
Elle s'avança, tira sur la corde de la grande cloche.
Le son grave résonna dans la nuit, roulant doucement comme une promesse.
Ça m'a l'air bien après dans mon cas je suis loin de ce style. Je suis plus dans une écriture avec beaucoup de dialogues comme avec les lights novels, beaucoup plus terre à terre. Regarde le style de la fic en signature si tu veux te faire une idée même si là c'est très bâclé. Mais oui pour une fois je trouve ça cool, pas de métaphore à tout va, simple et efficace. Je prèfère aussi comme ça.
fauxhumain1
il y a 10 heures
j'écris des histoires pas trop sérieuses, souvent des nouvelles
la derniere en date parle d'un chad qui achète un poste d'autoradio hanté. le poltergeist dans l'autoradio est jaloux des meufs qu'il ramène et fait foirer tous ses dates
pas de perspective éditoriale j'écris pour moi-même. si je voulais vraiment avoir du succès je pourrais mais il faudrait que je quitte mon travail pour me consacrer à l'écriture et écrire plus souvent ce qui n'est pas possible
MiloViento
il y a 10 heures
Sa majesté des mouches x Far Cry
Le pire c'est que j'avance bien, mon premier jet couvre déjà 13 pages des 21 que compte mon scenario.
C'est la réécriture qui fait peur.
la_poetesse
il y a 9 heures
Ça m'a l'air bien après dans mon cas je suis loin de ce style. Je suis plus dans une écriture avec beaucoup de dialogues comme avec les lights novels, beaucoup plus terre à terre. Regarde le style de la fic en signature si tu veux te faire une idée même si là c'est très bâclé. Mais oui pour une fois je trouve ça cool, pas de métaphore à tout va, simple et efficace. Je prèfère aussi comme ça.
Pour moi les dialogue c'est le strict minimum, juste le nécessaire
Gristhan
il y a 9 heures
j'écris des histoires pas trop sérieuses, souvent des nouvelles
la derniere en date parle d'un chad qui achète un poste d'autoradio hanté. le poltergeist dans l'autoradio est jaloux des meufs qu'il ramène et fait foirer tous ses dates
pas de perspective éditoriale j'écris pour moi-même. si je voulais vraiment avoir du succès je pourrais mais il faudrait que je quitte mon travail pour me consacrer à l'écriture et écrire plus souvent ce qui n'est pas possible
Tu publies sur quel support ?
Gristhan
il y a 9 heures
Pour moi les dialogue c'est le strict minimum, juste le nécessaire
Gérer les dialogues est une difficulté à part entière, car ils peuvent supporter un poids tacite de la narration, s'ils sont bien gérés. Ils confèrent un naturel et une force d'évocation incroyable, mais il est très facile de les louper.
la_poetesse
il y a 9 heures
Gérer les dialogues est une difficulté à part entière, car ils peuvent supporter un poids tacite de la narration, s'ils sont bien gérés. Ils confèrent un naturel et une force d'évocation incroyable, mais il est très facile de les louper.
Voilà un extrait de dialogue que j'ai écrit :
« Tu trouves pas que c'est étrange, parfois, ce qu'on ressent ? » demanda Mei, sans détourner le regard.
Aiki tourna la tête. « Tu veux dire… quoi exactement ? »
Mei haussa les épaules. « Je sais pas. Quand je suis avec toi, j'ai l'impression que tout est un peu plus clair. Ou que même quand c'est flou… c'est pas grave. » Elle rit, gênée. « Je dis n'importe quoi. »
« Tu dis pas n'importe quoi, » murmura Aiki. Sa voix tremblait un peu. Elle avait le cœur trop près de la gorge. Elle ne la regardait toujours pas, mais son corps tout entier penchait doucement vers Mei.
LordForom31
il y a 9 heures
LeKhey, 58 ans, est une figure tragique cloîtrée dans un hôpital psychiatrique délabré. Arabe, Français, Sénégalais, sa schizophrénie morcelle ses identités autant que son esprit. Surnommé "le monstre puant" pour son odeur rance, il vit en couche, sous benzodiazépines, dépendant du RSA. Vierge, brisé, il n'a jamais connu l'amour, seulement le rejet. Pourtant, chaque nuit, travesti, il arpente les ruelles sombres pour des rencontres furtives avec des hommes âgés, un acte désespéré pour survivre et se sentir vivant.
Son véritable refuge est le forum 18-25, où il déverse ses pensées chaotiques sous des pseudos éphémères. Troll, poète maudit ou cri de désespoir, LeKhey y cherche une communauté, une reconnaissance, malgré les moqueries. Ses posts, entre délires mystiques et confessions crues, captivent certains forumeurs, dont "LuneNoire", une jeune trans qui semble voir au-delà de sa façade.
Quand LuneNoire propose de le rencontrer, LeKhey vacille. Entre ses voix intérieures, ses souvenirs fragmentés et la peur d'être vu tel qu'il est, il doit choisir : affronter le monde réel ou s'enfoncer dans l'anonymat du virtuel. Ce roman sombre et poignant explore la quête d'identité, la survie dans la marginalité et le besoin viscéral de lien, même dans les ténèbres.
Gristhan
il y a 11 heures