L'odeur des chattes puantes dans les bars

On dit qu'elles hantent les nuits tardives, ombres rieuses d'éclats dorés, proche de l'aube au seuil des cendres, fleurissante au bord d'orée furtives, ou s'éteignant dans les brumes du crépuscule.

Dans les limbes où la raison dérive, ce forum perdu où seuls poètes vont s'égarer.

Sirènes, sylphides ou douces chimères, Leurs voix résonnent en un chant secret, folie qui danse en rymes légère, jamais touchées, toujours exquises et en reflets. Nous sommes puceaux.