Dans la Bible, Babylone est la « cité de l'homme » qui défie la cité de Dieu. Babylone, c'est l'homme qui définit l'homme selon ses propres critères, qui rejette Dieu et qui cherche à se faire un nom. Babylone est la première ville à avoir créé ses propres dieux pour remplacer Dieu et à avoir cherché à définir la grandeur en termes de réalisations humaines, en défiant Dieu, comme l'avait fait son fondateur Nemrod. En tant que telle, elle est devenue le symbole de toute nation ou ville qui rejette Dieu et sa vérité et promeut ses propres idoles et cherche à définir sa propre grandeur. La grandeur étant définie en termes de valeur guerrière, les nations ont toutes commencé à rivaliser pour être la meilleure Babylone, ce qui a donné lieu au tapis roulant de cadavres de l'histoire.

Le fils croit qu'il récompense son père parce qu'il voit que les nazis se sont opposés à une force odieuse qui définit aujourd'hui notre ordre mondial. Le père lui rend la pareille en tirant le rideau et en montrant que « la guerre » n'était pas vraiment une guerre pour gagner en tant qu'empire, ni une guerre idéologique, ni les bons contre les méchants, mais une lutte spirituelle qui remonte au diable lui-même, le serpent.

La propagande du serpent est conçue pour obtenir le consentement des nations à entrer en guerre.

Enfin, l'expression « la tête mord la queue, c'est dans la mort qu'ils naissent » fait référence au fait que les nations s'élèvent en fonction de leur capacité à affirmer leur domination, et cela passe par le meurtre.