Les malades mentaux qui en prennent pour leur grade à chaque affaire de meurtre
10 messages
Mise à jour: il y a 3 mois
Cheevalier
il y a 3 mois
CoyotteStark
il y a 3 mois
Le-Corsaire
il y a 3 mois
CouilleAcide
il y a 3 mois
Olol c'est un fou il a des problèmes psychiatriquesDonc il faut comprendre quoi ? Que les malades mentaux sont des meurtriers en devenir ?
Oui, trouble antisocial pour la plupart
Cheevalier
il y a 3 mois
Oui, trouble antisocial pour la plupart
Socrate était un anti social, c'est donc de la vermine pour toi ?
Être contre la société et les moutons fait pas de toi un criminel
OUITOUT2
il y a 3 mois
Olol c'est un fou il a des problèmes psychiatriquesDonc il faut comprendre quoi ? Que les malades mentaux sont des meurtriers en devenir ?
Court résumé :
L'auteur critique l'association systématique entre maladie mentale et criminalité, soulignant que cela stigmatise les personnes souffrant de troubles psychiques en les faisant passer pour des meurtriers potentiels.
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Analyse détaillée :
1. La stigmatisation des troubles mentaux
Argument de l'auteur : Chaque fois qu'un crime violent est commis, la société attribue rapidement la responsabilité à des troubles psychiatriques, renforçant l'idée que les personnes atteintes de maladies mentales sont dangereuses.
Contre-argument : C'est un phénomène bien réel : les médias et l'opinion publique cherchent souvent une explication simple à des actes incompréhensibles, et la maladie mentale devient un bouc émissaire facile. Pourtant, la majorité des personnes souffrant de troubles psychiques ne sont pas violentes et sont même plus susceptibles d'être victimes de violences que d'en commettre.
2. L'amalgame entre maladie mentale et criminalité
Argument de l'auteur : Lier automatiquement maladie mentale et meurtre revient à faire passer tous les patients psychiatriques pour des criminels en puissance.
Contre-argument : Bien que certains troubles (comme la psychose non traitée) puissent parfois jouer un rôle dans des actes violents, la majorité des crimes ne sont pas commis par des personnes souffrant de maladies mentales graves. La criminalité est influencée par de nombreux autres facteurs : antécédents familiaux, environnement social, addictions, troubles de la personnalité, etc. L'équation "trouble mental = meurtrier" est donc erronée.
3. L'impact sur les personnes concernées
Argument de l'auteur : Être constamment assimilé à un potentiel criminel est blessant et injuste pour les personnes atteintes de troubles psychiatriques.
Contre-argument : Cette stigmatisation peut aggraver la souffrance des malades, les décourager à demander de l'aide et alimenter l'exclusion sociale. Plutôt que de diaboliser les troubles mentaux, il faudrait insister sur l'accès aux soins et le soutien aux patients pour prévenir les situations de crise.
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Conclusion :
L'auteur met en lumière une stigmatisation bien réelle. Si certains crimes sont effectivement liés à des troubles psychiatriques graves, généraliser cette idée est une erreur qui alimente la peur et l'exclusion. Une meilleure sensibilisation à la santé mentale permettrait de combattre ces préjugés et de favoriser une prise en charge adaptée plutôt qu'une marginalisation.
CouilleAcide
il y a 3 mois
Socrate était un anti social, c'est donc de la vermine pour toi ?
Être contre la société et les moutons fait pas de toi un criminel
Je crois que tu ne sais pas ce qu'est un trouble antisocial
Cheevalier
il y a 3 mois
Psychose non traité
Apparemment les dépressifs commettent plus de meurtres que les schizophrènes pour ton info
BEASTGEVAUDAN
il y a 3 mois
Le-Corsaire
il y a 3 mois
L'OP a deux doigts de comprendre qu'être malade mentalement peut amener à faire des actions extrêmes
Oui ils peuvent . Ils sont pas condamnés à l'être. A deux doigts de comprendre le raisonnement de l'op.
Cheevalier
il y a 3 mois