Bon, je me lance, parce que j'en ai plein le dos et que ça doit sortir. Ça fait des années que je me prends des murs avec les femmes en France, et j'ai fini par lâcher l'affaire. J'ai 34 ans, pas dégueu à regarder, un job stable, je sais tenir une conversation, je suis poli, mais ici, rien à faire, c'est la galère totale. Les Françaises ? Un cauchemar. Trop exigeantes, trop dans leur trip, trop froides. Par contre, avec les Asiatiques et les Algériennes, c'est une autre planète. Là, j'ai du succès, et pas qu'un peu. Je vais vous raconter tout ça, désolé d'avance pour le roman, mais faut que je vide mon sac.
En France, c'est toujours la même histoire. Tu croises une fille, tu tentes une approche, et là, c'est comme si t'étais en entretien pour un poste de PDG. Elles te jugent sur tout : ton salaire, ta taille, ton humour, ta voiture, même ta façon de commander un café. J'ai eu un date y a trois ans avec une meuf, 27 ans, caissière à temps partiel, qui m'a sorti qu'elle voulait un mec qui gagne au moins 5 000 € par mois et qui l'emmène en vacances deux fois par an. Elle vivait chez ses parents à Bobigny, hein, mais elle se voyait déjà en jet-setteuse. J'ai payé l'addition et je me suis barré.
Un autre coup, j'ai cru que ça pouvait marcher avec une nana de mon boulot. On s'entendait bien, on rigolait, je me suis dit « pourquoi pas ? ». Je l'invite à boire un verre, et elle me sort : « T'es sympa, mais je cherche un mec avec plus d'ambition. » Ambition ? Je suis ingénieur, je bosse 40 heures par semaine, j'ai des projets, mais non, pas assez pour elle. En France, t'as l'impression qu'elles veulent un milliardaire qui passe à la télé, rien de moins.
Et puis y a les applis de rencontre. Tinder, Bumble, tout ça. Tu matches, tu discutes, tu te dis que ça avance, et là, soit elle te ghoste, soit elle te sort un truc du genre « J'ai besoin de quelqu'un qui coche toutes mes cases ». C'est quoi ces cases ? Faut être grand, riche, musclé, drôle, et si t'aimes pas sa série Netflix préférée, t'es foutu. J'en ai marre de ce délire.
Parlons des flakes. En France, c'est une épidémie. Tu fixes un rendez-vous, tu te prépares, t'arrives au lieu dit, et rien. Elle vient pas. Une fois, une fille m'a planté comme ça, et quand je lui ai demandé ce qui s'était passé, elle m'a répondu : « Désolée, j'ai eu un truc à faire. » Ouais, bien sûr, t'étais sur Snapchat en train de poster des selfies pendant que j'attendais comme un con sous la pluie.
Le ghosting, c'est pareil. Tu discutes pendant deux semaines, t'investis, tu poses des questions, et d'un coup, plus rien. Pas un mot, pas une excuse, juste le néant. J'ai eu une meuf qui m'a fait ça après un mois de messages. On avait même prévu un resto, et pouf, disparue. J'ai vérifié, elle était toujours active sur Insta. Franchement, le respect, elles connaissent pas.
Et puis, y a eu l'Asie. J'ai voyagé en Thaïlande il y a deux ans, et là, j'ai pris une claque. Les Asiatiques, les Thaïlandaises en l'occurrence, c'est un autre monde. Elles sont simples, souriantes, elles te regardent pas comme un portefeuille ambulant. J'ai rencontré une fille, Aom, dans un petit resto à Bangkok. On a discuté, elle parlait un anglais approximatif, mais on s'est compris. Elle m'a invité à une soirée avec ses amis le lendemain, juste comme ça, sans calcul.
On a passé la soirée à rire, à manger des plats épicés, à danser sur de la musique chelou. Pas une fois elle m'a demandé ce que je faisais dans la vie ou combien je gagnais. Elle était juste contente d'être là, avec moi. En une semaine, j'ai eu plus de connexion avec elle qu'en dix ans en France. Et je vous jure, j'ai eu du succès là-bas. Les filles me souriaient dans la rue, me parlaient sans que je force. Ça change d'ici.
Au Japon, pareil. J'y suis allé pour le boulot, et j'ai eu une copine pendant trois mois, Yumi. Elle était discrète, mais tellement gentille. Elle faisait des petits gestes, comme me préparer un bento ou m'envoyer des messages mignons. Et elle me trouvait intéressant, moi, sans que je doive prouver quoi que ce soit. Avec les Asiatiques, j'ai l'impression d'être un mec désirable, pas un loser à qui on fait la charité.
Et puis, y a les Algériennes. Je sais, ça peut surprendre, mais j'ai eu un succès fou avec elles, que ce soit ici en France ou là-bas en Algérie. Elles ont un truc spécial : elles sont franches, elles ont du caractère, mais elles restent féminines. Pas de chichi, pas de drama inutile. J'ai rencontré une Algérienne, Nadia, dans un bar à Paris. On a accroché direct. Elle était drôle, directe, et elle m'a proposé de venir à une fête chez sa cousine le week-end d'après.
On a passé la soirée à parler, à danser, et elle m'a pas jugé une seule fois sur mon CV ou ma bagnole. Elle m'a pris comme j'étais, et ça, en France, c'est rare. Une autre fois, en vacances en Algérie, j'ai été invité à un mariage. Les Algériennes là-bas, elles sont magnifiques, élégantes, et elles savent mettre l'ambiance. J'ai dansé avec plusieurs d'entre elles, et elles étaient juste sympas, ouvertes. Pas de regards hautains, pas de « t'es qui, toi ? ».
Avec les Algériennes, je me sens à l'aise. Elles sont pas dans le délire des Françaises qui te scannent pour voir si t'es « assez bien ». Elles te parlent comme à un égal, et ça fait du bien. J'ai eu plus de succès avec elles en six mois qu'avec les Françaises en dix ans.
Avec les Asiatiques et les Algériennes, j'ai pas à me plier en quatre. En Asie, elles aiment ma simplicité, mon côté « Occidental qui fait un effort ». En Thaïlande, une fille m'a dit que j'avais un « beau sourire », et ça a suffi pour lancer une discussion. Au Japon, elles apprécient que je sois respectueux et curieux de leur culture. Résultat : je plais, et pas qu'un peu.
Avec les Algériennes, c'est mon côté franc et direct qui passe bien. Elles aiment les mecs qui savent ce qu'ils veulent sans tourner autour du pot. Une fois, une Algérienne m'a dit : « Toi, t'es pas comme les Français qui font semblant. » Et bam, ça a cliqué. Elles me trouvent attirant, et moi, je les trouve incroyables.
En France, je suis invisible. Ailleurs, je suis un mec qui plaît. Cherchez l'erreur.
Ici, j'ai tout essayé. Les sites, les sorties, les potes qui te présentent quelqu'un. Rien. Toujours les mêmes plans foireux : annulations, excuses bidon, ou des « t'es pas mon genre » après deux minutes. J'ai même bossé sur moi, fait du sport, lu des bouquins de développement perso. Mais à un moment, faut ouvrir les yeux : c'est pas moi, c'est elles. Les Françaises sont devenues intenables, gavées par des rêves de perfection.
Mes potes confirment. L'un est avec une Vietnamienne, il est aux anges. Un autre a une copine algérienne, et il me dit qu'il revit. Moi, je suis solo, et je préfère ça que de me faire piétiner par des meufs qui se croient au-dessus de tout.
Je vois venir les commentaires : « T'es aigri, change ta vibe, blabla. » Ouais, sauf que j'ai essayé. Et quand je vois que, sans rien changer, je cartonne avec les Asiatiques et les Algériennes, je me dis que le problème est pas chez moi. En Asie, on me trouve cool. En Algérie, on me kiffe. En France, on me snobe. C'est pas une question d'attitude, c'est une question de culture.
Et puis, regardez les chiffres : les mecs célibataires pullulent en France. Les applis, c'est un marché où les femmes ont tout le pouvoir. Elles choisissent, elles filtrent, et nous, on rame. Moi, j'ai décidé d'arrêter.
Je pense sérieusement à bouger. Peut-être la Thaïlande, ou l'Espagne, ou même l'Algérie pour un temps. Là-bas, je me sens vivant, apprécié. Sinon, je vais chercher des Asiatiques ou des Algériennes ici, parce qu'avec elles, ça marche. Les Françaises, c'est fini pour moi.

"Muef de Bobigny qui était une michto" = change de quartier , fais toi une culture et sort aveccdes filles éduquées

pourquoi tu veux une meuf l'OP ?

Bordel mais qui va lire ?

T'avais 30 ans sur le topic d'hier sal fake

Le nombre de conneries à la ligne bordel
Les thaïlandaises qui t'approchent pour qui tu es et pas pour ton argent les Algériennes qui font pas de drama inutile

Topic de frustré.

La grotte de l'OP en dépit.

gpalu