Les "miracles"

OP
GJ

Gremlins-Joueur

il y a 2 mois

Selon la religion, il est possible de réaliser des miracles comme rescussiter les morts. C'est notament ce qu'affirment les évangiles avec la résurection de Lazarre. Bizzarement depuis, on a plus jamais assisté à ce genre de prodiges. Jésus pouvaient multiplier les pains, mais aucuns de ces disciples actuels n'est capable de faire pareil. Pour, J.C a bien dit que ses disciples feraient des miracles plus grands que les siens. Qu'avez vous à répondre les religix?
OP
GJ

Gremlins-Joueur

il y a 2 mois

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OP
GJ

Gremlins-Joueur

il y a 2 mois

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RH

Rhizomes

il y a 2 mois

La corruption de l'homme augmente en proportion de sa distance avec la séparation de Dieu consécutive à la chute d'Eden.

La prédication du Christ est un événement certes particulier qui provoque une forme de vivification chez ceux qui l'ont connu directement, mais aucun de ses disciples les plus immédiats n'a pu faire comme lui dans les Ecrits mêmes et ils se montrent faillibles : doute de Thomas, reniement de Pierre etc.

On est trop corrompus et on a une foi trop faible.

PS : c'est une réponse qui sera jugée, et en partie à raison, totalement ad hoc par une critique rationaliste s'arrêtant uniquement sur la forme et la rhétorique du discours que je présente ici. Je le sais sans le contester. Ce qu'il y a derrière ta question d'important, c'est de considérer que le miracle n'a jamais été un facteur probant pour aborder les questions de foi.

WU

Wuodan

il y a 2 mois


La corruption de l'homme augmente en proportion de sa distance avec la séparation de Dieu consécutive à la chute d'Eden.

La prédication du Christ est un événement certes particulier qui provoque une forme de vivification chez ceux qui l'ont connu directement, mais aucun de ses disciples les plus immédiats n'a pu faire comme lui dans les Ecrits mêmes et ils se montrent faillibles : doute de Thomas, reniement de Pierre etc.

On est trop corrompus et on a une foi trop faible.

PS : c'est une réponse qui sera jugée, et en partie à raison, totalement ad hoc par une critique rationaliste s'arrêtant uniquement sur la forme et la rhétorique du discours que je présente ici. Je le sais sans le contester. Ce qu'il y a derrière ta question d'important, c'est de considérer que le miracle n'a jamais été un facteur probant pour aborder les questions de foi.

Oui