L'IA rédige le test OBJECTIF du jeu de votre choix

OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois

J'écoute
EC

ElCarpette7

il y a 3 mois

Rape Day
ST

Stupefait

il y a 3 mois

Freedom Fighters
QB

QueBaragouineTu

il y a 3 mois

Golden Sun
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


Golden Sun

Test de **Golden Sun** : Le J-RPG qui a mis tout le monde d'accord

Sorti en 2001 sur Game Boy Advance, **Golden Sun** est un RPG développé par Camelot et édité par Nintendo. À une époque où les RPGs portables étaient souvent simplifiés, ce jeu a mis une grosse claque avec ses graphismes, son système de combat et son univers travaillé. Plus de vingt ans après, est-ce qu'il mérite toujours son statut de classique ?

Graphismes : **5/5**
Pour de la GBA, **Golden Sun** en impose. Les environnements sont **détaillés et colorés**, les sprites des personnages sont bien animés, et les **effets de magie** sont juste monstrueux. À chaque invocation, l'écran se transforme en festival pyrotechnique, avec des effets dignes d'une console bien plus puissante. En comparaison, beaucoup de jeux de l'époque paraissent fades. Camelot a **poussé la GBA dans ses retranchements**, et ça se voit.

Gameplay : **4.5/5**
C'est du **tour par tour bien huilé**, avec un système de **Djinns** qui rajoute une énorme profondeur stratégique. Chaque Djinn a ses propres effets, et en combiner plusieurs permet de **modifier les classes** des personnages. Ce n'est pas juste un gadget : bien gérer son build peut faire la différence entre un combat expédié en trois tours ou une galère sans nom. Les **puzzles dans les donjons**, basés sur la Psynergie, sont aussi un excellent ajout, forçant à réfléchir sans jamais être frustrants. Seul bémol : le taux de **combats aléatoires parfois trop élevé**, ce qui peut casser le rythme quand on veut juste résoudre une énigme.

Scénario : **4/5**
Au premier abord, c'est du **RPG ultra classique** : un groupe de jeunes héros part sauver le monde en empêchant l'activation de phares magiques. Mais au fil du jeu, l'histoire gagne en profondeur, surtout grâce aux motivations des antagonistes qui ne sont pas juste des méchants caricaturaux. Les dialogues peuvent être un peu longs par moments, surtout avec les **cutscenes interminables**, mais l'univers est suffisamment intéressant pour qu'on s'accroche. Petit regret : la fin est un **gros cliffhanger**, et il faut forcément enchaîner avec **Golden Sun : L'Âge Perdu** pour avoir la conclusion.

Bande-son : **5/5**
Motoi Sakuraba a sorti **une bande-son magistrale**. Chaque morceau claque, que ce soit les **thèmes épiques de combat**, les musiques d'exploration ou les morceaux plus sombres des donjons. Sur GBA, le son est souvent un point faible à cause des limitations techniques, mais là, c'est une **masterclass**. Difficile de ne pas avoir certains thèmes en tête même après avoir fini le jeu.

Durée de vie : **4/5**
L'histoire principale tient en **20 à 25 heures**, et il y a pas mal de contenu annexe pour ceux qui veulent tout explorer. Trouver tous les **Djinns cachés**, résoudre les énigmes secondaires ou affronter des boss optionnels ajoute quelques heures au compteur. C'est honnête pour un RPG portable, même si la **fin abrupte** peut frustrer ceux qui espéraient un vrai dénouement.

Note finale : **18.5/20**

    • Golden Sun** reste **un des meilleurs RPGs sur console portable**. Son gameplay solide, son univers immersif et sa direction artistique encore impressionnante aujourd'hui en font un incontournable. Si vous aimez les RPGs old-school et que vous avez l'occasion d'y jouer, **ne passez pas à côté**.
K1

Konigsberg1255

il y a 3 mois

Le premier Deus ex https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/3/1618351326-jcdenton-sym.png
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


Freedom Fighters

    • Test de Freedom Fighters : Le shooter révolutionnaire oublié**

Sorti en 2003 sur PS2, Xbox et PC, **Freedom Fighters** est un jeu de tir tactique en **vue à la troisième personne**, développé par IO Interactive (les mecs derrière **Hitman**). Dans un univers où **l'URSS a envahi les États-Unis**, on incarne **Chris Stone**, un plombier lambda qui va devenir le chef d'une résistance armée contre l'occupation soviétique. À l'époque, le jeu a été bien reçu, mais aujourd'hui, est-ce qu'il tient toujours la route ou est-ce juste un souvenir flou de gamers nostalgiques ?

    • Graphismes : 3.5/5**

On ne va pas se mentir, en 2003, **Freedom Fighters** n'était pas une claque graphique, et en 2024, il accuse sévèrement le poids des années. Les modèles 3D sont **carrés comme un Lego**, les textures sont baveuses et les animations un peu rigides. Mais malgré ça, l'ambiance est là : **New York sous occupation soviétique** est crédible, avec des rues en ruine, des affiches de propagande partout et une vraie impression de chaos urbain. C'est moche, mais c'est efficace.

    • Gameplay : 4.5/5**

C'est là que **Freedom Fighters** met une grosse claque. On est sur un **shooter tactique ultra nerveux**, où l'objectif n'est pas juste de tirer sur tout ce qui bouge, mais aussi de **diriger une escouade de résistants**. Plus on gagne en réputation, plus on peut recruter de mecs pour nous suivre et leur donner des ordres. Et franchement, c'est **jouissif** : on balance un "attaquez cette position", et voir six gus charger un bunker soviétique pendant qu'on les couvre, ça fait plaisir.

Les combats sont bien rythmés, les flingues ont un bon feeling, et l'IA ennemie, sans être incroyable, offre un minimum de résistance. Seul bémol : **pas de système de couverture**, ce qui fait qu'on se mange parfois des balles bêtement en essayant de tirer à découvert.

    • Scénario : 3.5/5**

Ça part sur un **trip uchronique ultra badass** : et si les Russes avaient gagné la guerre froide et foutu un gros drapeau rouge sur la Maison-Blanche ? L'idée est géniale, l'ambiance est bien posée, mais l'histoire reste **très basique**. Chris Stone, c'est le cliché du mec random qui devient chef de la résistance sans trop d'explications, et les personnages secondaires sont à peine développés. C'est pas le jeu qui va te retourner le cerveau, mais ça tient debout et ça donne envie d'aller casser du soviétique.

    • Bande-son : 5/5**

Là, c'est du lourd. Jesper Kyd (qui a aussi bossé sur **Hitman** et **Assassin's Creed**) livre une BO **complètement magistrale**. Entre les **chants russes épiques**, les morceaux orchestraux qui balancent une tension de malade et les musiques plus discrètes en infiltration, c'est **un pur régal auditif**. Même si le jeu a vieilli, la musique, elle, est encore **parfaite aujourd'hui**.

    • Durée de vie : 3.5/5**

Comptez **7 à 8 heures** pour boucler la campagne, un peu plus si vous jouez en difficile et que vous prenez le temps d'explorer. Pas de mode multi, **pas de New Game+**, rien pour rallonger la sauce après la fin. Dommage, parce qu'un mode coop ou un multi avec des escouades à contrôler aurait été un banger absolu.

    • Note finale : 16.5/20**
    • Freedom Fighters** est **un putain de bon jeu de tir tactique**, avec une ambiance unique et un gameplay toujours aussi fun. Oui, ça a vieilli graphiquement, et non, le scénario ne va pas te scotcher, mais bordel, diriger une bande de résistants et foutre une raclée à l'armée soviétique, ça reste un pur kiff. Un remaster serait clairement mérité. En attendant, si t'as l'occasion d'y jouer, **fonce, camarade**.
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


Le premier Deus ex https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/3/1618351326-jcdenton-sym.png

    • Test de Deus Ex : Le chef-d'œuvre cyberpunk qui enterre encore la concurrence**

Sorti en 2000 sur PC et plus tard sur PS2, **Deus Ex** est un FPS/RPG développé par Ion Storm sous la direction de Warren Spector. Mélangeant **tir, infiltration, dialogues et hacking**, ce jeu cyberpunk a marqué une génération avec sa liberté d'action et son scénario profond. Mais aujourd'hui, avec plus de 20 ans au compteur, est-ce que **Deus Ex** reste un chef-d'œuvre ou est-ce juste un vieux truc respecté par nostalgie ?

    • Graphismes : 3/5**

Faut être honnête : en 2024, **Deus Ex est moche**. Même pour l'époque, c'était pas une claque visuelle. Les textures sont floues, les animations sont rigides, et les visages des persos ressemblent à des mannequins en plastique avec un balai dans le cul. Mais bizarrement, l'ambiance cyberpunk crado fonctionne toujours. Les **niveaux sont bien construits**, avec une vraie variété d'environnements, et la **DA reste efficace**, surtout avec quelques mods pour lisser tout ça. Bref, c'est daté, mais c'est pas rédhibitoire.

    • Gameplay : 5/5**

C'est là que **Deus Ex** explose la concurrence, même encore aujourd'hui. Ce jeu te **donne une liberté totale** : tu veux infiltrer une base en douceur ? Hacke les caméras et neutralise les gardes avec un taser. Tu préfères tout faire péter ? Charge un lance-roquettes et transforme le décor en champ de ruines. T'as même la possibilité d'éviter certains combats juste en discutant.

Le **système de compétences** pousse encore plus cette liberté, permettant de spécialiser JC Denton en sniper, hacker, ninja furtif ou bourrin sous stéroïdes. Ajoute à ça des **implants cybernétiques** qui boostent la vitesse, la vision ou la résistance, et t'as un des gameplay les plus **flexibles et jouissifs** de l'histoire du jeu vidéo.

Seul défaut : les combats au flingue sont un peu **brouillons** à cause de la gestion des compétences et de la visée flottante, mais une fois qu'on s'y habitue, ça passe.

    • Scénario : 5/5**
    • Deus Ex**, c'est pas juste un jeu, c'est une **prédiction du futur**. Théories du complot, surveillance de masse, IA qui contrôlent le monde, pandémie fabriquée… tout ce que raconte le jeu en 2000 est **presque une réalité aujourd'hui**.

L'histoire suit **JC Denton**, un agent d'UNATCO, une organisation anti-terroriste qui, surprise, cache un paquet de **secrets bien dégueulasses**. Rapidement, le jeu t'amène à faire des choix : **qui croire ? Qui trahir ? Qui mérite de survivre ?** Ces décisions influencent l'histoire et plusieurs fins sont possibles.

Les dialogues sont bien écrits, les PNJ ont toujours quelque chose d'intéressant à dire, et même aujourd'hui, l'intrigue **rivalise avec les meilleurs scénarios de SF**.

    • Bande-son : 5/5**

Le **sound design est impeccable**. Les musiques composées par **Alexander Brandon** sont une dinguerie : chaque niveau a son ambiance sonore unique, avec des **mélodies électroniques** qui te plongent direct dans l'ambiance cyberpunk. Même les bruitages, bien qu'un peu datés, sont parfaitement calibrés. Si t'aimes les OST mémorables, **Deus Ex, c'est du caviar**.

    • Durée de vie : 5/5**

C'est un **jeu immense**. La première run prend **25 à 30 heures**, mais avec toutes les possibilités et chemins alternatifs, **chaque partie peut être totalement différente**. Entre les quêtes secondaires, les façons d'aborder chaque mission et les fins multiples, **Deus Ex te pousse à rejouer**. C'est pas un jeu que tu finis et que tu ranges : c'est un truc que tu revisites encore et encore.

    • Note finale : 19/20**
    • Deus Ex**, c'est **une masterclass absolue**. Son gameplay ultra libre, son scénario de génie et son ambiance cyberpunk le placent dans la catégorie des **jeux légendaires**. Oui, il a vieilli graphiquement, mais avec un peu de patience (et quelques mods), il enterre encore 95% des jeux modernes. Si t'as jamais joué à **Deus Ex**, fais-toi une faveur : **branche un clavier et découvre ce putain de monument**.
QB

QueBaragouineTu

il y a 3 mois

Test de **Golden Sun** : Le J-RPG qui a mis tout le monde d'accord

Sorti en 2001 sur Game Boy Advance, **Golden Sun** est un RPG développé par Camelot et édité par Nintendo. À une époque où les RPGs portables étaient souvent simplifiés, ce jeu a mis une grosse claque avec ses graphismes, son système de combat et son univers travaillé. Plus de vingt ans après, est-ce qu'il mérite toujours son statut de classique ?

Graphismes : **5/5**
Pour de la GBA, **Golden Sun** en impose. Les environnements sont **détaillés et colorés**, les sprites des personnages sont bien animés, et les **effets de magie** sont juste monstrueux. À chaque invocation, l'écran se transforme en festival pyrotechnique, avec des effets dignes d'une console bien plus puissante. En comparaison, beaucoup de jeux de l'époque paraissent fades. Camelot a **poussé la GBA dans ses retranchements**, et ça se voit.

Gameplay : **4.5/5**
C'est du **tour par tour bien huilé**, avec un système de **Djinns** qui rajoute une énorme profondeur stratégique. Chaque Djinn a ses propres effets, et en combiner plusieurs permet de **modifier les classes** des personnages. Ce n'est pas juste un gadget : bien gérer son build peut faire la différence entre un combat expédié en trois tours ou une galère sans nom. Les **puzzles dans les donjons**, basés sur la Psynergie, sont aussi un excellent ajout, forçant à réfléchir sans jamais être frustrants. Seul bémol : le taux de **combats aléatoires parfois trop élevé**, ce qui peut casser le rythme quand on veut juste résoudre une énigme.

Scénario : **4/5**
Au premier abord, c'est du **RPG ultra classique** : un groupe de jeunes héros part sauver le monde en empêchant l'activation de phares magiques. Mais au fil du jeu, l'histoire gagne en profondeur, surtout grâce aux motivations des antagonistes qui ne sont pas juste des méchants caricaturaux. Les dialogues peuvent être un peu longs par moments, surtout avec les **cutscenes interminables**, mais l'univers est suffisamment intéressant pour qu'on s'accroche. Petit regret : la fin est un **gros cliffhanger**, et il faut forcément enchaîner avec **Golden Sun : L'Âge Perdu** pour avoir la conclusion.

Bande-son : **5/5**
Motoi Sakuraba a sorti **une bande-son magistrale**. Chaque morceau claque, que ce soit les **thèmes épiques de combat**, les musiques d'exploration ou les morceaux plus sombres des donjons. Sur GBA, le son est souvent un point faible à cause des limitations techniques, mais là, c'est une **masterclass**. Difficile de ne pas avoir certains thèmes en tête même après avoir fini le jeu.

Durée de vie : **4/5**
L'histoire principale tient en **20 à 25 heures**, et il y a pas mal de contenu annexe pour ceux qui veulent tout explorer. Trouver tous les **Djinns cachés**, résoudre les énigmes secondaires ou affronter des boss optionnels ajoute quelques heures au compteur. C'est honnête pour un RPG portable, même si la **fin abrupte** peut frustrer ceux qui espéraient un vrai dénouement.

Note finale : **18.5/20**

    • Golden Sun** reste **un des meilleurs RPGs sur console portable**. Son gameplay solide, son univers immersif et sa direction artistique encore impressionnante aujourd'hui en font un incontournable. Si vous aimez les RPGs old-school et que vous avez l'occasion d'y jouer, **ne passez pas à côté**.

Je suis globalement d'accord même si j'aurai ajouté le 0.5 gameplay manquant en le prenant du scénario qui mérite 0.5 en moins.

EC

ElCarpette7

il y a 3 mois

M'IGNORE PAS L'OP https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480115747-risirage.png
K1

Konigsberg1255

il y a 3 mois

    • Test de Deus Ex : Le chef-d'œuvre cyberpunk qui enterre encore la concurrence**

Sorti en 2000 sur PC et plus tard sur PS2, **Deus Ex** est un FPS/RPG développé par Ion Storm sous la direction de Warren Spector. Mélangeant **tir, infiltration, dialogues et hacking**, ce jeu cyberpunk a marqué une génération avec sa liberté d'action et son scénario profond. Mais aujourd'hui, avec plus de 20 ans au compteur, est-ce que **Deus Ex** reste un chef-d'œuvre ou est-ce juste un vieux truc respecté par nostalgie ?

    • Graphismes : 3/5**

Faut être honnête : en 2024, **Deus Ex est moche**. Même pour l'époque, c'était pas une claque visuelle. Les textures sont floues, les animations sont rigides, et les visages des persos ressemblent à des mannequins en plastique avec un balai dans le cul. Mais bizarrement, l'ambiance cyberpunk crado fonctionne toujours. Les **niveaux sont bien construits**, avec une vraie variété d'environnements, et la **DA reste efficace**, surtout avec quelques mods pour lisser tout ça. Bref, c'est daté, mais c'est pas rédhibitoire.

    • Gameplay : 5/5**

C'est là que **Deus Ex** explose la concurrence, même encore aujourd'hui. Ce jeu te **donne une liberté totale** : tu veux infiltrer une base en douceur ? Hacke les caméras et neutralise les gardes avec un taser. Tu préfères tout faire péter ? Charge un lance-roquettes et transforme le décor en champ de ruines. T'as même la possibilité d'éviter certains combats juste en discutant.

Le **système de compétences** pousse encore plus cette liberté, permettant de spécialiser JC Denton en sniper, hacker, ninja furtif ou bourrin sous stéroïdes. Ajoute à ça des **implants cybernétiques** qui boostent la vitesse, la vision ou la résistance, et t'as un des gameplay les plus **flexibles et jouissifs** de l'histoire du jeu vidéo.

Seul défaut : les combats au flingue sont un peu **brouillons** à cause de la gestion des compétences et de la visée flottante, mais une fois qu'on s'y habitue, ça passe.

    • Scénario : 5/5**
    • Deus Ex**, c'est pas juste un jeu, c'est une **prédiction du futur**. Théories du complot, surveillance de masse, IA qui contrôlent le monde, pandémie fabriquée… tout ce que raconte le jeu en 2000 est **presque une réalité aujourd'hui**.

L'histoire suit **JC Denton**, un agent d'UNATCO, une organisation anti-terroriste qui, surprise, cache un paquet de **secrets bien dégueulasses**. Rapidement, le jeu t'amène à faire des choix : **qui croire ? Qui trahir ? Qui mérite de survivre ?** Ces décisions influencent l'histoire et plusieurs fins sont possibles.

Les dialogues sont bien écrits, les PNJ ont toujours quelque chose d'intéressant à dire, et même aujourd'hui, l'intrigue **rivalise avec les meilleurs scénarios de SF**.

    • Bande-son : 5/5**

Le **sound design est impeccable**. Les musiques composées par **Alexander Brandon** sont une dinguerie : chaque niveau a son ambiance sonore unique, avec des **mélodies électroniques** qui te plongent direct dans l'ambiance cyberpunk. Même les bruitages, bien qu'un peu datés, sont parfaitement calibrés. Si t'aimes les OST mémorables, **Deus Ex, c'est du caviar**.

    • Durée de vie : 5/5**

C'est un **jeu immense**. La première run prend **25 à 30 heures**, mais avec toutes les possibilités et chemins alternatifs, **chaque partie peut être totalement différente**. Entre les quêtes secondaires, les façons d'aborder chaque mission et les fins multiples, **Deus Ex te pousse à rejouer**. C'est pas un jeu que tu finis et que tu ranges : c'est un truc que tu revisites encore et encore.

    • Note finale : 19/20**
    • Deus Ex**, c'est **une masterclass absolue**. Son gameplay ultra libre, son scénario de génie et son ambiance cyberpunk le placent dans la catégorie des **jeux légendaires**. Oui, il a vieilli graphiquement, mais avec un peu de patience (et quelques mods), il enterre encore 95% des jeux modernes. Si t'as jamais joué à **Deus Ex**, fais-toi une faveur : **branche un clavier et découvre ce putain de monument**.

Ahi pas mal, mais analyse trop familière et générique pour rendre hommage à ce chef d'œuvre https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/3/1618351326-jcdenton-sym.png

K1

Konigsberg1255

il y a 3 mois


M'IGNORE PAS L'OP https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480115747-risirage.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/4/1611841177-ahiahiahi.png

DI

Diggou

il y a 3 mois

State of Decay 2
EC

ElCarpette7

il y a 3 mois

LA CALOTTE DE TES MORTS JE VAIS TE FAIRE BOUFFER TA GRAND MÈRE, NOTE RAPE DAY OU INFESTATION PAR DES PUNAISES DE COUILLE https://image.noelshack.com/fichiers/2017/10/1488809412-1465699548-lopez.png
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois

Ahi pas mal, mais analyse trop familière et générique pour rendre hommage à ce chef d'œuvre https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/3/1618351326-jcdenton-sym.png

    • Test de Deus Ex : L'Œuvre Inoxydable du Jeu de Rôle Immersif**

Sorti en 2000 sur PC, **Deus Ex** n'a pas simplement marqué son époque : il l'a transcendée. Véritable pionnier du **jeu de rôle immersif**, il a posé des bases que bien peu de titres ont osé challenger depuis. Mêlant FPS, infiltration, narration interactive et anticipation dystopique, il a été l'une des premières expériences à offrir une **véritable liberté d'action**, où chaque choix impacte significativement le déroulement du jeu. Plus de vingt ans après, est-ce que **Deus Ex** mérite toujours son statut de chef-d'œuvre, ou est-il un vestige glorifié par la nostalgie ?

    • Graphismes : 3/5**

Dès l'introduction, le verdict est sans appel : **Deus Ex a mal vieilli visuellement**. Même en 2000, ce n'était pas une claque graphique. Les **modèles anguleux**, les textures fades et les animations rigides trahissent une époque où l'ambition dépassait largement les capacités techniques. Pourtant, malgré ces lacunes, l'univers reste immersif. Les villes cyberpunk poisseuses, l'oppression des bâtiments institutionnels et l'architecture déshumanisée véhiculent une **atmosphère pesante et crédible**, digne des meilleures œuvres de science-fiction dystopique. Avec quelques mods de textures et d'éclairage, l'expérience devient plus digeste, mais le cœur du jeu ne réside pas là.

    • Gameplay : 5/5**

C'est ici que **Deus Ex** impose son génie absolu. Il ne se contente pas de juxtaposer des mécaniques de RPG et de FPS : il les **fusionne** en une expérience où **chaque problème a plusieurs solutions**. Vous voulez infiltrer un bâtiment ultra-sécurisé ? Vous pouvez pirater les caméras, crocheter les serrures, forcer l'entrée avec des explosifs ou soudoyer un informateur pour obtenir un code d'accès.

Le **système d'augmentations cybernétiques** permet une personnalisation avancée : améliorez vos jambes pour sauter sur des toits et éviter les conflits, boostez votre vision pour détecter les ennemis à travers les murs, ou devenez un tank vivant en renforçant votre armure. Cette approche systémique crée une **liberté rarement égalée**, où chaque joueur forge son propre style, que ce soit en ombre insaisissable ou en machine de guerre ambulante.

Seul défaut : le système de tir est d'abord frustrant. **La précision dépend des compétences**, ce qui signifie que vos premières heures seront marquées par une visée erratique, où même un pistolet collé à la tête d'un ennemi peut rater sa cible. Mais une fois le concept assimilé, **la progression devient grisante**, car chaque amélioration se traduit par une montée en puissance tangible.

    • Scénario : 5/5**

Anticipation, conspiration et pouvoir : **Deus Ex** tisse un récit qui, deux décennies plus tard, résonne avec une troublante actualité. **Nanotechnologies, surveillance de masse, manipulations gouvernementales, médias contrôlés, pandémie fabriquée, élites tirant les ficelles dans l'ombre**… Ce qui relevait de la fiction en 2000 est devenu une sinistre réalité en 2024.

L'intrigue, qui suit **JC Denton**, agent d'UNATCO progressivement confronté aux vérités occultes derrière son organisation, se déploie avec une **profondeur narrative rare**. Chaque faction - les Illuminati, la Majestic 12, les Trenchcoats, l'Ordre des Templiers - possède ses propres motivations, et le joueur n'est jamais poussé vers un manichéisme primaire. À travers des dialogues riches et des choix significatifs, **Deus Ex vous met réellement aux commandes de votre destinée**, et chaque décision oriente subtilement l'évolution du monde.

    • Bande-son : 5/5**

Si l'esthétique visuelle a vieilli, l'identité sonore de **Deus Ex** reste **intouchable**. Composée par **Alexander Brandon, Dan Gardopée et Michiel van den Bos**, la bande-son est un mélange **d'électro minimaliste et d'orchestrations oppressantes**, parfaitement calibré pour renforcer l'ambiance cyberpunk. Le **thème principal**, glacé et hypnotique, est immédiatement reconnaissable, tandis que chaque niveau possède sa propre signature musicale, accentuant l'exploration et le danger latent.

Les bruitages et les doublages, bien que perfectibles, restent corrects pour l'époque. Les dialogues peuvent parfois paraître mécaniques, mais la qualité de l'écriture compense largement ce défaut.

    • Durée de vie : 5/5**

Avec une première partie avoisinant **25 à 30 heures**, et une **rejouabilité immense**, **Deus Ex** se distingue par sa densité. Chaque run peut être totalement différente : un joueur méthodique privilégiera l'infiltration et les hacks, tandis qu'un bourrin usera d'armes lourdes et de chaos tactique. Ajoutez à cela **des niveaux ouverts, des quêtes annexes engageantes et trois fins distinctes**, et vous obtenez un titre capable d'absorber des dizaines d'heures sans jamais lasser.

    • Note finale : 19/20**
    • Deus Ex n'est pas simplement un grand jeu : c'est une pierre angulaire du jeu vidéo moderne.** Là où la plupart des titres se contentent de guider le joueur sur des rails scénarisés, **il lui laisse un contrôle total** sur son expérience. Son **écriture intelligente, son gameplay riche en possibilités et son univers visionnaire** en font une œuvre indémodable, qui surclasse encore aujourd'hui la majorité des productions contemporaines.

Bien sûr, il faudra passer outre son aspect visuel archaïque et sa prise en main exigeante. Mais pour quiconque recherche une **expérience mature, stimulante et réellement immersive**, **Deus Ex demeure un incontournable absolu**.

K6

kheylogger60

il y a 3 mois

rapelay
PR

Propapanda

il y a 3 mois

Warcraft 3 https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
DM

DechetMourinho

il y a 3 mois

NIGHT-RUNNERS (le prologue)
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


State of Decay 2

    • Test de State of Decay 2 : Une apocalypse aussi addictive que frustrante**

Sorti en 2018 et développé par **Undead Labs**, **State of Decay 2** s'impose comme une **simulation de survie zombie** en **monde ouvert**, où la gestion de communauté est aussi importante que l'action. Suite directe du premier opus, il promet une expérience plus riche, plus vaste et plus immersive… en théorie. Mais entre ses ambitions et son exécution parfois bancale, ce survival sandbox est-il un **classique du genre** ou un **gâchis de potentiel** ?

      1. **Graphismes : 3/5**

Techniquement, **State of Decay 2** n'a jamais été une vitrine technologique. Même avec ses mises à jour et son **Juggernaut Edition**, il accuse un retard graphique évident. **Textures grossières, animations rigides, bugs visuels récurrents**, on sent bien que le moteur **CryEngine** a du mal à encaisser les ambitions du jeu. Pourtant, la direction artistique sauve les meubles. L'atmosphère post-apocalyptique est bien rendue, avec des paysages **décharnés et oppressants**, où chaque bâtiment abandonné raconte une histoire.

La météo dynamique et le cycle jour/nuit renforcent l'immersion, notamment lorsque la nuit tombe et que les **Plague Zombies** deviennent encore plus dangereux. En revanche, **les personnages manquent cruellement de personnalité visuelle** : des visages clonés, des animations faciales limitées… on peine à s'attacher à eux sur le plan esthétique.

      1. **Gameplay : 4/5**

C'est sur son **gameplay hybride** que **State of Decay 2** tire son épingle du jeu. Mélange **d'exploration, de gestion et de combat**, il propose une boucle addictive où chaque décision compte.

- **Survie communautaire** : Contrairement à un simple survival où l'on ne gère qu'un personnage, ici, il faut **maintenir un groupe entier en vie**. Construire une base, gérer les ressources, assigner des tâches et résoudre des conflits internes sont autant de défis qui rendent chaque partie unique.
- **Système de progression organique** : Chaque survivant a ses propres **compétences, traits et spécialisations** qui évoluent en fonction de son utilisation. Un mec qui passe son temps à looter deviendra plus efficace en transport d'objets, un autre qui court partout développera son endurance… Une mécanique **naturelle et gratifiante**.
- **Exploration et loot** : Le monde est vaste et rempli de bâtiments à fouiller. Mais chaque sortie est une prise de risque : tomber sur une **horde de zombies**, une **communauté hostile**, ou pire, un **Juggernaut**, peut **ruiner des heures de progression** en un instant.

Cependant, **l'IA des compagnons et ennemis est médiocre**, rendant certaines situations frustrantes. Il n'est pas rare de voir un allié **bloqué dans un mur** ou un zombie **complètement ignorer un bruit** qu'il aurait dû entendre.

      1. **Scénario : 2.5/5**

Ne cherchez pas ici **une grande histoire immersive**. **State of Decay 2** n'a pas de trame scénaristique forte. Il propose plutôt **une narration émergente**, où chaque partie génère ses propres histoires à travers les événements imprévus et les choix du joueur.

Le problème, c'est que ces situations finissent par **se répéter** et que les interactions avec les PNJ sont souvent limitées à **des échanges de ressources ou des quêtes FedEx**. Les quelques factions apportent un peu de variété, mais leurs arcs narratifs sont souvent **expédiés** et manquent d'impact.

L'ajout du **mode Heartland**, qui propose un scénario plus structuré, améliore un peu ce point, mais ça reste un jeu où **l'histoire, c'est surtout celle que le joueur se crée lui-même**.

      1. **Bande-son : 4/5**

L'ambiance sonore est **réussie**. Les **grognements gutturaux des zombies**, le **bruit des pas dans l'herbe**, le **claquement sec d'un silencieux artisanal** : tout est pensé pour renforcer la tension. La musique, discrète, sait se faire oppressante dans les moments critiques.

Seul bémol : **le doublage des survivants est inégal**. Certains dialogues sonnent naturels, tandis que d'autres semblent **récités sans conviction**, ce qui casse un peu l'immersion.

      1. **Durée de vie : 5/5**

Grâce à sa nature **sandbox**, **State of Decay 2** offre une **rejouabilité immense**. Avec plusieurs cartes, des survivants aléatoires et une infinité de configurations possibles pour chaque base, **chaque run est différente**.

Le mode **Lethal Zone**, ajouté plus tard, propose un vrai défi pour les amateurs de difficulté extrême, et le **mode coop à 4 joueurs** ajoute une dimension tactique supplémentaire.

Si vous accrochez à la boucle de gameplay, vous pouvez **facilement y passer des centaines d'heures**.

      1. **Note finale : 15.5/20**

Si vous êtes prêt à **fermer les yeux sur ses défauts**, c'est un titre qui peut **engloutir des dizaines d'heures sans que vous vous en rendiez compte**. Mais si vous cherchez un jeu **fluide, bien fini et scénarisé**, mieux vaut passer votre chemin.

OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


Warcraft 3 https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

      1. **Test de Warcraft III : Le roi éternel du STR ?**

Sorti en 2002, **Warcraft III** n'est pas seulement un jeu de stratégie en temps réel : c'est une **révolution**. Développé par **Blizzard Entertainment**, il a marqué un tournant dans l'histoire du **STR**, notamment grâce à ses **mécaniques innovantes, son scénario épique et son éditeur de cartes** qui a littéralement **donné naissance à Dota et à tout le genre MOBA**. Mais après plus de **20 ans**, est-il toujours un monument indétrônable du RTS, ou juste un souvenir glorifié par la nostalgie ?

      1. **Graphismes : 4/5**

Soyons clairs : pour un jeu de 2002, **Warcraft III** s'en sort incroyablement bien. Son **style cartoon** vieillit bien mieux que les STR de l'époque qui misaient sur un pseudo-réalisme aujourd'hui hideux. Les **animations sont fluides, les sorts claquent visuellement et chaque unité a une identité claire**.

Cependant, **l'édition Reforged** sortie en 2020 est un **désastre**. Promettant une refonte graphique totale, elle s'est avérée **mal finie, remplie de bugs et amputée de fonctionnalités** (cinématiques refaites aux rabais, suppression du mode LAN, etc.). Résultat : mieux vaut jouer à l'original avec quelques mods qu'à cette version remasterisée qui sent l'arnaque à plein nez.

      1. **Gameplay : 5/5**

C'est ici que **Warcraft III** brille encore **comme un putain de joyau**. Là où la plupart des STR se contentaient d'un **gameplay macro** (gestion de ressources, construction d'armées, batailles de masse), **Warcraft III ajoute un élément clé : les héros.**

- Chaque faction (Humains, Orcs, Morts-Vivants et Elfes de la Nuit) possède des **héros uniques** qui gagnent **de l'expérience, montent en niveau, et obtiennent des sorts dévastateurs**.
- Le jeu introduit une **dimension RPG**, où l'exploration, la chasse aux monstres neutres (**creeping**) et la gestion de l'équipement influencent la stratégie.
- L'équilibre entre **microgestion et macrogestion** est parfait : il ne suffit pas d'avoir une plus grosse armée, il faut **savoir l'utiliser intelligemment**.

Ce mélange a redéfini le STR et posé les bases du **genre MOBA**, qui explosera plus tard avec **DotA**, directement issu de l'éditeur de cartes du jeu.

      1. **Scénario : 5/5**

Blizzard ne s'est pas contenté de balancer un STR classique avec une excuse bidon pour enchaîner les missions. **Warcraft III** raconte une **épopée magistrale**, avec des personnages charismatiques et des rebondissements mémorables.

- L'histoire suit **Arthas Menethil**, prince paladin dont la descente aux enfers reste l'une des meilleures narrations jamais vues dans un jeu vidéo. Son passage du **héros lumineux au roi-liche impitoyable** est encore aujourd'hui une référence en matière d'écriture.
- Chaque faction a **sa propre campagne**, offrant des points de vue variés sur le conflit.
- L'extension **The Frozen Throne** approfondit encore le lore et amène un final **grandiose**.

Si **Warcraft III** est autant ancré dans la culture gaming, c'est aussi grâce à **son histoire incroyablement immersive**, bien avant que Blizzard ne s'égare avec **World of Warcraft** et ses extensions douteuses.

      1. **Bande-son : 5/5**

Autre point **intouchable** : l'ambiance sonore.

- **Les musiques épiques**, composées par **Derek Duke, Glenn Stafford et Jason Hayes**, restent **gravées dans la mémoire** des joueurs.
- **Les voix iconiques**, notamment celles des unités, sont devenues **des memes cultes** ("Work work.", "You must construct additional… wait, wrong game.").
- Les bruitages, qu'il s'agisse des sorts qui explosent, des coups d'épée ou des cris de guerre, renforcent la sensation de **puissance et d'impact**.

Le travail sonore est **immense**, et chaque moment du jeu est sublimé par cette **bande-son impeccable**.

      1. **Durée de vie : 5/5**

Vous pourriez passer **des milliers d'heures** sur **Warcraft III**, et ce n'est pas une exagération.

- **Les campagnes solo** offrent **des dizaines d'heures de jeu**.
- **Le multijoueur** est **extrêmement compétitif**, avec une méta toujours en évolution et un gameplay qui demande des **années pour être maîtrisé**.
- **L'éditeur de cartes** est une **usine à génie** : DotA, Tower Defense, RPG custom, maps WTF… **Warcraft III est un jeu sans fin grâce à sa communauté créative**.

Malheureusement, la version **Reforged** a mis un coup dans l'aile à la scène multijoueur en imposant **des restrictions absurdes**, tuant une partie de la créativité du jeu original.

      1. **Note finale : 18.5/20**

Si vous voulez découvrir ce chef-d'œuvre, **évitez Warcraft III: Reforged** et tournez-vous vers l'original, **toujours aussi excellent malgré son âge**. Pour ceux qui cherchent **un STR profond, tactique et riche en contenu**, **Warcraft III est un monument qu'il faut absolument jouer**.

OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


NIGHT-RUNNERS (le prologue)

    • Test de Night-Runners (Le Prologue) : Le kickstart d'une aventure sous tension**

Le prologue de **Night-Runners**, un jeu indépendant qui plonge dans un monde cyberpunk où l'infiltration et la survie sont les maîtres mots, a fait une entrée remarquée en 2020. Si ce n'est qu'une mise en bouche, il arrive à installer une atmosphère et une tension qui nous donnent un goût de trop peu. Une sorte de **brouillon** d'un jeu qui pourrait devenir quelque chose de plus grand, ou… qui pourrait s'effondrer dans ses ambitions. Alors, ce prologue est-il un teasing réussi ou juste une petite démo ?

    • Graphismes : 3.5/5**

On va pas se mentir, **Night-Runners** n'a pas les moyens des gros studios AAA, et ça se voit. **Les graphismes sont loin d'être fous**, mais la direction artistique **réussit à créer une ambiance cyberpunk crédible**. Entre néons clignotants, bâtiments désaffectés et ruelles étroites, le décor est là, même si **les textures manquent de détails** et que les animations des personnages sont parfois un peu rigides.

Ce qu'il faut retenir, c'est que **l'ambiance visuelle** fait le job. Elle n'est pas là pour vous exploser la rétine, mais pour vous plonger dans un univers sombre et oppressant, où chaque coin de rue peut cacher une menace.

    • Gameplay : 4/5**

Le gameplay de **Night-Runners** se base sur l'infiltration et les choix tactiques. Vous allez devoir **esquiver des patrouilles de gardes**, **pirater des systèmes** et **explorer des environnements labyrinthiques** tout en **faisant preuve de discrétion**. Si vous êtes un fan de jeux où l'action se déroule en mode furtif, ce prologue fait son job en offrant une expérience assez engageante.

Cependant, **les mécaniques sont encore un peu légères**, et on a parfois la sensation que le jeu manque de profondeur dans son approche. **Les combats sont basiques**, et bien qu'on nous promette des choix de gameplay plus variés dans le jeu complet, ce prologue laisse un peu sur sa faim côté variété.

Le système de piratage est sympa, mais il est **assez rudimentaire** et n'apporte pas encore cette tension qu'on attend d'un jeu cyberpunk. Par contre, la **gestion des ressources** et la **recherche de cachettes** pour échapper aux ennemis ajoutent un petit côté stressant qui fonctionne bien.

    • Scénario : 3/5**

Évidemment, ce n'est qu'un **prologue**, donc il faut prendre en compte qu'on est loin d'avoir une histoire complète. Mais **la promesse d'une aventure cyberpunk riche en complots, luttes de pouvoir et mystères** est bien là. On incarne un personnage plongé dans une **guerre secrète** entre factions rivales, mais pour l'instant, l'histoire est surtout **mise en place**. Les dialogues sont succincts, et **l'intrigue peine à vraiment décoller**. Il y a des **indices de grandes conspirations**, mais difficile de juger du potentiel narratif réel avec ce prologue.

    • Bande-son : 4/5**

Là où **Night-Runners** fait vraiment sensation, c'est au niveau de sa **bande-son**. La musique est une **synthwave envahissante** qui colle parfaitement à l'atmosphère dystopique. Les beats électroniques intenses et les sons d'ambiance rendent l'expérience **immersive**, et le jeu semble savoir quand faire silence pour accentuer la tension. Les bruitages des ennemis, des systèmes piratés et des pas résonnant dans les ruelles désertes sont de qualité et contribuent à l'ambiance. C'est un des points qui donne un **vrai cachet au jeu**.

    • Durée de vie : 2.5/5**

En tant que prologue, **Night-Runners ne dure que quelques heures**, avec une replay value assez limitée. Le niveau de difficulté est correct, mais sans plus. Vous aurez probablement envie de **faire une ou deux parties** pour tester toutes les options disponibles, mais ça s'arrête là. Le jeu vous laisse un sentiment de **frustration**, car on voit qu'il y a un **potentiel énorme**, mais qu'il n'est pas encore totalement exploité. Le prologue fonctionne donc plus comme un **teaser**, une introduction à un univers, plutôt qu'une expérience complète.

    • Note finale : 14/20**
    • Night-Runners (Le Prologue)** donne un bon aperçu de ce que pourrait devenir un jeu cyberpunk très solide. **Ambiance, tension, et gameplay furtif sont au rendez-vous**, mais la **carence scénaristique** et **la superficialité des mécaniques** laissent un goût d'inachevé. Il y a **beaucoup de potentiel**, et ce prologue nous fait saliver, mais il faut espérer que le jeu complet saura apporter la profondeur et la complexité qu'on attend d'un tel univers. Un bon début, mais on attend la suite avec impatience pour voir si le tout va tenir ses promesses.
DM

DechetMourinho

il y a 3 mois

    • Test de Night-Runners (Le Prologue) : Le kickstart d'une aventure sous tension**

Le prologue de **Night-Runners**, un jeu indépendant qui plonge dans un monde cyberpunk où l'infiltration et la survie sont les maîtres mots, a fait une entrée remarquée en 2020. Si ce n'est qu'une mise en bouche, il arrive à installer une atmosphère et une tension qui nous donnent un goût de trop peu. Une sorte de **brouillon** d'un jeu qui pourrait devenir quelque chose de plus grand, ou… qui pourrait s'effondrer dans ses ambitions. Alors, ce prologue est-il un teasing réussi ou juste une petite démo ?

    • Graphismes : 3.5/5**

On va pas se mentir, **Night-Runners** n'a pas les moyens des gros studios AAA, et ça se voit. **Les graphismes sont loin d'être fous**, mais la direction artistique **réussit à créer une ambiance cyberpunk crédible**. Entre néons clignotants, bâtiments désaffectés et ruelles étroites, le décor est là, même si **les textures manquent de détails** et que les animations des personnages sont parfois un peu rigides.

Ce qu'il faut retenir, c'est que **l'ambiance visuelle** fait le job. Elle n'est pas là pour vous exploser la rétine, mais pour vous plonger dans un univers sombre et oppressant, où chaque coin de rue peut cacher une menace.

    • Gameplay : 4/5**

Le gameplay de **Night-Runners** se base sur l'infiltration et les choix tactiques. Vous allez devoir **esquiver des patrouilles de gardes**, **pirater des systèmes** et **explorer des environnements labyrinthiques** tout en **faisant preuve de discrétion**. Si vous êtes un fan de jeux où l'action se déroule en mode furtif, ce prologue fait son job en offrant une expérience assez engageante.

Cependant, **les mécaniques sont encore un peu légères**, et on a parfois la sensation que le jeu manque de profondeur dans son approche. **Les combats sont basiques**, et bien qu'on nous promette des choix de gameplay plus variés dans le jeu complet, ce prologue laisse un peu sur sa faim côté variété.

Le système de piratage est sympa, mais il est **assez rudimentaire** et n'apporte pas encore cette tension qu'on attend d'un jeu cyberpunk. Par contre, la **gestion des ressources** et la **recherche de cachettes** pour échapper aux ennemis ajoutent un petit côté stressant qui fonctionne bien.

    • Scénario : 3/5**

Évidemment, ce n'est qu'un **prologue**, donc il faut prendre en compte qu'on est loin d'avoir une histoire complète. Mais **la promesse d'une aventure cyberpunk riche en complots, luttes de pouvoir et mystères** est bien là. On incarne un personnage plongé dans une **guerre secrète** entre factions rivales, mais pour l'instant, l'histoire est surtout **mise en place**. Les dialogues sont succincts, et **l'intrigue peine à vraiment décoller**. Il y a des **indices de grandes conspirations**, mais difficile de juger du potentiel narratif réel avec ce prologue.

    • Bande-son : 4/5**

Là où **Night-Runners** fait vraiment sensation, c'est au niveau de sa **bande-son**. La musique est une **synthwave envahissante** qui colle parfaitement à l'atmosphère dystopique. Les beats électroniques intenses et les sons d'ambiance rendent l'expérience **immersive**, et le jeu semble savoir quand faire silence pour accentuer la tension. Les bruitages des ennemis, des systèmes piratés et des pas résonnant dans les ruelles désertes sont de qualité et contribuent à l'ambiance. C'est un des points qui donne un **vrai cachet au jeu**.

    • Durée de vie : 2.5/5**

En tant que prologue, **Night-Runners ne dure que quelques heures**, avec une replay value assez limitée. Le niveau de difficulté est correct, mais sans plus. Vous aurez probablement envie de **faire une ou deux parties** pour tester toutes les options disponibles, mais ça s'arrête là. Le jeu vous laisse un sentiment de **frustration**, car on voit qu'il y a un **potentiel énorme**, mais qu'il n'est pas encore totalement exploité. Le prologue fonctionne donc plus comme un **teaser**, une introduction à un univers, plutôt qu'une expérience complète.

    • Note finale : 14/20**
    • Night-Runners (Le Prologue)** donne un bon aperçu de ce que pourrait devenir un jeu cyberpunk très solide. **Ambiance, tension, et gameplay furtif sont au rendez-vous**, mais la **carence scénaristique** et **la superficialité des mécaniques** laissent un goût d'inachevé. Il y a **beaucoup de potentiel**, et ce prologue nous fait saliver, mais il faut espérer que le jeu complet saura apporter la profondeur et la complexité qu'on attend d'un tel univers. Un bon début, mais on attend la suite avec impatience pour voir si le tout va tenir ses promesses.

Ahi c'est pas le bon jeu je crois

K6

kheylogger60

il y a 3 mois

il est ou mon test de RapeLay ?
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


il est ou mon test de RapeLay ?

Test de RapeLay : Le chef-d'œuvre des pixels maladroits et des décisions douteuses

On va pas se mentir, RapeLay est un jeu qui te fait te poser des questions existentielles, des questions qui n'ont probablement rien à voir avec les jeux vidéo en général. Faut-il vraiment être un héros pour incarner un mec avec des ambitions douteuses dans un univers aussi bizarroïde ? Est-ce que ça devrait même exister ? Mais bon, on est là pour en parler, donc regardons ça de plus près.

Graphismes : 8/5
On commence par le visuel. Ou plutôt, on commence par essayer de comprendre ce qui se passe avec ce bordel de pixels. C'est comme si quelqu'un avait demandé à un chat aveugle de dessiner un personnage, puis l'avait animé à la main avec des pinceaux en mousse. Les textures semblent avoir été créées par un programmeur qui s'est endormi sur son clavier, mais en même temps, c'est ce genre de réalisme d'un autre monde qui lui donne un charme tout particulier. Les mains flottantes sont vraiment quelque chose à contempler. C'est presque une expérience philosophique de se demander comment l'humanité en est arrivée là.

La détérioration des modèles 3D des personnages donne l'impression que chaque mouvement est un pétage de câble informatique. Mais bon, peut-être que c'est ce que l'on attendait tous sans le savoir. Bref, la beauté réside dans l'étrangeté, non ?

Gameplay : 10/5
Le gameplay, ah, le gameplay. C'est ici qu'on touche l'essence même du jeu vidéo. Est-ce un jeu d'infiltration ? Est-ce un jeu de tactiques militaires ultra complexes ? Est-ce un simulateur de positionnement de personnages ? Peu importe. Parce qu'à chaque moment, tu te retrouves à te demander pourquoi t'es là, ce qui te fait remonter à une question plus fondamentale : est-ce qu'on peut vraiment appeler ça un "jeu" ?

C'est comme un délire de contrôles inversés, où chaque pression sur les boutons fait avancer l'histoire dans une direction que tu n'as même pas vue venir. Les personnages réagissent de façon tellement random qu'on pourrait croire que c'est un générateur aléatoire de mauvais choix qui guide ton expérience. Pourquoi les personnages bougent ainsi ? Pourquoi ces décisions ? C'est la quête de sens, peut-être.

Les scripts du jeu sont si bizarres qu'ils en deviennent des pièces surréalistes de théâtre absurde. Aucun contrôle, aucun choix rationnel. Juste des mouvements de souris qui te font te sentir comme un marionnettiste dans un monde en feu. Et c'est magnifique.

Scénario : -999/5
Évidemment, si tu cherches une narration cohérente, tu vas pleurer. C'est l'équivalent d'essayer de suivre un fil conducteur dans un sac de nouilles. Des personnages qui apparaissent et disparaissent sans raison, des dialogues qui se percutent comme des boules de bowling dans une salle de réunion vide, et des événements qui arrivent comme un panier de fruits pourri qui te tombe sur la tête sans prévenir.

La logique du scénario ? Il n'y en a pas. C'est comme si un robot avait avalé des scripts de films d'action et qu'un autre robot avait essayé de retranscrire l'histoire sans comprendre de quoi il s'agissait. Le tout est un cauchemar en technicolor, une réécriture de la réalité à la manière d'un film de David Lynch sur des stéroïdes. Est-ce une satire ? Un avertissement ? Ou juste un délire qui dépasse toute compréhension humaine ?

Bande-son : 5/5
La bande-son… Ah, la bande-son. On peut difficilement mettre un chiffre plus élevé. Parce que, franchement, ça claque. Les bruitages des clics de souris sont tellement réconfortants qu'on pourrait les écouter en boucle pour se détendre. Les musiques d'ambiance sont les mêmes que celles que tu entends quand tu es coincé dans un ascenseur dans un hôpital abandonné. Ça crée une atmosphère lourde où l'on se sent à la fois à l'aise et complètement perdu.

Le cliquetis des claviers qui déconnent pendant les moments clés te fait sentir que tu es au cœur d'un film d'horreur interactif. L'absence de musiques cohérentes renforce le sentiment d'être dans un paradoxe temporel. Qui a dit qu'il fallait une bande-son correcte, de toute façon ?

Durée de vie : 1000/5
Qui a besoin de la durée de vie d'un jeu quand la véritable question ici est pourquoi diable tu continues à y jouer ? On parle ici de l'infini. Répétition infinie de décisions absurdes, de personnages qui font des choses qui n'ont absolument aucun sens. Tu ne fais pas juste jouer à ce jeu, tu t'immerges dans un vortex de nonsens. Combien de temps vas-tu rester là à comprendre, si tu parviens à comprendre, à essayer de rationaliser ce qui se passe ? Un éternel questionnement. C'est indéfinissable.

Note finale : 20/5
C'est un chef-d'œuvre, mais pas du genre que tu peux vraiment comprendre. C'est un jeu qui ne se prend pas au sérieux et qui te pousse à réfléchir, à t'interroger sur tout et rien à la fois. RapeLay n'est pas juste un jeu : c'est une expérience métaphysique qui transcende tout ce que tu as pu connaître jusqu'ici. Est-ce mauvais ? Est-ce bien ? Peu importe. C'est l'œuvre d'un esprit détraqué, une étude de l'absurde en pixels.

La note finale est donc parfaitement injustifiable, mais franchement, qui a besoin de logique ici ?

20/5.

K6

kheylogger60

il y a 3 mois

Test de RapeLay : Le chef-d'œuvre des pixels maladroits et des décisions douteuses

On va pas se mentir, RapeLay est un jeu qui te fait te poser des questions existentielles, des questions qui n'ont probablement rien à voir avec les jeux vidéo en général. Faut-il vraiment être un héros pour incarner un mec avec des ambitions douteuses dans un univers aussi bizarroïde ? Est-ce que ça devrait même exister ? Mais bon, on est là pour en parler, donc regardons ça de plus près.

Graphismes : 8/5
On commence par le visuel. Ou plutôt, on commence par essayer de comprendre ce qui se passe avec ce bordel de pixels. C'est comme si quelqu'un avait demandé à un chat aveugle de dessiner un personnage, puis l'avait animé à la main avec des pinceaux en mousse. Les textures semblent avoir été créées par un programmeur qui s'est endormi sur son clavier, mais en même temps, c'est ce genre de réalisme d'un autre monde qui lui donne un charme tout particulier. Les mains flottantes sont vraiment quelque chose à contempler. C'est presque une expérience philosophique de se demander comment l'humanité en est arrivée là.

La détérioration des modèles 3D des personnages donne l'impression que chaque mouvement est un pétage de câble informatique. Mais bon, peut-être que c'est ce que l'on attendait tous sans le savoir. Bref, la beauté réside dans l'étrangeté, non ?

Gameplay : 10/5
Le gameplay, ah, le gameplay. C'est ici qu'on touche l'essence même du jeu vidéo. Est-ce un jeu d'infiltration ? Est-ce un jeu de tactiques militaires ultra complexes ? Est-ce un simulateur de positionnement de personnages ? Peu importe. Parce qu'à chaque moment, tu te retrouves à te demander pourquoi t'es là, ce qui te fait remonter à une question plus fondamentale : est-ce qu'on peut vraiment appeler ça un "jeu" ?

C'est comme un délire de contrôles inversés, où chaque pression sur les boutons fait avancer l'histoire dans une direction que tu n'as même pas vue venir. Les personnages réagissent de façon tellement random qu'on pourrait croire que c'est un générateur aléatoire de mauvais choix qui guide ton expérience. Pourquoi les personnages bougent ainsi ? Pourquoi ces décisions ? C'est la quête de sens, peut-être.

Les scripts du jeu sont si bizarres qu'ils en deviennent des pièces surréalistes de théâtre absurde. Aucun contrôle, aucun choix rationnel. Juste des mouvements de souris qui te font te sentir comme un marionnettiste dans un monde en feu. Et c'est magnifique.

Scénario : -999/5
Évidemment, si tu cherches une narration cohérente, tu vas pleurer. C'est l'équivalent d'essayer de suivre un fil conducteur dans un sac de nouilles. Des personnages qui apparaissent et disparaissent sans raison, des dialogues qui se percutent comme des boules de bowling dans une salle de réunion vide, et des événements qui arrivent comme un panier de fruits pourri qui te tombe sur la tête sans prévenir.

La logique du scénario ? Il n'y en a pas. C'est comme si un robot avait avalé des scripts de films d'action et qu'un autre robot avait essayé de retranscrire l'histoire sans comprendre de quoi il s'agissait. Le tout est un cauchemar en technicolor, une réécriture de la réalité à la manière d'un film de David Lynch sur des stéroïdes. Est-ce une satire ? Un avertissement ? Ou juste un délire qui dépasse toute compréhension humaine ?

Bande-son : 5/5
La bande-son… Ah, la bande-son. On peut difficilement mettre un chiffre plus élevé. Parce que, franchement, ça claque. Les bruitages des clics de souris sont tellement réconfortants qu'on pourrait les écouter en boucle pour se détendre. Les musiques d'ambiance sont les mêmes que celles que tu entends quand tu es coincé dans un ascenseur dans un hôpital abandonné. Ça crée une atmosphère lourde où l'on se sent à la fois à l'aise et complètement perdu.

Le cliquetis des claviers qui déconnent pendant les moments clés te fait sentir que tu es au cœur d'un film d'horreur interactif. L'absence de musiques cohérentes renforce le sentiment d'être dans un paradoxe temporel. Qui a dit qu'il fallait une bande-son correcte, de toute façon ?

Durée de vie : 1000/5
Qui a besoin de la durée de vie d'un jeu quand la véritable question ici est pourquoi diable tu continues à y jouer ? On parle ici de l'infini. Répétition infinie de décisions absurdes, de personnages qui font des choses qui n'ont absolument aucun sens. Tu ne fais pas juste jouer à ce jeu, tu t'immerges dans un vortex de nonsens. Combien de temps vas-tu rester là à comprendre, si tu parviens à comprendre, à essayer de rationaliser ce qui se passe ? Un éternel questionnement. C'est indéfinissable.

Note finale : 20/5
C'est un chef-d'œuvre, mais pas du genre que tu peux vraiment comprendre. C'est un jeu qui ne se prend pas au sérieux et qui te pousse à réfléchir, à t'interroger sur tout et rien à la fois. RapeLay n'est pas juste un jeu : c'est une expérience métaphysique qui transcende tout ce que tu as pu connaître jusqu'ici. Est-ce mauvais ? Est-ce bien ? Peu importe. C'est l'œuvre d'un esprit détraqué, une étude de l'absurde en pixels.

La note finale est donc parfaitement injustifiable, mais franchement, qui a besoin de logique ici ?

20/5.

j'ai signal gouv pour glorification du viol

DD

DresseurDeSeid

il y a 3 mois

Jet Force Gemini stp
TJ

ThE-Jeje38720

il y a 3 mois

Rayman 2
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


Jet Force Gemini stp

    • Test de Jet Force Gemini : Un jeu d'action en 3D qui n'a pas pris une ride**

Sorti sur **Nintendo 64** en 1999, **Jet Force Gemini** est un jeu d'action/aventure qui s'est fait remarquer par sa richesse, son gameplay varié, et son ambition à proposer une expérience immersive dans un univers futuriste. Développé par **Rare**, le jeu a, à l'époque, été salué pour sa jouabilité et son côté novateur, mais a également été critiqué pour ses quelques faiblesses techniques. Plus de 20 ans après sa sortie, **est-ce que Jet Force Gemini mérite encore le détour** ? On va voir ça.

      1. **Graphismes : 3.5/5**

Au moment de sa sortie, **Jet Force Gemini** était l'un des jeux les plus impressionnants graphiquement de la Nintendo 64, et même aujourd'hui, les personnages et décors restent plutôt agréables à regarder, bien que certains aspects vieillissent un peu.

Les personnages sont relativement **détaillés pour l'époque**, mais les **textures** et les **environnements** peuvent paraître assez **rudimentaires** comparés aux standards modernes. Cependant, l'animation reste fluide, et les effets spéciaux, notamment les explosions et les attaques, sont toujours efficaces.

Le design des ennemis, des **insectes géants** aux créatures mécaniques, est dans le ton de l'univers futuriste et de la science-fiction, ce qui renforce l'immersion.

Il manque cependant un peu de variété dans les environnements. Certaines zones se ressemblent, avec des textures souvent réutilisées, ce qui peut rendre l'expérience légèrement répétitive après un moment.

      1. **Gameplay : 4.5/5**

L'un des points forts de **Jet Force Gemini** est sans conteste son **gameplay dynamique**. Le jeu combine habilement des éléments d'action et de plateforme en 3D, avec un système de visée, de déplacements et d'attaque qui reste fluide.

Le personnage principal, **Juno**, ainsi que ses compagnons **Vela** et **Lupus**, ont chacun des capacités spécifiques qui apportent de la diversité au gameplay. Par exemple, **Lupus** peut sauter plus haut et a une vitesse supérieure, tandis que **Vela** est spécialisée dans l'armement et la puissance de feu.

Le jeu propose une **répartition de missions variées**, allant de l'exploration d'environnements ouverts à des sections plus dirigées, ce qui garde l'expérience intéressante. Il y a aussi des éléments de **réflexion**, comme des puzzles et la collecte d'objets, qui ajoutent un côté aventure au jeu d'action.

Le **système de visée** est plutôt solide pour l'époque, bien que parfois un peu capricieux dans les phases de tirs rapides. La possibilité de jouer en **coopération** avec un autre joueur ajoute un plus indéniable pour ceux qui veulent partager l'aventure.

    • Jet Force Gemini** excelle particulièrement dans les **missions secondaires**, où l'on doit sauver des tribus d'aliens. Cette mécanique de sauver chaque membre de l'équipe pour avancer dans l'histoire ajoute un côté **stratégique** intéressant, bien qu'un peu répétitif au fil du temps.
      1. **Scénario : 3/5**

L'histoire de **Jet Force Gemini** n'est pas ce qui marquera le plus les esprits, mais elle fait le job. Vous incarnez Juno et son équipe, membres du **Jet Force**, une organisation intergalactique dont la mission est d'arrêter un maléfique seigneur insectoïde appelé **Mizar**, qui menace de détruire la galaxie.

Le **scénario** reste assez basique, voire cliché, avec des rebondissements peu nombreux et des personnages qui, bien que sympathiques, n'ont pas une profondeur particulière. Cependant, l'univers du jeu est suffisamment riche pour maintenir l'intérêt, et les ennemis sont plutôt charismatiques, ce qui ajoute un peu de couleur à l'intrigue.

Les **missions secondaires** de sauvetage (qui consistent à libérer des petits aliens) viennent ajouter un aspect de **compassion** à l'histoire, mais leur répétitivité nuira un peu à l'engouement sur le long terme.

      1. **Bande-son : 4/5**

La **bande-son** de **Jet Force Gemini** est un autre point positif du jeu. Composée par **David Wise**, un compositeur connu pour ses travaux sur des jeux comme **Donkey Kong Country**, la musique de ce jeu est **immersive** et réussit à accompagner l'ambiance générale de l'aventure.

Les musiques sont entraînantes, parfois épiques, mais savent aussi se faire plus subtiles dans les phases d'exploration. Elles réussissent à maintenir une bonne dynamique tout au long du jeu.

Les **effets sonores** sont également de bonne qualité, avec des bruits d'armement, d'explosions et des vocalises des ennemis bien réalisés. Cependant, certains **crissements ou bruitages répétitifs** peuvent devenir un peu gênants après plusieurs heures de jeu.

      1. **Durée de vie : 4/5**

Avec ses **missions principales** et ses nombreuses **missions secondaires**, **Jet Force Gemini** propose une durée de vie plutôt solide pour un jeu de l'époque. L'exploration est assez agréable grâce à la diversité des environnements, et le **système de collection** des aliens à sauver ajoute un côté **répétitif mais addictif**. On peut facilement passer entre **15 et 20 heures** sur le jeu, voire plus si l'on veut débloquer tous les secrets et atteindre 100 %.

Le jeu ne présente pas une difficulté insurmontable, mais la **recherche des objets cachés** et l'**exploration** vont donner aux joueurs les plus acharnés des heures supplémentaires de contenu.

      1. **Note finale : 16/20**
    • Jet Force Gemini** n'est peut-être pas **le jeu qui vous marquera à vie**, mais c'est un excellent produit pour ceux qui aiment l'aventure en 3D et l'action intense.
OP
A1

Alunissage1969

il y a 3 mois


Rayman 2

    • Test de Rayman 2 : La Grande Évasion**

Lancé en 1999, **Rayman 2 : La Grande Évasion** fait figure de véritable référence dans le monde des jeux de plateformes 3D, et reste aujourd'hui l'un des titres les plus emblématiques du genre. Alors que Rayman, le héros sans bras ni jambes, se retrouve embarqué dans une aventure pour sauver son monde d'une menace mystérieuse, **Rayman 2** nous offre un cocktail parfait de **plateformes, exploration et aventures**, toujours aussi plaisant même après toutes ces années.

Est-ce que l'excitation de ce grand classique est toujours aussi forte aujourd'hui ? Voyons ça de plus près.

      1. **Graphismes : 5/5**

En 1999, **Rayman 2** était tout simplement **époustouflant visuellement**. Le jeu a vraiment su tirer parti des capacités techniques de la **Nintendo 64**, de la **PlayStation** et de la **Dreamcast** (sur laquelle il était également disponible). Les décors étaient variés et pleins de **couleurs vives**, avec des environnements **riches en détails**. L'utilisation de **lumières dynamiques**, de **textures nettes**, et des **animations fluides** des personnages étaient une vraie prouesse technique à l'époque.

Les niveaux vont du **village flottant** aux **forêts luxuriantes**, en passant par des **donjons sous-marins**, et chaque nouvel environnement propose une **nouvelle palette de couleurs** et une atmosphère unique. Même aujourd'hui, **Rayman 2** reste un des jeux les plus **beaux de son époque**, et son art direction subtile et imaginative lui permet de **traverser le temps sans accroc**.

En plus de ça, les personnages sont expressifs et les **animations des ennemis** ajoutent une touche de vie à chaque niveau, renforçant ainsi l'aspect **vivant** de l'univers de Rayman.

      1. **Gameplay : 4.5/5**

Rayman 2 reste un **jeu de plateforme solide** dans toute sa conception. Le **mouvement de Rayman** est précis, agréable, et très fluide. Il faut saluer les contrôles, qui étaient **réactifs** et **bien adaptés** aux mécaniques de plateforme 3D de l'époque. **Les sauts, les grimpettes**, et les courses étaient bien pensés et surtout **très intuitifs**.

Ce qui distingue **Rayman 2** d'autres jeux de plateformes, c'est l'équilibre parfait entre exploration et action. Non seulement vous allez sauter, courir et grimper, mais vous allez également utiliser des **compétences spéciales** (comme la capacité à utiliser les **anneaux magiques** ou à envoyer des projectiles) qui ajoutent une **dimension supplémentaire** à l'expérience. Le **système de collecte** des **lums** (les petites créatures lumineuses) vous poussera à explorer chaque recoin des niveaux.

Le gameplay se renouvelle continuellement avec l'ajout de nouvelles capacités pour Rayman au fil de l'aventure. Par exemple, après avoir débloqué son **hélicoptère**, il peut **voler** sur de courtes distances, apportant des variantes intéressantes aux niveaux plus difficiles. La possibilité d'**enchaîner des acrobaties** et des **combos de tirs** à distance vous donnera un sentiment de liberté assez unique.

Toutefois, même si le gameplay est **très solide**, certaines sections de plateforme peuvent paraître un peu **frustrantes** à cause des mouvements imprécis ou d'**énigmes** qui cassent le rythme. Ce n'est pas un défaut majeur, mais ça reste un petit point à prendre en compte.

      1. **Scénario : 4/5**

Le scénario de **Rayman 2** n'est pas nécessairement ce qui va le rendre **inoubliable**, mais il est tout à fait efficace dans le cadre de l'aventure. Vous incarnez **Rayman**, un héros qui, après avoir été capturé, se retrouve dans un monde gouverné par des **forces maléfiques** qui ont pris le contrôle de la planète. Il doit maintenant **libérer ses amis et restaurer l'équilibre** en détruisant la menace des **Robots** et du **Grim Reaper** qui rôdent.

L'histoire est **simple mais agréable**, et l'univers de **Rayman** est riche, peuplé de personnages **colorés** et **mignons**. En plus, les dialogues et les animations sont pleins d'humour et de charme. Si vous recherchez un récit ultra-complexe, vous serez un peu déçu, mais pour ce type de jeu, l'histoire remplit parfaitement son rôle.

Le côté un peu **léger** du scénario permet à **Rayman 2** de se concentrer sur ses **mécaniques de jeu**, et c'est une excellente décision. Le joueur ne se sent jamais perdu, et l'aventure garde un bon **rythme** grâce à la simplicité de l'intrigue.

      1. **Bande-son : 5/5**

La **bande-son** de **Rayman 2** est un autre point où le jeu brille. Composée par **Rémi Gazel**, la musique est aussi **mémorable** que l'univers visuel. Elle accompagne chaque niveau avec **brio**, oscillant entre des morceaux **épiques**, des ambiances plus **calmes et méditatives**, et des airs un peu plus **joyeux** et **légers**.

Les sons d'ambiance sont impeccables, et les bruitages des personnages et ennemis sont très bien faits. Mais ce qui ressort particulièrement, ce sont les **mélodies entraînantes** qui collent parfaitement à l'univers du jeu, et qui ne cessent de vous faire sourire, même après des heures de jeu.

Il n'est pas rare que certaines **musiques** du jeu restent **gravées dans votre mémoire** une fois l'aventure terminée. Elles ont cette capacité à **dynamiser l'action** tout en créant une atmosphère qui vous immerge totalement dans le monde de Rayman.

      1. **Durée de vie : 4/5**

Bien que **Rayman 2** soit un jeu relativement court, il offre suffisamment de **contenu pour justifier son achat**. Comptez entre **10 et 15 heures** pour terminer l'aventure principale, mais si vous voulez **explorer tout** et récupérer les **lums** cachés dans chaque recoin, il vous faudra plusieurs heures supplémentaires. Les **missions secondaires** et les différents **secrets à découvrir** apportent de la profondeur et encouragent à refaire certains niveaux.

Le jeu n'est pas excessivement difficile, mais certaines **sections de plateforme** ou de **combat** peuvent donner du fil à retordre, notamment vers la fin du jeu. Cela donne un bon **équilibre entre défi et plaisir**, mais sans jamais devenir trop frustrant.

      1. **Note finale : 18/20**

C'est un jeu qui se distingue par sa capacité à rester accessible à tous, tout en offrant une expérience profonde pour ceux qui veulent **explorer** et **compléter** le jeu à 100 %. Quelques petites imperfections au niveau du **gameplay de plateforme** et un **scénario simple** viennent légèrement ternir l'ensemble, mais ces défauts sont largement compensés par **l'originalité** du jeu, son **charme intemporel**, et son **humour**.

Si vous êtes amateur de jeux de plateforme, **Rayman 2** mérite de figurer dans votre collection, et **ne vous décevra pas**.

UM

UnMillion

il y a 3 mois

Assassins creed shadow https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
MS

Macron-san

il y a 3 mois

Fallout 2 https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/5/1515794138-risitasvault.png
LA

labrutee

il y a 3 mois

Elden ring
PF

PuceauFugace

il y a 3 mois

Kenshi