Libération: aurélie, 37 ans, teste sa 1er double pénétration: "j'ai adoré ça"
43 messages
Mise à jour: il y a 2 mois
hoytvolker62
il y a 2 mois
femme lambda en 2k25
EL-WEJDENE
il y a 2 mois
LeDjokaire
il y a 2 mois
FredericLambda_
il y a 2 mois
Postez le
Shartmander2
il y a 2 mois
Et qui nous coûte pas cher en plus....
ste2010
il y a 2 mois
les meres de demain
Nonobstant celle là arrive bientôt a la date butoir
issou2058
il y a 2 mois
les meres de demain
son corps son choix
Marcasse
il y a 2 mois
Libération: aurélie, 37 ans, teste sa 1er double pénétration: "j'ai adoré ça"
Elle a défoncé son mec avec un double strap on ?
WhereIsDev
il y a 2 mois
on peut lire ou larticle complet
VittelFraiche
il y a 2 mois
Le topic a aucun intérêt si tu nous donnes pas l'article entier en fait
marcassin76
il y a 2 mois
Libération qui promeut les comportements dég*nérés.
philodebar20
il y a 2 mois
Les deux déchets homosexuels pour baiser ce cageot bordel respectez vous les "hommes"
Fertisak
il y a 2 mois
Qui dirige libé ???
Jacobinbanni
il y a 2 mois
Voilà l'article:
Mon histoire d'un soir : «Je leur explique que j'aimerais bien faire un plan à trois avec des mecs»
Katia Dansoko Touré
Ils ou elles témoignent d'une rencontre éphémère qui a débouché sur une situation cocasse ou qui reste un agréable souvenir. Dans notre troisième épisode, Aurélie (1), 37 ans, revient sur son aventure avec les amis d'enfance de son «plan cul».
Pour ne rater aucun témoignage, aucune histoire, inscrivez-vous ànotre nouvelle newsletter gratuite «Vécu».
La multiplicité des relations intimes qui s'offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d'un soir. Celle qui découle d'une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024,une étude de l'Inedpointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d'un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l'anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Dans notre troisième épisode, Aurélie (1), 37 ans, ingénieure pédagogique à Lille, se remémore une soirée parisienne torride.
«A 30 ans, je vis à Paris et je vois Julien (1) assez souvent. Nous sommes entre le plan cul et la situationship [relation dont les termes ne sont pas clairement définis, ndlr]. Je m'apprête à quitter Paris pour Lille donc il n'y a pas de futur possible entre nous. On se retrouve, un soir, dans un bar où il est présent avec deux de ses amis d'enfance. Je suis bourrée et je commence à parler de façon très crue avec ces deux mecs que je ne connais pas. Je leur explique que j'aimerais bien faire un plan à trois avec des mecs. On se retrouve tous les quatre chez Julien. Bien plus bourré que nous, il s'endort sur le canapé. Je me retrouve alors avec ses amis d'enfance.
«Je saisis là l'occasion. Je me retrouve à faire un plan à trois dans le lit de Julien, avec ses deux amis, carrément partants, alors qu'il dort sur son canapé. Il ne se réveille pas une seconde, sans doute profondément endormi sous l'effet de l'alcool. En pleine nuit, je quitte le lit, et donc les deux mecs avec qui je viens de coucher, pour rejoindre Julien sur le canapé.
«On se réveille ensemble. Dans la chambre, il retrouve des préservatifs usagés et me demande ce que l'on a fait. Je lui raconte tout. Il hallucine un brin mais n'a pas trop l'air de mal le prendre. On finit, lui et moi, par faire l'amour. J'ai mal parce que mon plan à trois était intense. Avec le recul et même si tout s'est bien passé, je pense aujourd'hui que j'étais trop jeune. Sur le moment, je n'ai pas tellement d'expérience sexuelle. Aussi, je n'ai pas tellement confiance en moi et je n'arrive pas à bien exprimer ce que je veux et ce que j'aime.
«Peu après, quand je veux revoir Julien, il me rétorque qu'il a rencontré quelqu'un. Moi, je pense plutôt qu'il ne veut plus me revoir à cause de cette soirée. Lui et moi ne sommes pas en couple, alors pourquoi le prendre mal ? Cela dit, je pousse peut-être un peu trop le bouchon le lendemain de cette soirée. L'un des deux amis avec qui j'ai vécu une nuit torride appelle Julien parce qu'il a oublié quelque chose. J'invite à le mettre sur haut-parleur et je me permets de remercier son ami pour la nuit que l'on a passée ensemble. Je me montre polie et pleine de gratitude. Peut-être qu'au fond de moi, je cherche à marquer le fait que ma relation avec Julien n'est pas claire, et donc que je peux me le permettre. Aujourd'hui, repenser à tout ça me fait rire aux éclats.»
Montagnardeter2
il y a 2 mois
Libé c'est l'avant garde de la presse gauchiste cosmopolite donc pour la liquéfaction de tous les rapports sociaux dans la sauce échangiste universelle, l'abolition de l'Histoire et l'avènement de la grande partouzerie généralisée dans l'adoration de la marchandise, de l'état et de l'argent en accompagnant joyeusement le capitalisme drogué et sénile dans sa phase terminal.
Tout ça au frais des prolos bien évidemment et en leur lâchant un molard dans la gueule de temps à autre
Lovertown
il y a 2 mois
Voilà l'article:Mon histoire d'un soir : «Je leur explique que j'aimerais bien faire un plan à trois avec des mecs»
Katia Dansoko Touré
Ils ou elles témoignent d'une rencontre éphémère qui a débouché sur une situation cocasse ou qui reste un agréable souvenir. Dans notre troisième épisode, Aurélie (1), 37 ans, revient sur son aventure avec les amis d'enfance de son «plan cul».
Pour ne rater aucun témoignage, aucune histoire, inscrivez-vous ànotre nouvelle newsletter gratuite «Vécu».
La multiplicité des relations intimes qui s'offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d'un soir. Celle qui découle d'une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024,une étude de l'Inedpointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d'un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l'anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Dans notre troisième épisode, Aurélie (1), 37 ans, ingénieure pédagogique à Lille, se remémore une soirée parisienne torride.
«A 30 ans, je vis à Paris et je vois Julien (1) assez souvent. Nous sommes entre le plan cul et la situationship [relation dont les termes ne sont pas clairement définis, ndlr]. Je m'apprête à quitter Paris pour Lille donc il n'y a pas de futur possible entre nous. On se retrouve, un soir, dans un bar où il est présent avec deux de ses amis d'enfance. Je suis bourrée et je commence à parler de façon très crue avec ces deux mecs que je ne connais pas. Je leur explique que j'aimerais bien faire un plan à trois avec des mecs. On se retrouve tous les quatre chez Julien. Bien plus bourré que nous, il s'endort sur le canapé. Je me retrouve alors avec ses amis d'enfance.
«Je saisis là l'occasion. Je me retrouve à faire un plan à trois dans le lit de Julien, avec ses deux amis, carrément partants, alors qu'il dort sur son canapé. Il ne se réveille pas une seconde, sans doute profondément endormi sous l'effet de l'alcool. En pleine nuit, je quitte le lit, et donc les deux mecs avec qui je viens de coucher, pour rejoindre Julien sur le canapé.
«On se réveille ensemble. Dans la chambre, il retrouve des préservatifs usagés et me demande ce que l'on a fait. Je lui raconte tout. Il hallucine un brin mais n'a pas trop l'air de mal le prendre. On finit, lui et moi, par faire l'amour. J'ai mal parce que mon plan à trois était intense. Avec le recul et même si tout s'est bien passé, je pense aujourd'hui que j'étais trop jeune. Sur le moment, je n'ai pas tellement d'expérience sexuelle. Aussi, je n'ai pas tellement confiance en moi et je n'arrive pas à bien exprimer ce que je veux et ce que j'aime.
«Peu après, quand je veux revoir Julien, il me rétorque qu'il a rencontré quelqu'un. Moi, je pense plutôt qu'il ne veut plus me revoir à cause de cette soirée. Lui et moi ne sommes pas en couple, alors pourquoi le prendre mal ? Cela dit, je pousse peut-être un peu trop le bouchon le lendemain de cette soirée. L'un des deux amis avec qui j'ai vécu une nuit torride appelle Julien parce qu'il a oublié quelque chose. J'invite à le mettre sur haut-parleur et je me permets de remercier son ami pour la nuit que l'on a passée ensemble. Je me montre polie et pleine de gratitude. Peut-être qu'au fond de moi, je cherche à marquer le fait que ma relation avec Julien n'est pas claire, et donc que je peux me le permettre. Aujourd'hui, repenser à tout ça me fait rire aux éclats.»
marcassin76
il y a 2 mois
Pauvre type.
Voilà quoi mène l'hypergamie féminine ainsi que la misère sexuelle masculine.
ça c'est pas l'hypergamie féminine. C'est la cassoserie, la perversion et le manque de religion.
86343
il y a 2 mois
les meres de demain
Non
Lovertown
il y a 2 mois
« Lui et moi ne sommes pas en couple, alors pourquoi le prendre mal ? Cela dit, je pousse peut-être un peu trop le bouchon le lendemain de cette soirée. L'un des deux amis avec qui j'ai vécu une nuit torride appelle Julien parce qu'il a oublié quelque chose. J'invite à le mettre sur haut-parleur et je me permets de remercier son ami pour la nuit que l'on a passée ensemble. Je me montre polie et pleine de gratitude. Peut-être qu'au fond de moi, je cherche à marquer le fait que ma relation avec Julien n'est pas claire, et donc que je peux me le permettre. Aujourd'hui, repenser à tout ça me fait rire aux éclats »
Tony_186878
il y a 2 mois
Le topic a aucun intérêt si tu nous donnes pas l'article entier en fait
L'article n'a aucun intérêt, je sais pas pourquoi tout le monde parle de sa vie sexuelle publiquement alors que c'est censé être privé
HommeEnceinte
il y a 2 mois
"Aujourd'hui, repenser à tout ça me fait rire aux éclats."
Elle dit ça pour se rassurer ahi
Dark_Khey2
il y a 2 mois
Ahii la meuf dégoûtée qu'il soit passé à autre chose
ManonLaGeekette
il y a 2 mois
J'ai jamais compris l'intérêt d'étaler sa vie sexuelle dans les journaux comme ça
bebe_grelot
il y a 2 mois
en vrai ce sont de faux articles
les articles de libéaration mais de médias en général doivent généré du clic et des ventes
les journalistes font des aricles de ce genre car ils doivent avoir un rendements et crée des abonnements (d'ou le souci du parisien maintenant)
bebe_grelot
il y a 2 mois
J'ai jamais compris l'intérêt d'étaler sa vie sexuelle dans les journaux comme ça
car y'a aucune source , c'est inventé par la meuf pour faire des abonnement et donc des clics
demain à sa place je ferrait un article ou l'homme accepte de payer les vacances de sa femme et de son amant et ça fait des ventes
Lydens
il y a 2 mois
La débauche et la décadence de certains et certaines....
Choisissez bien vos relations les gars
ElFamosoChank77
il y a 2 mois
car y'a aucune source , c'est inventé par la meuf pour faire des abonnement et donc des clics
demain à sa place je ferrait un article ou l'homme accepte de payer les vacances de sa femme et de son amant et ça fait des ventes
Oui, donc c'est bien de la propagande
Des mensonges et des faits inventés pour pousser les golems a trouver cela tout à fait normal
ManonLaGeekette
il y a 2 mois
car y'a aucune source , c'est inventé par la meuf pour faire des abonnement et donc des clics
demain à sa place je ferrait un article ou l'homme accepte de payer les vacances de sa femme et de son amant et ça fait des ventes
Probablement ou alors c'est juste l'histoire perso de la nana qui a écrit l'article et elle a changer le prénom
ratonvoleur18
il y a 2 mois
ca doit etre excitant de se prendre 2 bitent en meme temps
issou2058
il y a 2 mois