Ecrire sur les soit disant dérives autoritaires de l'Islam alors que l'islamophobie explose au niveau mondial c'est être irresponsable et islamophobe.

L'islamophobie est un crime, et cet écrivain doit être condamné si un juge décrète qu'il en est coupable.

on a pu le faire par le passé, pas à ce point déja pour commencer, et puis on a évoluté, on s'est rendu compte qu'on avait fait de la merde et on a interdit tout ca avec nos différents "code pénal"

tu vois la différence, entre l'europe qui a évolué qui garanti désormais les droits humains les plus fondamentales à chacun, et l'islam qui est restée bloquée au 7eme siècle?

Les occidentaux qui garantissent des droits humains
L'Islamophobie explose partout en Europe, les musulmans sont littéralement des citoyens de seconde zone dans certains pays comme la France et toi tu me parles de droits humains

C'est évrit noir sur blanc dans le Coran que le mari a tout les pouvoirs sur sa femme mais tkt c'est les Occidentaux

Bordel le niveau d'endoctrinement de haine de l'occident des muzs du topic c'est terrifiant. La LFI est vraiment le pire ennemi de la France et de l'occident

Je suis étonné

4 En Arabie saoudite, en vertu de la charia (loi islamique), il existe deux catégories de crimes : ceux pour lesquels il
est prévu une sanction précise (hodoud et qisas) et les autres (taazir). Les hodoud (pluriel de hadd) étant considérés
comme des infractions à l'encontre de Dieu, les peines correspondantes sont fixes et définies par des voies divines.
Aux termes de la charia, par exemple, la peine de mort est prévue pour plusieurs hodoud, comme l'adultère, le
banditisme de grand chemin lorsqu'il entraîne la mort, et l'apostasie. Les crimes passibles de qisas sont des
infractions perpétrées contre une personne ou une famille. Les peines sont identiques au crime commis (réparation en
nature). Dans les cas de meurtre, les proches de la victime ont la possibilité d'autoriser la condamnation à mort ou
d'accorder leur pardon à la personne accusée et d'accepter une indemnisation financière : le « prix du sang » (diya).
Les crimes pour lesquels la charia ne prévoit pas de peine fixe sont passibles de taazir. La détermination de la peine
est alors laissée à la discrétion des juges, qui ne sont pas tenus de suivre la jurisprudence. Par exemple, un juge peut
décider de condamner à mort des personnes accusées d'adultère, même si les critères en matière de preuves relatives
à la qualification de hadd ne sont pas remplis

source: https://www.amnesty.ch/fr/themes/peine-de-mort/docs/2024/nombre-executions-plus-haut-niveau/240529_rapport_peine-de-mort_fr.pdf