résumé :

Vincent, 22 ans, est victime d'une usurpation d'identité qui dure depuis plus de deux ans.
Tout commence le 3 juin 2024, lorsqu'il découvre un prélèvement de 1 260 € sur son compte pour des amendes SNCF. En se rendant au centre des finances publiques, il apprend que plusieurs contraventions ont été émises à son nom pour des trajets en TER… qu'il n'a jamais effectués.

Depuis, il a reçu 45 amendes, totalisant près de 9 000 €, avec un risque d'atteindre 25 000 € si cela continue. Ces infractions sont associées à un autre lieu de résidence (à Condrieu) qu'il ne connaît même pas.

Malgré ses démarches, il doit prouver son innocence à chaque amende, en fournissant des attestations de son école ou de son employeur. Cela lui prend énormément de temps, nuit à ses études (il est en master en alternance) et lui cause un stress permanent.

Il contacte la SNCF tous les jours, mais les amendes continuent d'arriver. Même un agent SNCF a reconnu l'absurdité de la situation : l'usurpateur prendrait le train tous les jours à des horaires où Vincent est en cours ou au travail.

Son père est aussi très inquiet : il craint que l'usurpateur commette un crime grave, comme un accident, en utilisant l'identité de son fils. La famille exige que la personne responsable soit identifiée et arrêtée, et que les dettes cessent d'être imputées à Vincent.

Les solutions pour stopper l'usurpation ?

C'est juste l'enfer pour lui