Le 31 octobre, j'avais prévu deux semaines de vacances avec ma dominatrice, sous le prétexte d'un voyage professionnel en Suède. J'ai menti à ma femme et à mes enfants, leur expliquant que ce déplacement était lié à mon travail, ce qui était crédible puisqu'il m'arrive souvent de partir là-bas pour des raisons professionnelles.

À mon arrivée, je m'attendais à vivre quatorze jours d'intense excitation, ponctués de jeux et de tortures orchestrés par ma maîtresse. Mais rien ne s'est déroulé comme prévu. Elle m'a enfermé dans un sous-sol sombre, une pièce exiguë avec pour seule ouverture une petite fenêtre en hauteur, laissant à peine filtrer la lumière. Une corde était attachée à mon cou, m'empêchant de me déplacer à plus de deux mètres du mur. Mon sexe était enfermé dans une cage, rendant toute satisfaction impossible.

Un abreuvoir d'eau stagnante était ma seule source d'hydratation, jamais renouvelée pendant ces deux interminables semaines. Pas de toilettes, évidemment : je devais faire mes besoins directement sur le sol, puis les recouvrir avec la paille laissée à ma disposition.

J'étais dans un isolement total. Ma dominatrice ne descendait jamais, sauf une fois par jour pour m'apporter un maigre repas : un verre d'huile de tournesol et un morceau de pain sec. Pour avaler ce mélange répugnant, je trempais le pain dans l'huile et le laissais ramollir avant de le manger. Ces rations comblaient ma faim cependant elles provoquaient des diarrhées quotidiennes.

Chaque jour, des hommes inconnus entraient dans la pièce pour me sodomiser. Moi qui suis entièrement hétérosexuel, cette humiliation était insupportable. Certains utilisaient l'huile comme lubrifiant, mais d'autres y allaient à sec, m'infligeant une douleur insoutenable. Un jour, l'un d'eux, particulièrement cruel, a uriné dans mon abreuvoir. Aucun d'entre eux ne m'adressait la parole ; l'ordre était clair : pas le moindre contact verbal.

Pendant ces deux semaines, le monde extérieur était complètement inaccessible. Le 7 novembre, jour de l'anniversaire de mon fils, j'ai supplié ma dominatrice de me laisser utiliser mon téléphone, ne serait-ce que cinq minutes, pour lui souhaiter un joyeux anniversaire. Elle a refusé sans un mot. À ma place, elle se faisait passer pour moi, échangeant des messages avec ma femme pour entretenir le mensonge de mon prétendu voyage d'affaires.

Et me voilà, enfin de retour chez moi. Ces deux semaines ont été d'une intensité inimaginable, à la fois physiquement et mentalement éprouvantes. Pourtant, malgré tout ce que j'ai enduré, cette expérience a éveillé en moi une excitation sexuelle que je n'aurais jamais cru possible.

En rentrant, j'ai fait l'amour à ma femme comme jamais auparavant. Pas mal la fic non? Je vais écrire un livre je pense

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Le 31 octobre, j'avais rendez-vous pour deux semaines de vacances avec ma dominatrice. J'avais menti à ma femme et à mes enfants, leur faisant croire que je partais pour un déplacement professionnel en Suède, comme cela m'arrive régulièrement. Ils ignoraient tout, bien sûr, de cette double vie soigneusement dissimulée.

En arrivant, je m'attendais à deux semaines de jeux intenses et d'excitation sexuelle sous la domination implacable de ma maîtresse. Mais ce qui m'attendait était bien différent. Dès mon arrivée, elle m'a enfermé dans une pièce sombre, un sous-sol étroit avec pour seule source de lumière une petite fenêtre placée en hauteur. Elle a passé une corde autour de mon cou, me limitant à un rayon de deux mètres autour du mur. Mon sexe était enfermé dans une cage de chasteté, m'interdisant tout soulagement personnel. Un abreuvoir d'eau stagnante était ma seule source de boisson, et il n'a jamais été renouvelé durant ces deux semaines interminables.

Il n'y avait pas de toilettes. Je devais faire mes besoins à même le sol et recouvrir le tout de la paille éparpillée dans la pièce. L'odeur devenait insoutenable. Mon unique repas quotidien se limitait à un verre d'huile de tournesol et un morceau de pain sec. Je trempais le pain dans l'huile, le laissant ramollir pour le rendre un peu moins désagréable à avaler. Bien que cela m'aidât à survivre, les effets sur mon corps étaient ravageurs : diarrhées incessantes, faiblesse extrême, et un sentiment d'humiliation constante.

Ma maîtresse ne venait jamais me voir, si ce n'est pour déposer ce maigre repas. Chaque jour, des hommes différents entraient dans la pièce. Leur seule mission était de me violer, sans un mot. Certains utilisaient l'huile comme lubrifiant, d'autres non, me laissant dans une douleur insupportable. L'un d'eux, particulièrement cruel, a même uriné dans mon abreuvoir. Chaque visite était une épreuve supplémentaire, exacerbant ma solitude et mon isolement.

L'isolement psychologique était total : aucun mot, aucun regard compatissant. Même lorsque j'ai supplié ma dominatrice de me laisser mon téléphone, ne serait-ce que cinq minutes pour souhaiter un bon anniversaire à mon fils le 7 novembre, elle m'a ignoré. Pendant ce temps, c'était elle qui envoyait des messages à ma femme, se faisant passer pour moi afin de maintenir l'illusion de mon soi-disant voyage d'affaires.

Les deux semaines se sont écoulées dans une lente agonie. Pourtant, malgré tout ce que j'ai enduré, l'expérience a éveillé en moi une excitation que je n'aurais jamais imaginée. À mon retour, j'ai fait l'amour à ma femme avec une intensité que je ne lui avais jamais montrée auparavant, comme si cette humiliation et cette souffrance avaient ravivé un désir enfoui.

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