Ma rencontre lesbienne
2 messages
Mise à jour: il y a 8 mois
marreduban4
il y a 8 mois
Je m'appelle Alexandra. Je suis responsable dans une entreprise de prêt-à-porter de la région lyonnaise. Mon mari et moi nous menons la vie d'un couple aisé et moderne. Autrement dit les plaisirs de l'existence, à commencer par ceux du sexe, mais sans excès. Evidemment, je n'ai pas toujours été aussi mesurée. Sinon y aurait-il de quoi écrire une confession érotique ? Pendant mon enfance et mon adolescence, j'ai pourtant mené une existence assez paisible auprès de mes parents qui tenaient une boulangerie épicerie dans un village très rural, à une centaine de kilomètre de Lyon. Je ne prétendrai pas que je suis arrivée pucelle à l'age adulte, mais je n'étais pas une débauchée. Au reste les occasions de s'amuser entre filles et garçons étaient rares. Quand je ne me trouvais pas chez mon père et ma mère, j'étais interne au lycée d'une ville éloignée. Les toilettes et les dortoirs favorisent bien les amitiés troubles entre filles. D'autre part les fêtes de campagne et les sorties au cinéma en bande sont propices à des jeux moins innocents avec les garçons. Je ne sais pas si mes parents l'ignoraient. Néanmoins, tout cela n'allait pas loin. Du vice, je connaissais surtout ce que j'avais entendu, ou ce que j'avais lu dans les magazines et les livres que mes copines chipaient à leurs parents ou à leur grands frères, et que nous feuilletions en cachette. Mon histoire commence vraiment il y a une dizaine d'année, alors que j'avais 17 ans et venait de terminer mes études secondaires. C'était un dimanche au début du mois de juillet. Il faisait très chaud. Le matin, comme toujours j'avais aidé mes parents à servir mais, l'après-midi, la boulangerie épicerie était fermée. J'étais donc désœuvrée et je ne savais trop quoi faire pour passer le temps. Rien ne me tentait. Faute de mieux je me suis décidée pour une promenade. Tout naturellement mes pas m'ont protée vers les bois qui entouraient le village. Le soleil était trop brûlant pour rester à découvert. D'autre part, je connaissais un endroit où, depuis que j'étais tout gamine, je me rendais quand mon moral était bas. C'était le cas aujourd'hui, pour une raison très simple : maintenant que j'avais mon bac, il me fallait décider de ce que j'allais faire. J'avais envie de poursuivre mes études mais mes parents m'avaient fait comprendre, avec toutes les précautions nécessaires, qu'ils ne pouvaient subvenir aux dépenses inhérentes à un cursus universitaire. Il me fallait trouver un moyen de couvrir ces frais par moi-même. Ils n'avaient rien contre mon projet à condition que je le finance de ma poche. Je ne pouvais pas leur en vouloir : commerçant dans un patelin perdu ça ne rapporte pas des fortunes. J'étais arrivée à mon refuge : une grande clairière parfaitement isolée avec une mare au milieu. L'endroit était frais. En outre, une grande pierre plate, dressée contre le pied d'un arbre, avec un tapis de mousse devant, formait un siège confortable. Je me suis assise pour ruminer mes pensées. Je ne suis pas restée longtemps immobile. D'abord, j'étais énervée ; ensuite, avant de sortir, j'étais passée à la cuisine pour vider une bouteille d'eau minérale bien fraîche. A présent une forte envie de pisser me tenaillait. Je me suis levée et je me suis écarté de quelque mettre pour me placer au pied d'un autre arbre. Pas question de souiller mon fauteuil naturel. Là, j'ai soulevé ma légère robe d'été et j'ai baissé ma culotte. J'aurais pu me contenter de ça mais, je ne sais au juste pourquoi, peut-être une vague crainte de la souiller, je l'ai ôtée complètement et je l'ai posée par terre. Ensuite, je me suis accroupie. De deux doigts j'ai écarté les lèvres de mon sexe et j'ai uriné mais, après, je ne me suis pas relevée tout de suite. La situation me rappelait ce que m'avait confié une copine de pension alors que nous nous rendions ensemble aux toilettes, en toute innocence pour une fois. Elle m'avait avoué que ça l'excitait énormément de se masturber après s'être soulagée, voire en pissant. Je n'avais jamais éprouvé une pareille envie mais, aujourd'hui, j'étais déprimée ; en plus je n'avais pas eu de rapport sexuels, avec un garçon ou une fille, depuis un bon moment. Deux raisons expliquant la chaleur bien connue qui naissait dans mon bas-ventre. Cependant, j'hésitais à me caresser à l'endroit où je m'étais vidée, avec cette large flaque devant moi. Au lieu de me faire de l'effet, ç'avait plutôt tendance à me rebuter. Je suis retournée au pied de l'arbre où se dressait la pierre plate. La robe troussée à la taille, je me suis accroupie sur la mousse dont le contact frais et doux sous mes fesses a accru mon trouble. Les genoux écartés au maximum j'ai glissé une main entre mes cuisses. Du bout des doigts, j'ai tâté le contour de ma fente humide, guère étonnée de constater qu'elle baillait. Adolescente, j'avais déjà des lèvres intimes plus longues et plus larges que la moyenne. Cela ne s'était pas amélioré avec l'age mais, comme me l'avait dit, non sans amusement, une doctoresse pendant une visite médicale, il n'y avait pas de quoi en faire un drame. A vrai dire, le conseil était superflu. J'avais vite découvert que si les bords de mon sexe étaient épais, ils étaient aussi très sensibles ; une caractéristique dont je tirais profit quand je me donnais du plaisir. Plutôt de les caressais, je les massais avec deux doigts réunis. Dans l'intimité de ma chambre j'aimais à faire coulisser un doigt de chaque cotés de mon clitoris ; dans ces sillons formés par l'excroissance du capuchon. C'est donc ce que j'ai fait nonchalamment et, une fois de plus, le résultat ne s'est pas fait attendre : non seulement mon bourgeon a doublé de volume mais je me sentais mouiller comme une fontaine. Là aussi, en jouant à touche-pipi avec de copines, j'avais compris que mes sécrétions étaient plus abondantes que chez la plupart des filles. Cela dégoûtait certaines de mes camarades ; d'autres appréciaient, au contraire. Quant aux garçons, ils n'avaient rien de plus pressé que d'enfoncer leur queue dans mon vagin. Qu'il soit sec ou engorgé de cyprine, ça ne changeait rien pour eux, du moment qu'ils tiraient leur coup. Je suis passée au stade suivant qui consistait à remuer mon clitoris en le tapotant du bout de l'index. J'ai tiré en arrière sur son prépuce ; décalotté il avait l'apparence d'une bille écarlate et déjà électrique. Comme la plupart des filles ayant découvert la masturbation très tôt, je suis extrêmement sensible à ce niveau là. Mes pressions ont achevé de me faire perdre la tête. J'ai enfoncé deux doigts dans mon vagin et je les ai fait aller et venir à un rythme de plus en plus rapide. Dans un bruit de succion décuplé je pressais sur la paroi supérieure de mon orifice. Quand j'en étais là, l'orgasme ne tardait pas à me transpercer. C'est ce qui c'est produit une fois de plus et j'ai mordu le dos de ma main libre pour étouffer mes plaintes quand les décharges ont remonté ma colonne. Même au comble de l'excitation, je gardais une certaine prudence. En principe il n'y avait personne aux alentours mais on ne sait jamais. A cet instant, alors que je reprenais mes esprits, je me suis aperçue que je n'étais pas seule, contrairement à ce que je croyais. Une fille se tenait à quelque pas, la mine hilare, brandissant ma culotte comme un trophée.- Tu n'as pas perdu quelque chose ? J'étais trop surprise et penaude pour réagir. Elle m'a tendu la culotte et ma demandé si je voulais bien que nous bavardions un moment toutes les deux.- N'aie pas honte ! Tu sais, j'ai fait pire que toi et je savais qu'il y avait des gens qui me regardaient. Evidemment, j'avais éveillé sa curiosité. La réciproque était vraie ; au premier coup d'œil, cette fille m'avait l'air d'un sacré numéro. Il n'y en avait sans doute pas beaucoup qui se seraient amusées à chiper ma culotte. La plupart m'auraient épiée, en se gardant bien de se montrer. J'ai accepté de parler avec elle et elle s'est assise à coté de moi. Je ne savais pas qui elle était mais je l'avais vue le matin même à la boutique de mes parents où elle était venue acheter des provisions avec une femme d'une quarantaine d'années. Avec ses cheveux blonds cuivrés et ses tâches de son sur la figure on la reconnaissait facilement. J'avais honte mais, au fond, elle me l'a dit, j'avais de la chance.- Si c'était un garçon ou un homme qui t'avait surprise, il n'aurait pas manqué de profiter de la situation. Ma gêne se dissipait. Bien sûr ça ne m'était encore jamais arrivé en plein air, mais elle n'était pas non plus la première fille devant qui je me masturbais. En plus, sa complicité était évidente. Elle a montré ma culotte : un dessous très simple et couvrant, couleur parme, avec pour seule fantaisie un petit nœud au niveau de la ceinture.- C'est mignon mais pas très sexy ! J'ai dû rougir. J'aurais aimé porter des dessous affriolants, comme j'en voyais dans les vitrines ou les catalogues, mais ma mère tenait les cordons de la bourse ; et choisissait pour moi. Sweet?
paitonlamar
il y a 8 mois