Dieu donne l'impulsion primordiale (par exemple, en provoquant le Big Bang).

Dieu se retire pour permettre à sa création de vivre (un acte d'amour pur).

Dieu reviendra à la fin des temps.

Aucune contradiction avec les lois de la nature, car pendant l'existence du monde, Dieu est contracté en Lui-même, hors du monde.

Pas de jugement dernier, mais un face-à-face des âmes avec Dieu.

Les âmes qui auront été bonnes fusionneront avec Dieu dans un état de béatitude.

Les âmes qui auront été mauvaises ne pourront pas fusionner et resteront repliées sur elles-mêmes (cet état n'est pas définitif et peut être réversible).

Pas de prédestination : uniquement la liberté absolue de faire le bien.
Il n'y a ni élu, ni élection.

Le diable n'existe pas ; il s'agit d'une figure allégorique représentant les actions mauvaises des hommes.

Pas de culte envers Dieu, qui n'est ni un roi ni un tyran en quête d'attention : seuls les actes comptent.

Jésus est un modèle, issu de particules divines échappées et d'un homme.

Son rôle était l'élévation spirituelle de l'humanité.

Jésus n'est pas le seul : plusieurs êtres, connus ou non, sont apparus et apparaîtront dans différentes cultures (et potentiellement dans d'autres formes de conscience non humaines).

Il n'existe pas de « canon » ou de texte figé servant de mode d'emploi, mais un cheminement personnel entre l'homme et Dieu, à travers son intelligence, son imagination, sa pratique et ses actions.