Toi, l'adepte des pommes croquées, avec ton macOS enfermé dans sa prison dorée, tu oses me parler d'innovation ? Ton Unix castré, où même un simple brew install te fait croire que tu es un hacker, me fait doucement rire. Pendant que tu jongles avec des restrictions et des licences, moi je recompile mon noyau à coups de make menuconfig pour optimiser chaque ligne de code à ma sauce.

Ton OS, c'est un jardin clôturé où Apple décide ce que tu peux exécuter. Moi, sous Arch, je vais chercher mes paquets directement depuis l'AUR, sans qu'un Tim Cook me tienne la main. Tu veux un tiling manager ? Ah, dommage, Mission Control, c'est tout ce qu'on t'offre. Pendant ce temps, sur mon i3-gaps optimisé, chaque fenêtre est sous mon contrôle total.

Et puis, parlons hardware… Ton MacBook scellé, soudé, collé, conçu pour mourir au premier problème. Moi ? J'upgrade mon ThinkPad comme je veux, je change la RAM, le SSD, et même le firmware avec coreboot si l'envie me prend. Toi, tu changes de machine parce qu'Apple a décidé qu'une nouvelle puce M-whatever est sortie et que l'ancienne est "obsolète".

Allez, retourne drag & drop tes fichiers pendant que j'automatise mon workflow avec un bon vieux rsync et un script Bash bien ficelé. Un jour, peut-être, tu comprendras ce que veut vraiment dire liberté informatique. Mais en attendant, continue de payer pour ton OS verrouillé pendant que je pilote mon infra avec un simple ssh sur mon serveur Debian.