Et prépare un gouvernement beaucoup (beaucoup) plus à gauche
Macron a entendu haut et clair les électeurs français qui ont massivement plébiscité un large virage à droite sur les questions d'immigration, d'islamisation et de sécurité
Il veut donc à nommer un premier ministre d'extrême-gauche à la tête d'un gouvernement antifa
À présent, il faut parler de la future « Majorité Plurielle » qui va aller de l'extrême-gauche représentée par Ruffin et Corbière en passant par Ruffin et Brossat à l'aile droite macroniste représentée par Edouard Philippe et Gérald Darmanin
Tous les partis du régime sont déjà occupés à négocier leur part du gâteau démocratique.
La Tondelier, militante rouge-verte, veut déjà un ministère. Pour résister au fascisme bien entendu. Elle en appelle aux électeurs de droite, qu'elle aime beaucoup, pour faire leur devoir démocratique et porter le Parti Socialiste à Matignon.
Il est impossible de faire la liste de toutes les combines auquel le régime se livre pour maintenir la tête hors de l'eau.
On sait aussi ce que la gauche exige pour prix symbolique de son ralliement à la gamelle républicaine : le serpent de mer du retour de l'Impôt sur la Fortune (ils se branlent là dessus sans arrêt), la retraite à 60 berges ou allez savoir quand, et surtout beaucoup plus d'immigration (donc d'électeurs à terme).
Ces combines ont toutes les chances de réussir à conjurer une majorité absolue pour le RN. Comme je l'ai dit, Marine Le Pen n'en veut pas, ni Jordan Bardella, leurs électeurs en revanche, si.
L'arrivée au pouvoir d'une coalition antifasciste, peuplée de communistes, d'écologistes zinzins, de pourris endurcis du PS et de toutes les nuances du centre-droit affairiste se traduirait par une catastrophique politique migratoire, sécuritaire, mais aussi économique.
Ce serait la version hardcore du macronisme.
Prenez le pire de ce qui s'est fait en 7 ans et multipliez ça par dix.
Boomers retraités, immigrés, cas sociaux, fonctionnaires syndiqués, journalistes, showbiz, ils ont tous très faim et ils veulent tout dévorer et Macron met tout cela au point avec méthode.
Je ne suis pas certain que conserver son capital en France soit une riche idée dans les années à venir.
Tout dépend des créanciers internationaux. S'ils arrêtent de prêter, la France va expérimenter une situation à la grecque, mais bien plus brutale
LE
LafayEnJaune
il y a un an
Les français votent pour ça, alors où est le problème ?
HE
Heidinounette
il y a un an
Les français qui tombent dans le piège sont des low QI et après ils diront "j'ai peur pour la sécurité de mes enfants ouin ouin" Ce sera la sélection naturelle
Javier_Milei
il y a un an