Emmanuel Macron est souvent critiqué pour sa politique visant la vente d'actifs industriels français à des entités étrangères. En tant que président, il a favorisé la vente de plusieurs actifs stratégiques, notamment dans les secteurs de l'énergie et de l'hôtellerie.
Par exemple, la vente du célèbre cristallier Saint-Louis au fonds chinois Fortune Fountain Capital, ainsi que la cession de participations dans l'aéroport de Toulouse-Blagnac à un consortium chinois.
De plus, pendant son mandat, il a encouragé la vente du pôle énergie d'Alstom à l'américain General Electric et la fusion du spécialiste de l'ingénierie pétrolière et gazière Technip avec le groupe texan FMC, avec le déménagement du siège à Londres.

Ces ventes ont suscité des inquiétudes quant à l'avenir de l'industrie française et à sa souveraineté économique. Les critiques affirment que ces actions ont affaibli l'industrie française et ont conduit à une désindustrialisation accrue.
Selon certains analystes, la politique de Macron a conduit à la perte de nombreux emplois industriels et à une diminution de la production manufacturière.

En outre, des détracteurs soulignent que la distribution massive de dividendes aux entreprises privées, financée par l'argent public, a contribué à la fuite des capitaux publics au profit du secteur privé.
Ces actions ont été perçues comme des signes d'une politique industrielle qui sacrifie la souveraineté industrielle française pour des gains financiers à court terme.