pardon j'ai glissé chef

Les hommes ayant eu plus de partenaires sexuels avant le mariage et une expérience de cohabitation étaient plus satisfaits de leur mariage, tandis que chez les femmes, un début plus précoce de l'activité sexuelle et un plus grand nombre de partenaires avant le mariage étaient liés à une satisfaction conjugale nettement plus faible.

Les résultats montrent qu'après avoir contrôlé pour des caractéristiques observables, les femmes ayant eu des relations sexuelles avant le mariage ont toujours un risque de divorce plus élevé que les vierges


Les personnes mariées qui n'avaient pas eu de relations romantiques et sexuelles avant le mariage ont connu une meilleure qualité de relation conjugale et une plus grande stabilité que celles qui avaient eu des relations sexuelles avant le mariage. L'étude recommande donc une éducation sexuelle appropriée pour les jeunes, en particulier les adolescentes, pour éviter les conséquences néfastes des comportements prémaritaux liés à la sexualité.

Les résultats montrent que le début des relations sexuelles désirées à un stade ultérieur de l'adolescence augmente directement le risque de divorce, mais est lié indirectement à travers les résultats sexuels prémaritaux ultérieurs. Aussi, les débuts sexuels non complètement souhaités ou survenant avant l'âge de 16 ans sont associés à un risque accru de divorce, suggérant que le timing et le contexte du début de la sexualité adolescente ont des implications importantes pour la stabilité conjugale.

Les femmes ayant plus d'une relation intime prémaritale présentent un risque accru de divorce. Ces résultats suggèrent que ni le sexe prémarital ni la cohabitation prémaritale en eux-mêmes n'indiquent des caractéristiques préexistantes ou des environnements relationnels ultérieurs affaiblissant les mariages. En fait, les conclusions vont dans le sens de l'idée que le sexe prémarital et la cohabitation limitée au futur conjoint font désormais partie du processus normal de courtage en vue du mariage.

L'âge accru au mariage et, dans une moindre mesure, l'éducation supérieure sont associés à une stabilité conjugale accrue, compensant ainsi les facteurs tels que l'expérience croissante du sexe prémarital, des naissances prémaritales, de la cohabitation, de la différence raciale et religieuse, qui sont associés à l'instabilité conjugale et entraînant une diminution globale du taux de dissolution matrimoniale.




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