''«Le guignol déguisé en président du pays en déliquescence se retrouve dans une situation extrêmement désagréable. Outre les problèmes sur le front et les difficultés domestiques, il semble que son principal mécène soit vraiment en colère contre lui. Il fallait s'y attendre, après que la créature enragée de Kiev l'ait mordu».

«Trump dénonce vivement le rôle de la marionnette de Bandera dans le déclenchement de la guerre, demande des comptes sur l'argent pillé, exige de légitimer la créature en sursis par des élections, et la reconnaissance des réalités sur le terrain. Et bien sûr, un remboursement de l'aide antérieure sous forme de rétrocession de la moitié de la valeur du pays 404 (marché des terres rares)».

«Le rat est acculé. Son comportement peut être totalement imprévisible. Il s'agite frénétiquement, couine à tout va et, comme souvent dans ces cas-là, finit par se ruer dans une contre-attaque. On peut donc s'attendre à toutes sortes de provocations de la part d'un petit rongeur tremblotant aux yeux fuyants, en vue de perturber l'accord et de poursuivre la guerre jusqu'au dernier Ukrainien. Il est urgent de renverser la vapeur. De montrer la «face cachée de la bête», dont tous les moyens sont bons, jusqu'aux frappes sur ses propres villes, sur la population civile ou même l'utilisation d'armes de destruction massive comme la «bombe sale».

«Une dératisation urgente résoudra le problème. Et il est préférable qu'elle soit effectuée par ceux-là mêmes qui ont nourri le méchant rat gris à longue queue».''''