no fake, et vous allez sentir le malaise à la fin

donc, on discutait sur tchatche, sans photo, on se parlait bien, et on parlait de cul. Elle disait que ça faisais longtemps pour elle et qu'elle aimerait bien s'amuser. On échange nos photos et elle trouvait que je faisais jeune, mais mignon. J'étais méfiant parce ce que je voulais pas tomber dans un guet apen au milieu des barres HLM.

On s'excite à mort sur le tchat, et on fini par se donner rendez vous le soir même à l'entrée de mon ancien lycée. Comme ça sur un coup de tête. Moi j'étais mal, je me torturais l'esprit "je fais quoi, je fonce, je fonce pas, et si je tombais mal.......et si........ et si je loupe une bonne chatte a fourrer et puis merde, on a qu'une seule vie, pas deux.

C'est moi qui ait choisi l'endroit, parce que je savais que je pouvais surveiller de loin, ça fais une grande plaine. Je me gare donc assez loin, en hauteur, au pied d'un chateau d'eau, et je surveille, 20h personne, je compte les minutes, 20h05, toujours personne, 20h10 une voiture arrive, elle se gare, je ne vois qu'une seule lueur. Je démarre donc la mienne et je me rapproche, je vois une femme seule à l'intérieur

Ouf, c'était bien elle. Me voilà rassurée. Sauf qu'en je m'approche d'elle et que je constate que sa photo a du être faite en 2003. Elle avait une visage de femme ayant bien vécue, le corps bien en chair, vraiment pas de quoi être fier de taper dedans. Mais j'avais les roustons remplient comme des boules de mamouth. On se parle bien, et on fini très vite par se tripoter et on part s'isoler dans le bosquet à coté de mon ancien lycée. La nuit tombait et il n'y avait pas trop de passages.

Je glisse ma main dans sa culotte, c'était visceux, un peu comme si j'étais à fort boyard et que je devais mettre ma main dans un bocal remplit de pieuvres. Il y avait des trou de mites dans la culotte. Il y avait tellement de trou que je m'y perdais avec les doigts. J'avais aussi un peu peur que mes doigts aggrandissent les trous alors je lui ai glisser la culotte sur les genoux et je l'ai doigter bien a fond tout en l'embrassant. Son vagin était tellement large putain, tu peux facile glisser la télécommande ou une bouteille de vodka sans effort. A un moment, j'ouvre les yeux, j'avais l'impression d'embrasser une mamie, sa bouche ne produisait pas assez de salives, j'avais envi de cracher sur ces levres, mais respect quoi, tandis que ces poils pubiens me piquait les doigts (no fake).

je ne parle meme pas des bisous dans le cou ou ça sentais le vieux savon de marseille vendu en brique, ni du moment ou je lui bouffe le cul, et que je repère des micro morceau de papier cul collé aux poils. Je ne parlerais pas non plus du duvet autour de sa bouche qui m'a écoeuré.

pour abréger mes souffrances, je l'ai prise en levrette dans le bosquet, vite fait, contre un arbre. Je ne ressentais aucun plaisir, tellement ma queue flottait dans son vagin. C'était tellement large que j'aurais pu faire un demi tour à l'intérieur ou me garer en creneau avant l'uterus. Je voyais son anus entouré de pétale, oui un peu comme si c'était une fleur, mais en fait c'était des hémoroides (mais il avait l'air propre). Je me souviens qu'au moment de l'éjaculation, mon pénis à ripper et je lui ai meme pas remplit la teuch, meme mon sperme à refusé d'entrer

Un coup de lingette, discutions malaisante pendant un quart d'heure, puis le moment de la sauvette........

mais le karma me poursuivant, 4 ans plus tard....
mon père me demande de l'accompagner pour faire le point sur sa retraite dans une administration. Je l'accompagne jusqu'à la salle d'attente. La porte d'un bureau s'ouvre, et une dame appel mon père, pendant que moi j'attend dans la salle. Devinez qui était cette dame

je pense qu'elle m'a reconnu, car elle a jeter un oeil vite fait pour voir le monde qui patientait, et elle m'a bien fixé.

Biensur, je n'en ai jamais parlé à mon père, et elle a été super sympa avec lui et l'a bien renseigné. comme quoi....

Trop long. Résumé en 2 phrases max ou Ddb

T'avais quel âge ?

L'OP n'a aucun respect pour lui même