Je trouve que Bref 2 s'érige en parangon paradoxal d'une antithèse sémiotique, où la logorrhée introspective s'embourbe dans une rhétorique prolixe, dissolvant la substantifique moelle de l'humour dans un prurit verbeux abyssal. In fine, une catharsis tardive déguisée en œuvre cathodique.
Chad_du_forum
il y a 17 jours