Depuis mes quinze ans environ, j'ai une pulsion sexuelle intense à chaque fois que je vois une aisselle de femme. Le plus étrange, et désolé pour ceux que ça va déranger, c'est que c'est à cause de ma mère, ni plus ni moins. Je nourrissais une déviance assez étrange qui était de regarder de l'inceste sur divers sites pornographiques, et un jour, lors d'un repas de famille en plein été, ça a été la création de mon fantasme

J'étais déjà assez exciter avant de passer à table, et mes yeux oscillait entre ma mère et ma sœur, oui j'étais vraiment atteint par le porno. A un moment donné, ma mère nous sert dans nos assiettes, rien d'extravagant c'était de la salade de pomme de terre ou un truc à la con du genre. Mais en voyant son bras passer près de moi, j'ai pu humer l'odeur de son aisselle et m'enivrer totalement, l'envie était si intense d'un coup. Pendant tout le repas j'ai été déboussoler parce que bon oui certes je suis atteint mais j'ai mes limites

Après ça je me suis très souvent masturbé en respirant ma propre aisselle, en plus de film étranges de personnes qui partageaient apparemment le même fétiche que moi. Sauf que voilà, maintenant je suis marié, et je ne sais vraiment pas comment aborder le fait que j'ai envie de baiser avec son bras. La peau fripée qui ressemble légèrement à celles de nos testicules, la peau qui tombe quand y'a un peu de graisse, ça fait comme une fesse, dont l'aisselle est l'anus

Je sais c'est bizarre mais je rêve vraiment de démonter une aisselle. Une aisselle puante sauvage a juste débarqué dans mon champ de perception pile au mauvais moment, et ça a suffi à faire vriller mon cerveau d'en plein développement dopé aux hormones, qui filait déjà du mauvais coton en douce. Les étoiles étaient putain de mal alignées. Je suis tombé accroc au porno à 13 ans, et mon cerveau en manque de dopamine certainement cherchait à voir tout le temps plus trash. Je n'arrive pas à savoir si c'est une bonne chose ou non en fait, parce que bon du coup, suffit que la meuf soit sans manches et elle ne sait pas à quel point je me délecte