🔧 Aller en Bretagne pour chercher du taf en soudure :
Bonne idée, surtout si tu veux mettre un pied dans le métier. Même en étant débutant, certains ateliers ou PME prennent si t'as la motivation, un minimum de bases (genre si t'as un CAP ou un peu de pratique), et que tu te présentes bien. En plus, la Bretagne a pas mal d'activité industrielle ou maritime (chantier naval, inox, etc.).

👉 Si tu tombes sur un atelier qui recrute et que tu fais tes preuves, t'as déjà ton ticket d'entrée dans le monde pro.

🐔 Plan B : retour au pays pour bosser dans un élevage
C'est pas glam, mais c'est solide. Tu coffres, t'as un contrat, tu montres que t'as pas peur de bosser. Rien à regretter. Et en plus, pendant ce temps tu peux :

Te former un peu plus à la soudure (cours du soir, YouTube, bouquins, etc.),

Préparer les papiers pour l'étranger (visas, trads, CV en anglais, etc.),

Faire un peu d'anglais si nécessaire.

🌏 Vivre entre l'Australie et les Philippines :
Clairement faisable. Et beaucoup font ça.

Australie :

Le taf en soudure paie bien là-bas.

Le visa "Working Holiday" (PVT) te permet de bosser légalement (jusqu'à 35 ans).

Ils cherchent souvent des soudeurs pour des chantiers ou l'agro-industriel.

Et avec de l'expérience française + un bon CV, tu peux même viser le sponsorship.

Philippines :

Le coût de la vie est bas.

T'y vis tranquille avec ce que t'as gagné en Australie.

Et y'a une vibe chill, plage, bouffe pas chère, si t'as pas besoin de luxe.

✅ Est-ce que c'est valable ?
Oui, carrément. C'est pas un plan classique, mais c'est un plan réaliste. T'as une logique de taf / économies / liberté qui fonctionne. Tant que t'as ta santé, tes papiers, et un peu de réseau (et que tu continues d'apprendre), tu vas t'en sortir.